ConcertsĂ  la forĂȘt de Villecartier. Musique, Pop - Rock - Folk, Musique du monde Bazouges-la-PĂ©rouse 35560 Du 27/07/2022 au 26/08/2022. Concerts Ă  la ludothĂšque de la ForĂȘt de Villecartier. Au programme: - A 20h30 : La compagnie compĂšres et commĂšres. C'est la rencontre entre le conte et la musique. Vous pourrez y dĂ©couvrir des

Citation C'est beau la vie Paroles Claude Delecluse, Michelle Senlis DĂ©couvrez une citation C'est beau la vie Paroles Claude Delecluse, Michelle Senlis - un dicton, une parole, un bon mot, un proverbe, une citation ou phrase C'est beau la vie Paroles Claude Delecluse, Michelle Senlis issus de livres, discours ou entretiens. Une SĂ©lection de 1 citation et proverbe sur le thĂšme C'est beau la vie Paroles Claude Delecluse, Michelle Senlis. 1 citation > Citation de Jean Tenenbaum, dit Jean Ferrat n° 87692 - Ajouter Ă  mon carnet de citations Notez cette citation - Note moyenne sur 466 votes< Page 1/1Votre commentaire sur cette citation Citation Age Citation Animal Citation AmitiĂ© Citation Amour Citation Art Citation Avenir Citation BeautĂ© Citation Avoir Citation Bonheur Citation Conscience Citation Couple Citation Confiance Citation Courage Citation Culture Citation DĂ©sir Citation Dieu Citation Education Citation Enfant Citation Espoir Citation Etre Citation Faire Citation Famille Citation Femme Citation Guerre Citation Homme Citation Humour Citation Jeunesse Citation Joie Citation Justice Citation LibertĂ© Citation Mariage Citation MĂ©re Citation Monde Citation Morale Citation Naissance Citation Nature Citation Paix Citation Passion Citation PĂšre Citation Peur Citation Plaisir Citation Politique Citation Raison Citation Religion Citation RĂȘve Citation Richesse Citation Sagesse Citation Savoir Citation Science Citation SĂ©duction Citation SociĂ©tĂ© Citation Souffrance Citation Sport Citation Temps Citation TolĂ©rance Citation Travail Citation VĂ©ritĂ© Citation Vie Citation Vieillesse Citation Voyage ThĂšmes populaires +
Moije veux que vivre ma vie Ă  cĂŽtĂ© de l’eau Il faisait Sunny alors je suis allĂ© dehors J’ai vu la vie oursin qu’est ce que c’est beau! LumiĂšre dans le lac Des jolis yeux qui me look Quelques billets dans le sac Paire de lunettes pour le look (Huh) J’écoute du rap, je
Paroles de la chanson C'est Beau Beau La Vie par GĂ©rard Stern C’EST BEAU, BEAU LA VIE Auteur Jean-Max RIVIÈRE & Didier BARBELIVIEN Compositeur GĂ©rard STERN & REUSSER Je peux tirer de ma guitare Les harmonies les plus bizarres Et les sons les plus dĂ©mentiels Mais quand je me mets Ă  chanter Le choix devient plus compliquĂ© Et les sujets plutĂŽt rebelles Je peux chanter des mots faciles Des phrases complĂštement imbĂ©ciles Du style je t’aime et tout est bleu » Mais comme je suis du genre pratique Et pas du tout mĂ©lancolique Alors je chante ce que je veux Je chante surtout ce que je veux Refrain C’est beau, beau la vie C’est beau, beau la vie C’est beau, beau la vie YĂ© yĂ© yĂ© C’est beau, beau la vie C’est beau, beau la vie C’est beau, beau la vie YĂ© yĂ© yĂ© C’est beau, beau la vie YĂ© yĂ© yĂ© J’ai rencontrĂ© une poupĂ©e Qu’un autre a dĂ©jĂ  fait danser Sur une de ses premiĂšres musiques Elle a vite rĂ©glĂ© la question A moi aussi elle a dit non Car elle n’est pas trĂšs romantique Mais comme je n’le suis pas non plus Je n’me suis pas senti perdu J’ai tĂ©lĂ©phonĂ© Ă  sa sƓur DĂšs qu’elle a entendu ma voix Elle m’a dit j’arrive, attends-moi Je serai lĂ  dans un quart d’heure C’est pas difficile le bonheur Refrain Quand j’me sens mal dans mes chaussures Pas la peine de forcer l’allure J’ai toute la vie devant moi Et si tu viens me voir un soir J’aurai toujours une guitare Et tu chanteras avec moi Et j’veux que tu chantes avec moi Refrain Paroleset Analyse de la chanson 'OUVREZ LES FRONTIÈREs. Ouvrez les frontiĂšres, ouvrez les frontiĂšres ( x 2 ) Vous venez chaque annĂ©e L’étĂ© comme l’hiver Et nous on vous reçoit Toujours les bras ouverts Vous ĂȘtes ici chez vous AprĂšs tout peu importe On veut partir alors ouvrez nous la porte Ouvrez les frontiĂšres, ouvrez les frontiĂšres ( x 2 ) Du DĂ©troit de Gibraltar [Doc GynĂ©co]Hey fonblard, j’ai rancard avec Nanard, Appelle les chtards v’la Bruno Escobar, [Bernard Tapie}TouchĂ© mais pas coulĂ©, merci d’l’invitation[Doc GynĂ©co]Sur ce, on est en sursis, n’oublie jamais d’oĂč tu viens[Bernard Tapie]La rue, c’est mon terrain chacun sa part dans la bagarre[Doc GynĂ©co]Tu les as vus les p’tits taulards, tu les a croisĂ©s au parloir[Bernard Tapie]J’ai vu ce qu’est qu’le dĂ©sespoir faites le canard[Doc GynĂ©co]Garder l’espoir faut qu’on se lĂšve pour croire Ă  leur mhytoAdhĂšre Ă  notre parti mec c’est pas trop tĂŽt[Bernard Tapie]ArrĂȘte de compter en barrettes, on te manipule la tĂȘteFaut que tu votes mon pote[Doc GynĂ©co]Et quoi qu’il arrive sur la planĂšte TerreDans le foot, les affaires, le rap, les ministĂšres, c’est toujours[Bernard Tapie]Le gangster[Doc GynĂ©co]Qui contrĂŽle l’affaire{au Refrain, x2}C’est beau, c’est beau la vieC’est beau, c’est beau la vieC’est beau, c’est beau la vieC’est beau, c’est beau[Bernard Tapie]Dis Bruno, Ă  ton avis, qu’est-ce qu’on vient foutre ici?[Doc GynĂ©co]Engraisser des banquiers qui sur nos vies font des crĂ©dits[Bernard Tapie]Dis Bruno qu’est-ce qu’on peut foutre ici?[Doc GynĂ©co]Balancer la vĂ©ritĂ© risquer nos vies Ă  la putain dis-moi ce match on t’la vendu?[Bernard Tapie]Mais tu rigole j’les aimes Ă  Valenciennes[Doc GynĂ©co]A l’ancienne! J’ai rangĂ© mon jeux de frappes et ma pince-monseigneur, Acceptez cette priĂšre! Elle vient du cƓurEt quoi qu’il arrive sur la planĂšte TerreDans le foot, les affaires, le rap, les ministĂšres, c’est toujours[Bernard Tapie]Le gangster[Doc GynĂ©co]Qui contrĂŽle l’affaire, qui contrĂŽle l’affaire{au Refrain}[Doc GynĂ©co]Levez la gauche et dites je l’jure![Bernard Tapie]Tu croyais quoi? Qu’y’avait les bons, qu’y’avait les blancsQu’y’avait les noirs et les mĂ©chants, Qu’y’avait dehors et puis dedans, Ah, tout n’est pas si facile[Doc GynĂ©co]Tout ne tient qu’à notre style, On absorbe la lumiĂšre, on ne la rendra pas, jamaisDans les tĂ©nĂšbres on a fais nos premiers pasY’a qu’les morts qui ne parlent pas, Avant qu’on m’fasse sauter l’pas, Dans une Merco 600Dans une histoire de point ou de pour cent[Bernard Tapie]Deux pour cent, deux pour cent[Doc GynĂ©co]Ouais et quoi qu’il arrive sur la planĂšte TerreDans le foot, les affaires, le rap, les ministĂšres, c’est toujours[Bernard Tapie]Le gangster[Doc GynĂ©co]Qui contrĂŽle l’affaire, qui contrĂŽle l’affaire, Qui contrĂŽle l’affaire, qui contrĂŽle l’affaire{au Refrain}
Etla tranquilité aussi Mes sens sont réunis Et me parlent de bonheur Que pourrais je esperer De mieux pour moi Et pourquoi chercher ailleurs Tout ce que j'ai ici Ref x 2 Oh la la Que mon pays est beau Que ma vie est belle Oh la la C'est ma terre ancestrale C'est ma Polynésie Se dresse devant moi Un beau coucher de soleil Faisant place à la
Paroles de Admiral T - Pas De Temps a Perdre Refrain Le temps m'est prĂ©cieux comme pour un homme atteint d'un cancer La vie n'est qu'une aventureĂ©phĂ©mĂšre Je n'ai pas de temps a perdre hey!, pas de temps a perdre hey! Le temps file garçon aussi vite que l'Ă©clair Il nou attendra pas c'est clair, Je n'ai pas de temps Ă  perdre hey! , pas de temps Ă  perdre hey! Je passe mon temps Ă  travailler, m'occuper de mon foyer De temps en temps jober pour payer le loyer Je n'ai pas de temps pour les futilitĂ©s J'en profite jusqu'Ă  ce que mon coeur n'ait plus de tonalitĂ© Trop de violence Ă  la tĂ©lĂ©, ça rend certains jeunes fĂȘlĂ©s Donc rĂ©sultat, dansla rue PAPAA.. yo ka chĂšchĂ© lĂ©lĂ© Joue pas avec ta vie, Tu n'as rien Ă  prouver si tu veux mon avis Faut penser Ă  demain tout en vivant l'instant prĂ©sent Proiter de ce beau cadeau que nous a fait le Tout Puissant Tu n'en a pas deux et qu'elle seule et tu le sais La vie n'est qu'une aventure Ă©phĂ©mĂšre Refrain Le temps m'est prĂ©cieux comme pour un homme atteint d'un cancer La vie n'est qu'une aventureĂ©phĂ©mĂšre Je n'ai pas de temps a perdre hey!, pas de temps a perdre hey! Le temps file garçon aussi vite que l'Ă©clair Il nou attendra pas c'est clair, Je n'ai pas de temps Ă  perdre hey! , pas de temps Ă  perdre hey! De temps en temps je prends du bon temp, Profite du beau temps, j'attends que le temps passe Quand on passe tant de temps Ă  traivailler faut un passe-temps Sa vie Ă  batailler faut un passe-temps ten ten ten Car c'est important, mĂȘme si t'es bien portant Tu ne vivras pas longtemp avec ce qu'on boit, ce qu'on mange, on vivra pas 100 ans Refrain Le temps m'est prĂ©cieux comme pour un homme atteint d'un cancer La vie n'est qu'une aventureĂ©phĂ©mĂšre Je n'ai pas de temps a perdre hey!, pas de temps a perdre hey! Le temps file garçon aussi vite que l'Ă©clair Il nou attendra pas c'est clair, Je n'ai pas de temps Ă  perdre hey! , pas de temps Ă  perdre hey! La vie est une belle femme et je l'aime Je n'attendrai pas un drame pour lui avouer je la prĂ©serve et prends soin d'elle Car elle est sensible et fragile x2 Tou lĂ© maten lĂš mwen lĂ©vĂ© obligĂ© rĂšmewsiĂ© bondiĂ© Pou santĂ© pou prospĂ©ritĂ© Diy kĂš mwen content dĂš la vi E menm lĂ© jou sa pa ka lĂ©, mwen paka janmĂ© dĂ©primĂ© Mwen pa ka lagĂ© pass tini pir ki mwen an dot kotĂ© Refrain Le temps m'est prĂ©cieux comme pour un homme atteint d'un cancer La vie n'est qu'une aventureĂ©phĂ©mĂšre Je n'ai pas de temps a perdre hey!, pas de temps a perdre hey! Le temps file garçon aussi vite que l'Ă©clair Il nou attendra pas c'est clair, Je n'ai pas de temps Ă  perdre hey! , pas de temps Ă  perdre hey! Je passe mon temps Ă  travailler, m'occuper de mon foyer De temps en temps jober pour payer le loyer Je n'ai pas de temps pour les futilitĂ©s J'en profite jusqu'Ă  ce que mon coeur n'ait plus de tonalitĂ© Trop de violence Ă  la tĂ©lĂ©, ça rend certains jeunes fĂȘlĂ©s Donc rĂ©sultat, dansla rue PAPAA.. yo ka chĂšchĂ© lĂ©lĂ© Joue pas avec ta vie, Tu n'as rien Ă  prouver si tu veux mon avis Faut penser Ă  demain tout en vivant l'instant prĂ©sent Proiter de ce beau cadeau que nous a fait le Tout Puissant Tu n'en a pas deux et qu'elle seule et tu le sais La vie n'est qu'une aventure Ă©phĂ©mĂšre Refrain Video de Admiral T - Pas De Temps a Perdre Commentaires sur Admiral T - Pas De Temps a Perdre Aucun commentaire sur Pas De Temps a Perdre pour l'instant... Commenter la musique de Admiral T - Pas De Temps a Perdre D'autres titres de Admiral T ThĂ©matique sur la chanson Pas De Temps a Perdre de Admiral T Parolesde BFF amies pour la vie par LoliRock. Il nâ€Čest pas un seul jour Sans que s'ouvre ton cƓur Si tu as les meilleurs. Amis pour toujours À chaque heure chaque seconde MĂȘme sans changer le monde On fait bouger les choses En sâ€Čamusant Tu sais, de penser qu'aujourd'hui Cette amitiĂ© nous unit Moins que demain et plus quâ€Čhier Tu sais Paroles de la chanson Beau la folie par Lomepal 3 sƓurs pas de frĂšre Heureusement Dieu a créé les amis Ya des choses que j'aurais pas voulu comprendre en grandissant Tout le monde est zinzin dans ma famille Que des embrouilles dans ma famille Jai pas vu ma grande sƓur depuis 10 ans Grand-pĂšre a dĂ©truit ma mĂšre et ma grand-mĂšre avant elle Jai jamais eu damour pour lui Jai toujours fait semblant Ă  NoĂ«l Oh Grand-mĂšre Ă©tait loin dĂȘtre parfaite oui Mais sans cette famille malsaine Elle serait peut—ĂȘtre jamais morte dun cancer Jaurais peut—ĂȘtre pu la connaitre un peu plus Oh GuidĂ©e par ses croyances jusquau bout du monde Pour le sauver naĂŻvement en rentrant Quand la douane lui a demandĂ© de prĂ©senter son identitĂ© Elle a souri tout en dĂ©chirent ses papiers Les gens normaux se sentent bien dans la machine Grand-mĂšre n'y a jamais trouvĂ© sa place Elle marchait nue en criant des mots magiques Ils disent quelle Ă©tait folle sans blague Cest beau la folie Beau la folie Beau la folie Beau la folie Beau la folie Beau la folie Ma Grand-mĂšre Ă©tait folle sans blague Ma tĂȘte est pleine de courants dair Mon rĂ©veil sonne Il ny a que ma f‌lemme qui se rendort Ce matin je pars faire le tour du monde Avec une f‌ille folle qui fait tous ses choix en mode random On ira lĂ  oĂč on nous dit quil ny a aucune chance LĂ  oĂč les murs changent LĂ  oĂč les murs chantent Tous les deux victimes de nos pulsions On fera l'amour sur la bande darrĂȘt durgence Cest beau la folie putain Jai enf‌in plus peur de mennuyer Cette f‌ille cest ma vitamine D Jlai attendue comme juillet On saime et on sattire Je viens de comprendre pourquoi on dit des aimants Mais cest trop beau pour ĂȘtre vrai on se dĂ©testera forcĂ©ment Les gens nomaux se sentent bien dans la machine Grand-mĂ©re ny a jamais trouvĂ© sa place Elle marchait nue en criant des mots magiques Ils disent quelle Ă©tait folle sans blague Cest beau la folie Beau la folie Beau la folie Beau la folie Beau la folie Beau la folie Beau la folie Beau la folie Beau la folie Beau la folie Beau la folie Beau la folie Beau la folie Beau la folie Ma Grand—mĂ©re Ă©tait folle sans blague On Ă©tait 6 dans la 4L Plus les valises et tous les trucs Elle voyait plus rien ma mĂšre Elle nous demandait toujours de regarder pour doubler et tout Et quand il v avait un croisement elle disait "Allez on suit le soleil" Si le soleil Ă©tait Ă  droite elle prenait Ă  droite Et Ă  chaque fois elle rigolait elle disait On part pour la nouvelle vie Pleine de soleil Et, vous allez voir Cest une vie merveilleuse nouvelle quon va avoir“ Moi je rĂȘvais toujours quand elle disait que yavait des vies nouvelles Tul’avais Ă©coutĂ©e d’une oreille distraite les vingt premiĂšres fois, mais en cet instant prĂ©cis, la chanson rĂ©sonne parfaitement avec ta vie. Tu te rends compte que les paroles dĂ©crivent
[Doc GynĂ©co] Hey fonblard, j'ai rancard avec Nanard Appelle les chtards v'la Bruno Escobar [Bernard Tapie] TouchĂ© mais pas coulĂ©, merci d'l'invitation [Doc GynĂ©co] Sur ce, on est en sursis, nÂŽoublies jamais dÂŽoĂč tu viens [Bernard Tapie] La rue, cÂŽest mon terrain chacun sa part dans la bagarre [Doc GynĂ©co] Tu les as vus les pÂŽtits taulards, tu les a croisĂ©s au parloir [Bernard Tapie] JÂŽai vu ce quÂŽest quÂŽle dĂ©sespoir faites le canard [Doc GynĂ©co] Garder lÂŽespoir faut quÂŽon se lĂšve pour croire Ă  leur mhyto AdhĂšre Ă  notre parti, mec, cÂŽest pas trop tĂŽt [Bernard Tapie] ArrĂȘte de compter en barrettes, on te manipule la tĂȘte Faut que tu votes mon pote [Doc GynĂ©co] Et quoi quÂŽil arrive sur la planĂšte Terre Dans le foot, les affaires, le rap, les ministĂšres, cÂŽest toujours [Bernard Tapie] Le gangster [Doc GynĂ©co] Qui contrĂŽle lÂŽaffaire CÂŽest beau, cÂŽest beau la vie CÂŽest beau, cÂŽest beau la vie CÂŽest beau, cÂŽest beau la vie CÂŽest beau, cÂŽest beau CÂŽest beau, cÂŽest beau la vie CÂŽest beau, cÂŽest beau la vie CÂŽest beau, cÂŽest beau la vie CÂŽest beau, cÂŽest beau [Bernard Tapie] Dis Bruno, Ă  ton avis, quÂŽest-ce quÂŽon vient foutre ici? [Doc GynĂ©co] Engraisser des banquiers qui sur nos vies font des crĂ©dits [Bernard Tapie] Dis Bruno quÂŽest-ce quÂŽon peut foutre ici? [Doc GynĂ©co] Balancer la vĂ©ritĂ© risquer nos vies Ă  la tĂ©lĂ© Alors putain dis-moi ce match on tÂŽla vendu? [Bernard Tapie] Mais tu rigole jÂŽles aimes Ă  Valenciennes [Doc GynĂ©co] A lÂŽancienne! JÂŽai rangĂ© mon jeux de frappes et ma pince-monseigneur Acceptez cette priĂšre! Elle vient du cƓur Et quoi quÂŽil arrive sur la planĂšte Terre Dans le foot, les affaires, le rap, les ministĂšres, cÂŽest toujours [Bernard Tapie] Le gangster [Doc GynĂ©co] Qui contrĂŽle lÂŽaffaire, qui contrĂŽle lÂŽaffaire {au Refrain} [Doc GynĂ©co] Levez la gauche et dites je l'jure! [Bernard Tapie] Tu croyais quoi? QuÂŽyÂŽavait les bons, quÂŽyÂŽavait les blancs QuÂŽyÂŽavait les noirs et les mĂ©chants QuÂŽyÂŽavait dehors et puis dedans Ah, tout n'est pas si facile [Doc GynĂ©co] Tout ne tient qu'Ă  notre style On absorbe la lumiĂšre, on ne la rendra pas, jamais Dans les tĂ©nĂšbres on a fais nos premiers pas YÂŽa quÂŽles morts qui ne parlent pas Avant quÂŽon mÂŽfasse sauter lÂŽpas Dans une Merco 600 Dans une histoire de point ou de pour cent [Bernard Tapie] Deux pour cent, deux pour cent [Doc GynĂ©co] Ouais et quoi quÂŽil arrive sur la planĂšte Terre Dans le foot, les affaires, le rap, les ministĂšres, cÂŽest toujours [Bernard Tapie] Le gangster [Doc GynĂ©co] Qui contrĂŽle lÂŽaffaire, qui contrĂŽle lÂŽaffaire Qui contrĂŽle lÂŽaffaire, qui contrĂŽle lÂŽaffaire {au Refrain} Paroles2Chansons dispose d’un accord de licence de paroles de chansons avec la SociĂ©tĂ© des Editeurs et Auteurs de Musique SEAM
Cest pas c'que tu crois Juste que c'est beau Ça n'est pas ma robe qui vole un peu Pas pour que tu voies mes jambes C'est pas c'que tu crois Juste que j'ai chaud Ce n'est qu'une chanson d'ami D'ami, pas d'amour Ce n'est qu'une chanson d'ami Promis, pas d'amour Je ne t'aime pas Je t'aime bien Ça n'est pas ma main, là, dans la tienne
Mathieu. -Touche son cƓur, pas son cul. Vole son attention, pas sa virginitĂ©. Fait la sourire, pas pleurer. Soit un homme, pas un enculĂ©- La vĂ©ritable amitiĂ© ne s'achĂšte pas, ne se trafique pas; elle est le rĂ©sultat d'une combinaison de facteurs heureux. L'ami est celui qui, malgrĂ© le temps qui passe, nous reste fidĂšle. Quand nous traversons des pĂ©riodes difficiles, il est lĂ . Quand nous voulons partager nos joies et nos folies, il est lĂ . Quand nous avons envie de refaire le monde, il est le premier Ă  vouloir le rebĂątir avec nous. Sans lui, nos petits tracas quotidiens deviennent des montagnes, et nos moindres craintes nous paraissent insurmontables. L'amitiĂ© est un oasis de paix et de sĂ©rĂ©nitĂ©, car elle nous procure cette merveilleuse sensation de nous savoir compris, aimĂ©s et encouragĂ©s. Je fais attention Ă  toutes mes amitiĂ©s, car elles sont de prĂ©cieux cadeaux de la vie. Ma 'tite famille Mes soeurs x-xx-blg-swaag-xx-x Lennie l0ve-0ceane Mes frĂšres Chuibo526 bo-gos12 Mes cousines liline26120 prisca275 ou oh-une-folle-23 leaa-23 -~Texte pour mon cousin que j'aime~- Mathieu.. Celui avec qui on nous dit "chut" au cinĂ©ma parce que on parle <3 Celui avec qui on danse toute la nuit <3 TMTC <3 Celui avec qui on spromenne main dans la main <3 Celui avec qui on mange des frites devant les simpsons et que ça fini en bataille de sauce <3 Bref, t'es juste un mec magique <3 Honnetement..J'ai le seum' que tu sois mon cousin que dans la game..J'aurais aimĂ© avoir un cousin comme toi dans la vrai vie $ T'es l'une des plus belles rencontres ici <3 Et quoi que tu dises, c'est moi qui t'aimera le plus p Et oui...T'es juste un ami avant d'ĂȘtre mon cousin $ T'es une etoile qui brille parmis tant d'autre mais toi tu es une etoile differente, tu brilles plus que les autres. Bref...Jvais pas te faire un roman tu risque de t'endormir $ Je t'aime trĂšs fort Mathieu <3 Elle est trop chou aha $$ Alexiajordan Mon cousin allan-du-78 Ma tante misslolilol54 Mes niĂšces blg-swagg00 Marina6797 Ma fille bb-chou-clara Ma femme sssaaarrraaa47 Sarah, tellement de choses Ă  dire sur toi ... T'es belle, gentille, drĂŽle, attachante ... Bref tu as toutes les qualitĂ©s qu'il faut et je ne t'aimerais jamais assez pour te remercier de tout l'amour que tu me donnes <3 Je t'aime ma princesse Mon cƓur, mon amr, mon bb , Mathieux, Tu es tt pour moi, Si tu venais a me quitter je ne sais pas ce que je ferais 3. Tu es beau *.*<3 comme un cƓur <33, tes drĂŽle, tes sympas, tes un amr quoi... 3<3 Tes juste Wahouuuuuu o<3 tes un mec un or *_*<3 Tes mon homme et tu le resteras pour toujours <3<3<3 Je T'aime <3 Je T'aime <3 Je T'aime <3 Je T'aime <3 Je T'aime <3 M & S <3<3 3 Ta femme qui t'aime a la foliiiie <3 J'ai Ă©crit ton nom sur une feuille Le prof l'a gommĂ© J'ai Ă©crit ton nom sur un arbre Le bucheron la coupĂ© J'ai Ă©crit ton nom sur la plage La mer l'a emportĂ© J'ai Ă©crit ton nom dans mon coeur Et lĂ  il y est restĂ© je t'aime !! Ta copine? ProtĂšge la comme ta fille, aime la comme ta femme et respecte la comme ta mĂšre. VoilĂ , bah bisous, lĂąche un commentaire, un message ou un +2, je rends tout !
Cest Beau La Vie - Isabelle Aubret - Les paroles de la chanson « » Le vent dans tes cheveux blonds Le soleil Ă  l’horizon Quelques mots d’une chanson Que c’est beau, c’est beau la vie {Refrain:} Tout ce qui tremble et palpite Tout ce qui lutte et se bat Tout ce que j’ai cru trop vite A jamais perdu pour moi Un oiseau qui fait la roue
Le deal Ă  ne pas rater Cartes PokĂ©mon Japon le display PokĂ©mon Go de retour en stock sur ... Voir le deal NEW YORK CITY LIFE Archives CorbeillePartagez Aller Ă  la page 1, 2 AuteurMessageInvitĂ© Empire State of MindInvitĂ© Sujet [.] Les fleurs Ă©closent aussi la nuit. <3 [PV Ludmi] /! Mar 6 Oct - 050 En cette douce soirĂ©e d'Octobre, l'Illustratrice dĂ©bordĂ©e qu'Ă©tait Dominura avait dĂ©cidĂ© de mettre de cĂŽtĂ© son travail, ses dessins et encrages, afin d'offrir Ă  son aimĂ©e le plaisir d'un moment passĂ© avec elle, pour quelque chose qui lui tenait visiblement Ă  coeur la rĂ©union nocturne de l'universitĂ©, rĂ©servĂ©e aux membres de l'Ă©quipe pĂ©dagogique de l'universitĂ© du centre ville mais aussi des environs, ainsi que de leurs conjoints et conjointes. Au programme, musique, buffet, bonne humeur et relations amicales comme professionnelles... Le genre de soirĂ©es auxquelles Dominura n'avait pratiquement jamais mis les pieds, bien trop habituĂ©e aux vernissages divers ou diners plutĂŽt mondains autour d'une table passage Ă  la salle de bains prit pratiquement une heure. Oh, il fallait bien compter l'Ă©niĂšme passage Ă  la douche, le maquillage perfectionniste, le choix pointilleux des vĂȘtements et des assortissements, des bijoux et des chaussures, ainsi que la coiffure. Jamais, au grand jamais, Dominura ne nĂ©gligeait son apparence pour sortir. Et si en ces derniers mois elle avait eu quelques faux pas, comme Ă  son laisser-aller ou bien sa dĂ©coiffure publique lors de sa crise Ă  l'universitĂ©, elle en Ă©tait bien vite revenue Ă  ses Pshhht ! PsshhQuelques vapeurs de parfum, son Ă©ternel Galliano, et elle Ă©tait dernier coup d'oeil au miroir ?Tout semblait parfait. Sa robe vert anis aux manches trois quards passait Ă  merveille au niveau de ses Ă©paules, dĂ©gageant son cou d'un beau dĂ©colletĂ© en V, alors que la taille resserrĂ©e laissait ensuite paraitre une forme Ă©vasĂ©e aux tombĂ©s gracieux. A ses poignets, quelques bracelets d'argent, assortis Ă  son collier et ses boucles d'oreilles, ces deux derniers Ă©lĂ©ments ne manquant pas d'une pierre couleur pistache assortie Ă  la robe, brillant sans excĂšs, mais ajoutant un peu de dynamisme Ă  son visage bien maquillage, son rose-rouge aux lĂšvres persistait, tandis qu'un beau trait de khĂŽl noir lui surlignait l'oeil, sous la poudre verte de ses paupiĂšres, un maquillage assez particulier et reconnaissable parmis tous, purement Dominurien, comme pouvaient le dire les journalistes encore interloquĂ©s d'une telle excentricitĂ© sur une femme aussi jeune et dont le style initial ne laissait pas paraitre de tels goĂ»ts pour une coloration des paupiĂšres aussi dĂ©passĂ©e. Le fait Ă©tait que cela lui allait Ă  merveille, et que, on aurait beau lui critiquer son maquillage, elle n'en changerait pas aimaient, elle aimait, Bernard aimait, c'Ă©tait tout ce qui importait. Adorable. Evidemment, l'avis de Ludmila comptait aussi, et aurait Ă©tĂ© dans les trois plus importants, mais, Ă  son savoir, Dominura n'avait jamais eu l'Ă©cho d'une quelconque parole de la charmante russe Ă  ce chaussures vertes, un tantinet plus foncĂ©es, assorties tout de mĂȘme, notamment au foulard qui lui servirait seulement pour le trajet. Enfin, une coiffure relevĂ©e en un chignon pincĂ© mais naturel, dynamique et classe Ă  la fois terminait le tableau en beautĂ©, quelques mĂšches brunes et ondulĂ©es s'Ă©chappant dans sa nuque et de chaque cĂŽtĂ© de son bien, bien. Derniers prĂ©paratifs de toilette, et elle pouvait ? Oui. Car cette fois-ci, Ludmila ne la rejoignait pas plus chez elle qu'elle n'irait la chercher Ă  son appartement. En effet Les deux jeunes femme, par soucis de temps et de facilitĂ©, avaient dĂ©cidĂ© de se rejoindre devant la salle. AprĂšs tout, cela n'Ă©tait pas bien compliquĂ©, et Dominura aurait ainsi le loisir de la surprise quant Ă  la tenue de Ludmila, tout comme les autres invitĂ©s dont elle ne connaissait pas un visage ni un bouffĂ©e de stress, puis la grande femme empoigna son petit sac Ă  main de soirĂ©e, ses clefs, et ses talons claquĂšrent le sol, vers la sortie de son grand appartement bien calme. Hop, fermeture exterieure de la porte, verrou, dĂ©gringolage grĂącieux des escaliers, et Dominura se retrouva dans sa voiture, puis, au bout d'un certain temps de route, sur le parking du inspirations, Reprise de ne connaissait en somme rien de ce qu'elle pourrait voir dans cette soirĂ©e. L'ambiance, le type de gens, cela faisait bien longtemps qu'elle n'y avait pas Ă©tĂ© confrontĂ©e. Finalement, ce qui lui faisait le plus peur Ă©tait sans doutes de voir Ludmila si bien entourĂ©e, et elle-mĂȘme si perdue. Car son ex-assistante Ă©tait Ă  prĂ©sent du millieu, et c'Ă©tait elle, l'Illustratrice, qui n'y Ă©tait absolument pas Ă  sa Cela va aller. Il n'y a pas de raisons, n'est-ce pas ? La porte de la voiture s'ouvrit, puis se referma, et la grande femme, droite comme un I, classe comme impossible, se retrouva bientĂŽt devant la porte de la salle, apprĂ©hendant toujours quelque peu, entendant dĂ©jĂ  des rires Ă  l'interieur, coupant avec le silence exterieur, seulement brisĂ© par les souffles de la nuit dĂ©jĂ  viens de l'avance ? Oh, misĂšre, j'en avais oubliĂ© l' n'ai pas froid,Mais rejoins moi-doncSourire serein et prestance Ă©vidente, euphorie Ă  dĂ©jĂ  m'imaginer te voir, Il me faut ta forcePour prendre confiance en cet inconnu qui s'Ă©tale devant moi,Et resplendir comme je le fais Ă  l'habitudeDans l'environnement qui est le soir, Je rayonnerrai pour toi.<3DerniĂšre Ă©dition par Dominura Romley le Jeu 15 Oct - 2050, Ă©ditĂ© 1 fois InvitĂ© Empire State of MindInvitĂ© Sujet Re [.] Les fleurs Ă©closent aussi la nuit. <3 [PV Ludmi] /!\ Mar 6 Oct - 1616 Le mois d’octobre touchait Ă  sa un mois que Ludmila avait dĂ©mĂ©nagĂ© aux Etats-Unis, quittant Londres dans l’unique but de rejoindre la femme qu’elle aimait, forcĂ©e elle-mĂȘme Ă  abandonnĂ© l’Angleterre pour sa la jeune Russe n’avait pas eu tant de mal Ă  se faire Ă  cette nouvelle vie, n’ayant Ă  vrai dire que peu d’attaches Ă  Londres. S’intĂ©grer n’étant pas une chose primordiale Ă  ses yeux, elle ne pouvait nĂ©anmoins nier que la plupart de ses collĂšgues semblaient s’intĂ©resser Ă  elle, tout comme elle sentait son pouvoir sur les Ă©tudiants, et sa capacitĂ© Ă  avoir de nombreuses connaissances, rapidement, en ne faisant que sortir pour se dĂ©tendre. Tout Ă©tait allĂ© trĂšs vite, et si Ludmila n’avait pas de vĂ©ritables amis – comme d’habitude – elle ne pouvait que se sentir entourĂ©e, protĂ©gĂ©e par ces gens qui pour l’instant n’avaient rien contre elle, ne connaissant pas mĂȘme la rĂ©putation de garce qu’elle pouvait avoir Ă  Ă©videmment, si cela arrivait 
 Non, et comme depuis plusieurs mois dĂ©jĂ , Ludmila ne vivait plus que pour la belle française, n’ayant pas la moindre envie d’offrir son corps Ă  qui que ce soit d’autre, tant son cƓur lui Ă©tait dĂ©jĂ  entiĂšrement suis Ă  tu es Ă  sĂ»r 
 N’y avait-il pas quelques Ă©carts ?Ludmila sortait seule, souvent, se laissant dĂ©sirer de quelques inconnus n’ayant pas la moindre idĂ©e du dĂ©sir profond de fidĂ©litĂ© de cette charmante blonde. Sans doute ne se donnait-elle pas l’air d’ĂȘtre en couple. Sans doute, au contraire, faisait-elle tout pour faire croire l’inverse. Pourquoi ? Pour continuer Ă  jouer, sans pour autant dĂ©passer les limites qu’elle s’imposait naturellement. N’avait-elle pas jouĂ© Ă  ce petit jeu stupide avec l’un de ses collĂšgues ? Oui. CollĂšgue qu’elle n’avait croisĂ© que quelques fois. CollĂšgue qui serait sans doute prĂ©sent Ă  cette soirĂ©e, Ă  laquelle Ludmila avait Ă©tĂ© invitĂ©, tout comme tous les professeurs des universitĂ©s de New-York et leurs conjoints.
Ce Ă©videmment, Ludmila n’avait pas manquĂ© de convier sa conjointe, quoi que sachant pertinemment que – pour le bien de la carriĂšre de cette derniĂšre ? – il leur serait impossible de se prĂ©senter comme qui par ailleurs commencer Ă  peser sur la jeune psychologue, sentant sa possessivitĂ© l’emporter sur sa raison. Comment supporter encore le regard des autres sur sa belle amante ? Comment mĂȘme accepter qu’elles ne puissent pas s’aimer ouvertement ? 
 Il le fallait, n’est-ce pas ?AprĂšs quelques heures de travail intensif, Ludmila laissa finalement son regard dĂ©vier sur sa montre, se levant d’un bond lorsqu’elle rĂ©alisa qu’il ne lui laissa plus que trois quart d’heure pour se prĂ©parer et rejoindre l’universitĂ©. Laissant donc tout en plan sur son bureau, la jolie blonde se prĂ©cipita jusqu’à sa salle de bain, oĂč commença donc de longues minutes de une demi-heure, bien que se pressant au maximum, Ludmila se retrouva fin prĂȘte Ă  peu paniquĂ©e Ă  l’idĂ©e d’arriver en retard, la jeune femme ne nĂ©gligea tout de mĂȘme pas de soigner son apparence, portant pour l’occasion un ensemble qu’elle avait dĂ©jĂ  portĂ©e auparavant Tout d’abord, une trĂšs lĂ©gĂšre robe noir, douce et soulignant ses formes, de fines bretelles. Et puis, une seconde couche, d’un noir transparent, extrĂȘmement fine et dĂ©licate, soulignant la premiĂšre tout en la dĂ©passant lĂ©gĂšrement. EvasĂ©e au niveau des Ă©paules, de vrais manches, courtes nĂ©anmoins, retombant gracieusement sur le haut de ses Ă©paules, et un dĂ©colletĂ© attirant mais toujours discret. Au niveau des jambes ? Comme souvent, cet ensemble lui arrivait un peu au dessus du genou, alors que la jeune femme portait de charmantes chaussures Ă  talons noires, fines et quelque peu plus ouvertes qu’à l’habitude, laissant entrevoir le haut de ses pieds nus. »Tenue qui lui allait Ă  merveille, donc. Peut-ĂȘtre trop ? ses cheveux et les laissant retomber bouclĂ©s sur ses Ă©paules, Ludmila se passa par la suite son habituel rouge Ă  lĂšvre cerise, un trait de khĂŽl noir, du mascara noir, rien de plus. Maquillage plutĂŽt simple, afin de ne tout de mĂȘme pas en faire trop, alors que cette soirĂ©e serait sans doute bien plus simple que celles auxquelles elle avait pu dĂ©jĂ  assister avec la cĂ©lĂšbre doute toutes deux sembleraient exagĂ©rer quelque peu, en comparaison aux autres professeurs, n’est-ce pas ? Cela Ă©tait fort possible, Ă  vrai dire. Dominura Ă©tait toujours trĂšs classe, et Ludmila – mĂȘme si ses moyens Ă©taient plus faibles – aimait se mettre en valeur. Les autres ? Peut-ĂȘtre certaines femmes ne seraient-elles mĂȘme pas en jupe/robe. Les hommes ne porteraient pas de costumes. Le punch remplacerait le champagne et les toasts ne seront pas garnis de caviar mais de quelque chose de bien moins autre pas plus dĂ©sagrĂ©able pour autant, n’est-ce pas ?Une ambiance moins lourde pour Ludmila, plus dĂ©penses prĂ©tentions monde semblait plus imprĂ©visible, certes, mais non moins les escaliers de l’immeuble aprĂšs avoir mit sa veste et fermĂ© sa porte Ă  clĂ©, son sac Ă  l’épaule, Ludmila se dĂ©pĂȘcha de marcher jusqu’à l’universitĂ©, n’ayant pas plus de voiture Ă  New-York qu’à minutes seulement aprĂšs l’heure de rendez-vous prĂ©vu avec sa conjointe, la jeune Russe arriva devant l’entrĂ©e de la salle oĂč se dĂ©roulerait la fĂȘte, quelque peu tremblante de par ce froid qui s’était quelque peu installĂ©, le vent frais venant caresser ses jambes sourire doux et spontanĂ© venant se dessiner sur ses lĂšvres Ă  la vue de la sublime française, Ludmila ne tarda pas Ă  se rapprocher d’elle, droite et gracieuse, visiblement de bonne humeur et pas le moins du monde angoissĂ©e quand Ă  cette soirĂ©e. Du moins 
 Beaucoup moins que lorsqu’elle se rendait aux soirĂ©es de Dominura, n’est-ce pas ? Ce qui Ă©tait tout Ă  fait normal, au Bonsoir, jolie française. <3Regard furtif aux alentours ses dents sur sa lĂšvre infĂ©rieure alors que ses yeux passaient plus attentivement sur le visage sublime de son amante, Ludmila passa le bout de ses doigts contre une mĂšche de ses cheveux, jouant avec une boucle sans toucher Ă  la peau de l’illustratrice. Puis, sa main revint Ă  elle, naturellement, sans que ce geste ne semble trop louche, au cas oĂč quelqu’un les ai vus - Tu ne m’attends pas depuis trop longtemps ?Tu es prĂȘte Ă  rentrer, mon Amour ?Vois comme je tremble. Il fait froid, n’est-ce pas ?N’as-tu pas froid ?J’aimerai te serrer contre rĂ©chauffer.<3 InvitĂ© Empire State of MindInvitĂ© Sujet Re [.] Les fleurs Ă©closent aussi la nuit. <3 [PV Ludmi] /!\ Mar 6 Oct - 1831 Dominura pouvait-elle exactement savoir qu'elle avait quelque peu exagĂ©rĂ© sa tenue, en mettant ces beaux bijoux, cette splendide robe, au si charmant tombĂ©, Ă  la si superbe coupe ? Non, au final. Au final, la grande femme Ă©tait si peu habituĂ©e Ă  ce genre de soirĂ©es qu'elle ne connaissait pas bien les limites financiĂšres. Et si le caviar et le champagne ne lui manqueraient absolument pas, sans doutes ne se sentirait-elle pas vraiment Ă  son aise, parmis des gens plus modestes, alors qu'elle aurait sorti le grand jeu, comme cela se moins, elle puis. N'Ă©tait-elle pas connue pour son incroyable talent Ă  s'adapter Ă  tout ? Il Ă©tait bien temps d'en faire preuve, dĂ©sormais. MĂȘme si cela n'Ă©tait pas du travail, et encore moins matĂ©riel, il fallait bien qu'elle s'y fasse. Et elle le savait Elle s'y l'arrivĂ©e de Ludmila se faisait de plus en plus primordiale. Tout d'abord parce que l'Illustratrice avait, malgrĂ© son air calme et son fin sourire, une envie folle et irresistible de la voir, mĂȘme sans pouvoir rĂ©ellement la toucher ou s'afficher avec elle. Ensuite, parce qu'il commençait Ă  faire serieusement froid, Ă  rester ainsi statique, devant la porte d'entrĂ©e, surtout en sentant la chĂąleur humaine juste derriĂšre, ou presque. Et enfin, car la tention devenait plutĂŽt palpable en son esprit, plus elle restait seule. Les minutes de silence ne pouvaient que lui suggĂ©rer de penser, or, elle ne voulait pas le faire. Elle ne le voulait pas, car simplement, elle savait que si elle commençait Ă  penser, elle tenterait inconsciemment de programmer, dans son esprit, le dĂ©roulement de la soirĂ©e, ce qui Ă©tait absolument impossible, donc frustrant, et ne tarderait pas Ă  la mettre mal Ă  l' idĂ©e, aussi, d'arriver quinze minutes en avance !Il n'y avait pas Ă  dire, Dominura demeurait toujours aussi Ă  cheval sur les horraires, quoiqu'un peu vraie nĂ©vrosĂ©e...."Ah, Ludmila !"Quelque peu avant l'heure prĂ©vue, mais de quelques minutes a peine, Ludmila fit son arrivĂ©e sur la place, superbement vĂȘtue, au plus grand plaisir de sa conjointe qui ne manqua pas de se dĂ©lecter de sa vue pendant que sa bien aimĂ©e avançait vers elle. Magnifique. Tu es magnifique, petit chat. Peut-ĂȘtre un peu dĂ©nudĂ©e, pour le froid qu'il fait dĂ©sormais ? Peu importe peut-ĂȘtre. Nous ne tarderons pas Ă  bonne humeur se lisait sur le visage de l'une comme sur le visage de l'autre, alors que Dominura ne laissait en rien voir son apprĂ©hension camouflĂ©e. Sans doutes que Ludmila devait se douter de sa petite peur, mais enfin, cela restait tout de mĂȘme d'un degrĂ© bien faible, alors que la belle française la gratifiait d'un sourire doux et calme, enjouĂ© tout de mĂȘme. Une fois Ludmila plus proche, la grande femme laissa son sourire s'Ă©largir discrĂštements Ă  ses paroles, amusĂ©e ; Paroles auxquelles elle rĂ©pondit, d'un mĂȘme ton, usant cependant volontairement... D'un accent français, malicieux "Bonsoir Ă  vous, charmante demoiselle"Evidemment, le regard furtif de sa belle aux alentours ne put que faire sourire Ă  nouveau la trentenaire, qui savait bien la souffrance et la frustration que c'Ă©tait de devoir sans arrĂȘt s'assurer que personne ne pouvait les prendre en flagrant dĂ©lit. Mais enfin, cela arriverait bien un jour de devoir s'afficher, car tout comme sa conjointe, l'Illustratrice, plus qu'Ă  Londre encore, commençait serieusement Ă  perdre patience quant au fait de devoir garder leur relation secrĂȘte alors qu'elle-mĂȘme se savait parfaitement sĂ»re d'elle et de ses en parleraient, Ă  nouveau. Elle prendraient leur dĂ©cision. Dominura l'annoncerait, officiellement ou plus discrĂštement... Et enfin, elles pourraient s'afficher plus clairement, avec moins de paranoĂŻa, dans leurs mondes la meilleure chose Ă  faire ?Peut-ĂȘtre il le fallait ; Quoi que Dominura semblait mieux pouvoir le contenir que Ludmila, peut-ĂȘtre par son ! Ne t'approches donc pas tant, petit chat ! Sais-tu que je pourrais bien t'entrainer ailleurs un instant, le temps de te voler un baiser, sentant sur mes lĂšvres ton doux parfum de cerise ? Oh, cela ne serait pas trĂšs serieux. Alors ne me tentes donc pas, voyons. Laisses tes doigts le long de ton corps, ou offre-moi tout, sans peu de calme,Un peu de sourire Tu es la question de sa conjointe, la grande femme rĂ©pondit, d'un ton enjouĂ©"Oh, non, cela va bien, je suis lĂ  depuis a peine dix minutes... environ"Oui, environ. Environ cinq de plus, mais enfin ! regard se posant d'abord sur le visage de Ludmila, les yeux brillants, la grande femme finit cependant par le dĂ©river jusqu'Ă  ses Ă©paules, puis ses bras, lorsqu'elle remarqua le froid qui s'emparait de sa conjointe plus que d'elle-mĂȘme, cette derniĂšre tremblant comme une feuille. Comme un sursaut, choc Ă©lĂ©ctrique de la galanterie ou de l'Illumination, Dominura s'exclama"Mais tu as froid, Ludmila ! Viens, rentrons, de toutes façons j'imagine que cela a dĂ©jĂ  commencĂ© !"Et elle poussa les portes de l' s'Ă©chapper un lĂ©ger rire, elle ajouta, un peu mal Ă  l'aise mais toujours de bonne humeur"... Il faudra que tu me prĂ©sente ton environnement, j'ai bien peur de ne pas trop avoir l'habitude de ce genre de rĂ©unions !"Je te laisse me guider,Ensuite je marcherai de mes en attendant, et je te ferai honneur,Toujours Ă©gale Ă  moi-mĂȘme, mais plus humble encore qu'Ă  l'habitude,Je m'adapterai Ă  ton monde, Comme tu as essayĂ© de le faire au seulement,Et j'aurai en moiLa InvitĂ© Empire State of MindInvitĂ© Sujet Re [.] Les fleurs Ă©closent aussi la nuit. <3 [PV Ludmi] /!\ Mar 6 Oct - 1933 Sublime regards ne se poseront que d’autant plus sur toi, n’est-ce pas ?Sur nous ? Nos tenues pourraient passer pour exubĂ©rantes, pour un milieu tel que celui de l’ tienne d’autant plus, laissant deviner une excentricitĂ© d’artiste. ExcentricitĂ©, que j’aime pourront nous voir, nous scruter, et se demander pourquoi donc une amie m’accompagne, plutĂŽt qu’un probable petit ami. Qui penserait que Ludmila puisse ĂȘtre seule ? Oh, tout en l’ayant Ă©tĂ© toute sa vie depuis sa rencontre avec la belle illustratrice, Ludmila n’avait jamais vraiment Ă©tĂ© seule, au regard des autres. Toujours accompagnĂ©e, d’un inconnu ou d’une relation passagĂšre. Rien de sĂ©rieux Ă  ses yeux. Et ce soir, tout Ă©tait semble ĂȘtre je sais, que je ne le suis es lĂ . un sourire adorable Ă  sa conjointe lorsque cette derniĂšre la remarqua, Ludmila ne manqua pas de pincer trĂšs lĂ©gĂšrement ses lĂšvres lorsque la jeune française lui rĂ©pondit de cet accent natal qui lui allait si bien. Excitant. Oh, mais bien sĂ»r, il ne fallait pas comment ce jeu lĂ , oĂč la charmante psychologue ne pourrait tenir la soirĂ©e entiĂšre sans attirer sa belle Ă  l’écart. Par ailleurs 
 Les portes menant au reste de l’universitĂ© Ă©taient-elles fermĂ©es ? Oui, sans doute. Le directeur avait sans doute prit soin de ne garder ouvertes que celles menant aux sanitaires, afin de ne pas prendre le risque d’enfermer qui que ce soit Ă  la fin de la soirĂ©e, ni de devoir faire face Ă  quelques dommages, des possibles vols de matĂ©riel. Charmante Demoiselle » me parles pas avec cet sais. Tu sais, Ă  quel point il me fait craquer, de ta voix. <3Fronçant lĂ©gĂšrement les sourcils, Ă©touffant un rire mi-amusĂ©, mi-rĂ©probateur, Ludmila n’ajouta pourtant rien, laissant sa conjointe deviner les frissons qu’elle lui imposait de ces mots Dominura Ă©tait lĂ  depuis environs » dix minutes ?Gardant un sourire ouvertement amusĂ©, Ludmila hocha trĂšs simplement la tĂȘte, bien qu’il fĂ»t Ă©vident qu’elle devinait que la prĂ©sence de sa conjointe devant cette porte Ă©tait longue de quelques minutes de plus. Connaissant l’illustratrice, la jeune Russe comprenait cet environs » comme la dissimulation d’une avance exagĂ©rĂ©e, totalement digne d’ Dominura fut prise d’un lĂ©ger sursaut, remarquant le froid de sa partenaire. Cette derniĂšre, face Ă  l’empressement de sa belle, laissa Ă©chapper un lĂ©ger rire, trouvant l’illustratrice absolument adorable de se soucier ainsi d’elle. Ca n’était pas la premiĂšre fois, certes. Mais chaque nouvelle attention ne pouvait que lui faire plaisir, l’émouvoir, au fond. Dominura Ă©tait vraiment parfaite. Parfaitement amoureuse, n’est-ce pas ?Oui, la soirĂ©e doit dĂ©jĂ  avoir commencĂ©, quoi qu’il doive tout de mĂȘme manquer bon nombre d’ son aimĂ©e pousser la porte, la suivant sans un mot, un sourire restant seulement dessinĂ© sur ses jolies lĂšvres rouges, Ludmila la suivit jusque dans l’entrĂ©e, ne pouvant s’empĂȘcher de laisser sa main droit venir frĂŽler son dos, furtivement, sans rĂ©elle force. Il faudra que tu me prĂ©sente ton environnement, J'ai bien peur de ne pas trop avoir l'habitude de ce genre de rĂ©unions ! »Son regard observant amoureusement le visage, les expressions de sa conjointe – quoi que ne la voyant pas de face – Ludmila ne tarda pas Ă  lui rĂ©pondre, comprenant que la jeune femme ne se sente pour l’instant pas des plus Ă  l’aise, dans un milieu qu’elle ne connaissait pas, auquel elle n’était absolument pas Ne t’en fais pas 
 Cela ne seras pas bien diffĂ©rent des soirĂ©es auxquelles tu es une pause, haussant les sourcils avec une sorte d’amusement exaspĂ©rĂ©, Ludmila ajouta, laissant la complicitĂ© qui les liait faire comprendre Ă  sa belle qu’au fond, quel que soit les milieux sociaux, toutes deux auraient Ă  faire face aux regards curieux, aux questions, et aux situations dĂ©rangeante - Si ces gens sont moins riches, ils aiment tout autant les 
 Le naturel et la spontanĂ©itĂ© seraient peut-ĂȘtre plus prĂ©sents, ici. Mais au fond, cela ne changeait rien. Et sans vraiment s’en rendre compte, Ludmila avouait Ă  sa conjointe le mĂ©pris qu’elle pouvait ressentir Ă  l’égard des gens, quels qu’ils soient. Comme si 
 Comme si, sans mĂȘme les connaĂźtre, la jeune femme Ă©tait persuadĂ©e qu’ainsi regroupĂ©s, hommes et femmes ne valaient rien. NĂ©anmoins, la jeune Russe gardait le sourire, n’étant Ă  vrai dire pas touchĂ©e par sa propre vision des choses, Ă©tant depuis bien longtemps habituĂ©e Ă  observer les comportements des autres plutĂŽt qu’à tenter de s’y intĂ©grer. Guidant sa conjointe jusqu’au vestiaire, Ludmila regarda furtivement autours d’elle avant d’y entrer, attirant finalement Dominura en prenant sa main, puis la forçant malicieusement Ă  se tourner dos au moins de deux secondes, la jolie blonde laissa ses lĂšvres voler un tendre et dĂ©licieux baiser Ă  Dominura, sans pour autant s’attarder, au cas oĂč quelqu’un pĂ©nĂ©trerai dans la <3Reculant doucement son visage, faisant se frĂŽler doucement leurs nez en relevant la tĂȘte, Ludmila se retourna finalement, comme si de rien Ă©tait, posant sa veste et son sac, n’en ayant pas vraiment l’utilitĂ©. Ne craignait-elle pas les vols ? Pas vraiment. Il n’y avait rien de bien important, dans ce sac. Et puis, qui ferait cela ? Se tournant Ă  nouveau vers sa conjointe, prĂȘte Ă  l’attirer vers la sortie, Ludmila sembla soudainement coupĂ© dans son Ă©lan, son sourire s’effaçant afin de laisser un air plus sĂ©rieux – quoi que sans aucune nĂ©gativitĂ© – se rependre sur son Evite de te laisser trop approcher, d’accord ? 
 Ludmila savait que l’illustratrice n’avait pas besoin que sa conjointe le lui demande, pour Ă©viter tout rapprochement avec qui que ce soit. Pourtant 
 La jeune Russe ne pouvait s’empĂȘcher de craindre une pulsion paranoĂŻaque de sa part, si jamais un des autres invitĂ©s venait Ă  ĂȘtre trop proche de la belle française Ă  son suis le sais, n’est-ce pas ?Alors avant que nous nous mĂȘlions Ă  la foule,Que tout ira bien.
 InvitĂ© Empire State of MindInvitĂ© Sujet Re [.] Les fleurs Ă©closent aussi la nuit. <3 [PV Ludmi] /!\ Mar 6 Oct - 2034 A ses paroles, Dominura eut bien vite une rĂ©ponse, de la part de la belle russe, qui l'avait tout d'abord suivie silencieusement Ă  passer la porte. Pas bien diffĂ©rent des soirĂ©es auxquelles elle Ă©tait habituĂ©e ? Eh bien... Elle esperait le croire. Mais en disant cela, sans doutes son ex-assistante, Ă  prĂ©sent professeur, ne prennait pas en compte que lors de ses soirĂ©es d'Ă©dition ou autres, Dominura connaissait au moins les cinq sixiĂšme des gens prĂ©sents... Et qu'ici, la seule tĂȘte qui lui Ă©tait connue Ă©tait celle de son amour. Tout cela, pour la grande femme, changeait considĂ©rablement l'angle des rien que pour cela, dĂ©jĂ , cette soirĂ©e serait bien, bien diffĂ©rente de toutes celles qu'elle avait pu faire depuis bien des point de repĂšre, tout reprendre Ă  zĂ©ro, avec des gens d'un cadre qu'elle n'avait pas cotoyĂ© depuis longtemps. Eh bien ! Au moins, cela lui apprendrait un peu Ă  quoi ressemblent les collĂšgues de travail de son aimĂ©e, qui lui en avait parlĂ© quelques fois, mais sans plus, se retrouvant bien souvent Ă  parler de cela lorsque Dominura Ă©tait occupĂ©e, finalement forcĂ©e Ă  arrĂȘter ses dires, pour lui laisser la derniers temps d'ailleurs, l'Illustratrice se nĂ©vrosait un peu de ses tĂąches, se renfermant sur son travail lorsqu'elle n'avait pas la visite de la belle blonde Ă  son appartement. Et, travail oblige, comme cette derniĂšre n'Ă©tait point bien lĂ  la journĂ©e, Dominura pouvait se retrouver des heures et des heures, comme avant, penchĂ©e sur ses Illustrations sans en dĂ©crocher, Ă  finir par parler toute seule en commentant ses couleurs, ou bien rageant contre la tonne de boulot qu'elle avait Ă  conclure avant la semaine fut un miracle pour elle d'ĂȘtre ainsi sortie de son monde intime pour voir un peu l'exterieur, des gens, et son aimĂ©e ; Et cela, sans doutes Ludmila y avait-elle songĂ© en l'invitant Ă  l'accompagner, profitant de cette occasion pour faire Ă©chapper son ex-patronne aux tentacules de son travail et de ses obsessions perfectionnistes qui la poussaient Ă  y rester diablement accrochĂ©e. Pour une sortie banale, elle n'aurait sans doutes pas cĂ©dĂ©. Mais pour une fois, la trentenaire avait dĂ©cidĂ© de faire un effort pour sa conjointe, acceptant d'abord Ă  contre coeur puis avec plus d'entrain -le recul prit- de lui accorder son temps et son esprit tout entier, promettant presque de ne plus songer Ă  ses rendus pour la n'en aurais pas tirĂ© la tĂȘte, ajouta, Ă  sa prĂ©cĂ©dente prise de paroles, une phrase dont Dominura ne manqua pas d'immĂ©diatement capter le sens les gens ne manqueraient pas de les regarder, se poser des questions, et en parler entre eux, quitte Ă  lancer des rumeurs et des commĂ©rages. L'attention Ă©tait de jeu, et il faudrait le jouer serrĂ© pour ne pas trop se faire remarquer. Bien. Petit chat, j'ai comprit le message et le suivrai de aussi, j'ai comprit, et bien entendu. Tu n'accordes pas tes faveurs Ă  ce genre de situations ; Sans doutes n'aimes-tu pas vraiment les gens, ainsi portĂ©s en groupes, en proie Ă  leurs propres phĂ©nomĂšnes. Et oh, comme je te ferons en sorte de bien nous en sourire,Nous les gardons. Le tien te va si bien. TantĂŽt, je me retourne quelque peu, te regardant avec amour et fascination, tant que je le peux. Ludmila,Tu es... A quoi qu'il arrive, ne l'oublies pas...Je ne te laisserai pas aux autres. Qu'ils te touchent, et je ne sais pas si je pourrai retenir mes Ă©lans de ? N'y pensons pas ! Nous n'avons rien Ă  la charmante blonde guida son ex-patronne jusqu'aux vestiaires, non loin de lĂ . Les vestiaires ? Ah, oui, pour les sacs, et peut-ĂȘtre mĂȘme son foulard. Dominura, a vrai dire, trop prise par l'instant et l'idĂ©e de la soirĂ©e, avait passĂ© le dĂ©tail de ce genre de dĂ©tours. Mais quelle ne fut pas sa suprise, lorsque, dans l'innatendu, elle fut saisie par la main, puis retournĂ©e dos au mur, Ludmila fondant sur elle afin de lui voler un dĂ©licieux de sourcils, Roseur venant aux joues, les yeux brillants, Dominura laissa ses lĂšvres s'entrouvrir alors que sa belle se surprise, ?Ludmila... !! <3Leur contact fut bien vite brisĂ©, Ludmila ĂŽtant son sac ainsi que sa veste, suivie par Dominura qui en fit de mĂȘme, avec son foulard. Hop, hop, un instant de plus, et sa conjointe se retournait Ă  nouveau vers elle, cette fois quelque peu plus serieuse, moins fourbe mais pas de mauvaise humeur pour autant. Evite de te laisser trop ?La grande femme eut un instant de silence, alors que ses yeux verts restaient en contact avec ceux de son interlocutrice. Evidemment, qu'elle ne se laisserait pas trop approcher. De toutes façons, elle ne connaissait personne, et ne dĂ©sirait pas se faire d'amis proches, ni plus, avec qui que ce soit dans cette soirĂ©e. Tout ce qu'elle voulait, c'Ă©tait accompagner Ludmila, voir un peu cet environnement encore inconnu pour bien des choses, et cela en Ă©tait sa conjointe, elle, risquait bien de plus s'amuser, et Ă©galement de se rapprocher de plus de monde, n'est-ce pas ? Elle avait ses collĂšgues, et les autres invitĂ©s. A quoi l'Illustratrice devait-elle s'attendre ?En ce soir, elle avait bien dĂ©cidĂ© de quelque ne se prendrait pas la puis. S'il se passait quoi que ce soit de nĂ©gatif ; Elle serait lĂ  pour le saisir, n'est-ce pas ?Dans tous les sans amusement, simplement calme, regard pĂ©nĂ©trant." toi ; Ne t'Ă©gare pas, petit chat"Passage du dos de la main sur la joue, alors que la brillance flamme de ses yeux happait les pupilles de Ludmila. Cela ira. J'ai confiance en toi. J'ai confiance en suis jalouse, tout autant que toi. Possessive, ne te laisserai Ă  ensemble,Rejoignons les commĂ©rages et les visages dĂ©formĂ©s de la foule,Peut-ĂȘtre n'auront-ils que faire de nous,Peut-ĂȘtre n'auront-ils que d'yeux pour clac, clac,Bruits de allons-nous ?Passe donc la porte, qui connais. InvitĂ© Empire State of MindInvitĂ© Sujet Re [.] Les fleurs Ă©closent aussi la nuit. <3 [PV Ludmi] /!\ Mar 6 Oct - 2133 Ne les laisse pas t’ les laisse pas mĂȘme te regarder, mon ne te rends pas compte 
 Oui ?Ludmila n’avait pas omis le fait que sa conjointe ne connaissait personne, en cette soirĂ©e. Tout comme elle n’omettait pas le fait que, contrairement Ă  Ludmila Ă  Londres, il Ă©tait fort possible que quelques enseignants ici prĂ©sents puissent quand Ă  eux connaĂźtre l’illustratrice, sa renommĂ©e montant peu Ă  peu Ă  New-York. D’autant plus qu’il y aurait sans doute quelques professeurs d’art, s’intĂ©ressant probablement Ă  l’illustration. Cette reconnaissance, sans doute, pouvait mettre la jeune psychologue quelque peu mal Ă  l’aise, tandis que les regards et les ragots ne s’attarderont qu’un peu plus encore sur la femme qu’elle jalousie la concernant, bien le talent de Dominura soit reconnu Ă©tait seul problĂšme Ă©tait sans doute que, plus encore qu’aux vernissages et autres soirĂ©es plus mondaines que celle-ci, l’argent et la popularitĂ© de l’illustratrice pouvait faire tourner des tĂȘtes. Sans compter sur sa beautĂ©, son charisme. Fascinante jeune femme. <3Ludmila avait eu le temps d’y songer, et ce la faisant mĂȘme hĂ©siter un instant, quand Ă  inviter sa conjointe Ă  l’accompagner. Mais le dĂ©sir de l’avoir auprĂšs d’elle l’avait nĂ©anmoins emportĂ© sur sa possessivitĂ©, tout comme le fait qu’elle ne pouvait tout de mĂȘme pas vouloir garder Dominura enfermĂ©e, sous prĂ©texte de risquer leur relation – ce qui Ă©tait purement absurde. Et puis 
 En effet, ces derniers temps, la jolie blonde n’avait pas manquĂ© de remarquer le travail intensif que fournissait sa conjointe, craignant sans l’avouer de la voir s’y enfermer davantage, ainsi coupĂ©e du monde. Et si Ludmila ne doutait pas que cela avait Ă©tĂ© bien souvent le cas par le passĂ©, elle ne souhaitait tout de mĂȘme pas laisser l’artiste dans son monde, s’éloignant peu Ă  peu d’elle, quoi qu’on en dise. Tu travailles mais toi, petit chat 
 Ne sors-tu pas trop, le soir ?Ne travailles-tu pas trop, Ă  ton tour, le jour ?Tu es venues pour elle, mais les heures passĂ©es ensembles se font plus rares qu’à Londres, quoi que non moins intenses, la plupart du temps. Oh, sans doute faut-il simplement en parler, rĂ©amĂ©nager les heures de libertĂ©, faire un effort, chacune de son cĂŽtĂ©. Evidemment. »LĂ©ger sourire, de la part de la jeune Russe, qui sentie ses joues rosir lĂ©gĂšrement aux suivantes paroles de sa conjointe. Ne pas s’égarer ? Oh, non, bien sĂ»r que non. La seule façon dont elle pouvait s’égarer Ă©tait sans doute de par son dĂ©sir pour Dominura, la prenant dĂ©jĂ  au ventre, tandis que ses lĂšvres brĂ»laient d’envie de l’embrasser Ă  nouveau. Une derniĂšre fois. Avant de ne plus le la main de sa belle passer sur sa joue, dans un geste prĂ©cipitĂ© alors qu’elle rĂ©alisait la difficultĂ© Ă  ne plus pouvoir toucher Dominura durant toute cette soirĂ©e, Ludmila laissa remonter vivement sa main vers sa propre joue, passant ses doigts contre ceux de son aimĂ©e, rapidement, afin de les serrer quelque peu, amoureusement. Et dans un mouvement impulsif et spontanĂ©, la jolie blonde laissa son corps frapper doucement celui de sa compagne, ses lĂšvres venant une nouvelle fois happer le siennes, en un dernier baiser, brĂ»lant d’un dĂ©sir qu’elle aurait du mal Ă  MhmhH 
 < Ludmila recula, lançant un regard malicieux et brĂ»lant d’amour Ă  sa belle avant de finalement ouvrir la porte, la laissant ainsi passer derriĂšre elle, s’avançant Ă  nouveau dans le hall et croisant lĂ  une femme qui s’apprĂȘtait Ă  entrer au vestiaire, accompagnĂ©e de son salut tout Ă  fait formel de la part de ce couple, auquel Ludmila rĂ©pondit poliment, avant de se tourner Ă  nouveau vers son amante, lui adressant un sourire plus calme, prĂȘte Ă  prĂ©sent Ă  entrer dans la salle deux jeunes femmes entrĂšrent donc dans la grande salle, plutĂŽt simple, dĂ©corĂ©e simplement par quelques plantes qui devaient bien dĂ©jĂ  se trouver lĂ  auparavant. Des tables, sur lesquelles se trouvaient le buffet, le punch. Une plus petite salle, en renfoncement, semblait ĂȘtre munie d’une piste de danses, de lumiĂšres plus tamisĂ©es. Rien de bien extraordinaire, Ă  vrai dire. Mais l’ambiance Ă©tait lĂ  Les peu de personnes prĂ©sentes semblaient enthousiastes, parlant de vive voix, riant de bon bientĂŽt, sans qu’elle ne la voit elle-mĂȘme arriver, une femme – grande, blonde, les yeux bruns et un air surexcitĂ© – vint lui sauter dessus, la prenant dans ses bras et l’étreignant, visiblement poussĂ©e par l’euphorie de la soirĂ©e - Te voilĂ Ă Ă Ă Ă Ă Ă Ă Ă Ă Ă Ă  ! Regarde, Regarde IL est lĂ Ă Ă Ă Ă Ă  !Un signe de tĂȘte en direction d’un jeune homme, laissa Ă©chapper un lĂ©ger rire, prise par surprise par cette collĂšgue qui Ă©tait un jour venue se confier Ă  elle, avouant son profond et obsessionnel amour pour ce scientifique solitaire et rĂ©servĂ©, toujours habillĂ©e de ses lunettes et de sa blouse blanche. Sauf pour cette soirĂ©e, Ă©videmment. Oh et bien 
 Vas lui parler ?Haussant les sourcils, amusĂ©e par cette femme – sans doute pas bien plus vieille qu’elle – qui rĂ©agissait encore comme une adolescente, face Ă  un homme qu’elle pensait ĂȘtre l’amour de sa femme se figea tout Ă  coup, semblant rĂ©flĂ©chir aux paroles de sa comme si l’idĂ©e lui semblait absolument merveilleuse, elle serra Ă  nouveau Ludmila dans ses bras, surexcitĂ©e, tout en la remerciant et lui laissant entendre Ă  quel point elle Ă©tait de merveilleux voilĂ  tournant vers Dominura, Ludmila garda les sourcils lĂ©gĂšrement haussĂ©s, Ă©touffant un lĂ©ger rire Ă  la fois moqueur et amusĂ© par le simple fait qu’il puisse exister de telles personnes. Cette femme, qu’elle ne connaissait Ă  peine, et qui Ă©tait – Ă  son souvenir – professeur de mĂ©thodologie, avait donc fait l’accueil de Dominura et son ex-assistantes, toute d’eux ayant un aperçut de cette heureusement, tout le monde n’était pas ainsi, n’est-ce pas ?ClacClacClacUne femme s’ pas toi,Qu’elle regarde ? InvitĂ© Empire State of MindInvitĂ© Sujet Re [.] Les fleurs Ă©closent aussi la nuit. <3 [PV Ludmi] /!\ Mar 6 Oct - 2207 Eh oui. Cette soirĂ©e ne serait pas facile, pour les deux jeunes femmes Elles ne pourraient pas se toucher comme elles en auraient envie, ni mĂȘme trop s'approcher, se frĂŽler... A part si, peut-ĂȘtre, elles partaient danser. Mais Dominura Ă©tant piĂštre danseuse, elle n'avait plus bien l'espoir de pouvoir retrouver un contact pronomcĂ© avec son amour avant la fin de ce sĂ©jour dans l' de un, de deux, et la grande femme se retrouva une fois de plus sous les lĂšvres de sa conjointe, y succombant Ă  nouveau, sans mĂȘme y apporter une quelconque rĂ©sistance, bien au contraire, laissant sa langue caresser la sienne, avec dernier baiser de la soirĂ©e ? < garce, qui ainsi me provoque, avant de repartir, lĂ , vers la porte ! Je sais que nous devons y sortant, les deux jeunes femmes croisĂšrent un couple, qui se rendait alors tout innocemment vers les vestiaires. Sans s'en rendre compte, sans doutes portĂ©e par le petit stress dans son ventre et le dĂ©but d'euphorie Ă  l'idĂ©e d'ĂȘtre ici en compagnie de sa conjointe, l'Illustratrice laissa Ă©chapper un petit rire, pour elle mĂȘme, un peu plus loin, songeant avec un amusement enfantin Ă  ce qui aurait pu se passer si jamais les deux les avaient prises en flagrant cela Ă©tait vallait en rire, non ? Petit grain d'optimisme plutĂŽt rare chez la grande femme, qui s'Ă©lançait Ă  prĂ©sent gracieusement Ă  la suite de la belle russe, si dĂ©sirable, si belle... Tellement... A elle ?Hum. N'y pensons pas !Une fois entrĂ©es dans la salle, Dominura jeta un coup d'oeil intriguĂ© mais enthousiaste autour d'elle. Un brin d'experience et Ludmila pouvait remarquer qu'il Ă©tait certainement lĂ  une façade nerveuse, comme en confĂ©rence, avant que l'artiste ne puisse rĂ©ellement se sentir bien et s'amuser un tantinet. En attendant, elle demeurait comme interessĂ©e, alors que ses yeux portaient tantĂŽt sur sa compagne que sur les autres invitĂ©s, plutĂŽt joyeux bien, bien. Une ambiance bonenfant, des visages plutĂŽt chaleureux... Mais evidemment, un trouble certain au passage de cette femme en vert, plutĂŽt excentrique, lorsque l'on y regardait bien, dans sa couleur alors qu'une furie fondit sur Ludmila, faisant sursauter l'Illustratrice, qui demeurait quelque peu dans ses pensĂ©es. Un coup d'oeil, petit haussement de sourcils, et Dominura assista Ă  la scĂšne purement... adolescentienne de cette jeune professeur qui semblait littĂ©ralement bader sur un des invitĂ©s prĂ©sents. Toujours Ă©tait-il que cette grande blonde enlaçait, rĂ©enlaçait Ludmila, quelque peu hors d'elle apparemment, emportĂ©e par les feux de la passion, sous le regard façadique de la trentenaire, qui souriait surtout pour la fond, elle ne nota pas sa jalousie Ă  voir le professeur sauter sur son amour, mais plutĂŽt l'attitude tout Ă  fait incorrecte de la jeune femme Si elle Ă©tait entrĂ©e en contact avec Ludmila, ce qui ne necessitait pas fooooorcĂ©ment le fait de la saluer autrement que par cette Ă©treinte dĂ©placĂ©e, elle n'avait pas jetĂ© ni un mot ni un regard Ă  Dominura, qui, pour le coup, se sentait presque comme une clac, et l'impolie repartit, laissant Dominura droite comme un piquet, lĂ , simplement, aux cĂŽtĂ©s de Ludmila, presqu'invisible, alors que de la collĂšgue de son amante elle n'avait vu que le profil ; Et importait, au fond,Si cette jeune femme n'avait pas daignĂ© souhaiter le bonsoir ou simplement passer le salut. Dominura n'Ă©tait pas lĂ  pour apprendre par coeur chaque tĂȘte de l'universitĂ©, et, de plus, n'eut pas vraiment le temps de se formaliser de cette petite entrevue, une autre femme ne tardant pas Ă  s'approcher d'elle. Regard Ă  Ludmila, haussement de sourcils et sourire pour rĂ©pondre Ă  son message expressionnel lorsque la furie avait quittĂ© leur champ d'action, puis l'Illustratrice porta une correcte attention, sans plus ni moins, Ă  celle qui l'abordait alors, lui tendant carrĂ©ment un verre de punch, sur lequel la grande femme lorgna un instant....Instant de moment d'absence, et Dominura releva le regard vers le visage de la femme, toujours le verre en main, visiblement en attente Ă  ce que la dessinatrice le lui mon respect, madame...Ceci est... Un gobelet ?"GHĂ©hĂ©h"Petit rire nerveux, qui ne put rester Ă  l'interieur de Dominura, tandis que celle-ci esquissait un sourire bien trop large pour ĂȘtre tout Ă  fait joyeux Ne me dites pas que vous voulez que je prenne votre verre en plastique ?Materiel de camping. On ne peut pas prendre du punch dans du materiel de camping, n'est-ce pas ?Ce fut avec un immense effort que Dominura ne tourna pas la tĂȘte vers Ludmila pour lui jeter un regard d'SOS, presque Ă  lui demander ce qu'elle devait faire si quelqu'un lui balançait un morceau de PVC en forme de verre devant les yeux. Finalement, essayant de tordre sa bouche en un sourire plus naturel et reconnaissant, elle finit par dire, simplement"Merci beaucoup"La femme qu'elle avait en face d'elle, relativement classe, lui sourit Ă  son tour, et se prĂ©senta ensuite comme professeur de sĂ©miographie Ă  l'universitĂ© voisine. Dominura, feignant le radical interĂȘt, hocha la tĂȘte, avant que son interlocutrice ne lui demande, finalement presque d'emblĂ©e"Dominura Romley, n'est-ce pas ? Je vous ai tout de suiiiiiiiiite reconnue. Mais que venez-vous faire iciiii ?"Un coup d'oeil Ă  cĂŽtĂ©, et la femme croisa le regard de Ludmila, semblant s'arrĂȘter un instant sur face, Dominura, plutĂŽt mal Ă  l'aise dans ce milieu, priant, pour l'amour du ciel que Ludmila lui vienne en aide sur ce plan lĂ , qu'elle la fasse fuir ou autre chose, plongea -non sans grĂące- ses lĂšvres et son attention dans son punch,Qui avait, Selon elle et son esprit tordu de maniĂšres,Un goĂ»t pronomcĂ©De gobelet en plastique. InvitĂ© Empire State of MindInvitĂ© Sujet Re [.] Les fleurs Ă©closent aussi la nuit. <3 [PV Ludmi] /!\ Mar 6 Oct - 2252 A vrai dire, ceci Ă©tant dĂ» Ă  un don d’empathie ou Ă  une simple intuition, Ludmila ressentait bien la nervositĂ© croissante de sa compagne. Sans mĂȘme la regarder directement, sans mĂȘme entendre le son de sa voix. Et plus encore lorsque c’était le cas, bien Ă©videmment. Cet air intĂ©ressĂ©, observateur. Ces sourires que la jolie blonde pouvait diffĂ©rencier des plus sincĂšres, son rire. Et cette posture des plus droites ? Dominura n’avait pourtant pas Ă  s’en faire Toutes deux n’étaient lĂ  que pour la forme, n’est-ce pas ? Ludmila ne cherchait pas Ă  se faire des amis, et ça n’était pas plus le cas de Dominura, qui n’était lĂ  que pour l’accompagner. Evidemment, puisque certaines personnes ne manqueraient sans doute pas de la reconnaitre, il Ă©tait toujours important de faire bonne figure, de ne pas ĂȘtre prise en flagrant dĂ©lit d’amour regard nous geste.
La furie Ă©tait en effet partie, mais bien vite, une autre femme vint se joindre Ă  elles, ne leur laissant pas une seconde afin de simplement rire de cette irruption rapide et exagĂ©rer. Cette femme, qui par ailleurs ne semblait avoir d’yeux que pour Dominura, s’avança vers cette derniĂšre, lui tendant un verre – en plastique, donc – rempli de punch. En plastique ? Et oui. Pas de verres en verre, mon Ange. Pourquoi ? Parce que des verres en plastique Ă©taient bien plus pratiques pour le rangement. Et sans doute revenait-il moins cher d’acheter ces verres jetables plutĂŽt que de payer le personnel nĂ©cessaire pour faire la vaisselle. Son regard passant du verre Ă  Dominura, non sans remarquer la lenteur de la rĂ©action de son amante, Ludmila ne mit guĂšre de temps Ă  comprendre la situation de cette derniĂšre, manquant sur le coup littĂ©ralement pouffer de rire, face Ă  cette dĂ©stabilisation Ă©vidente – pour elle, en tout cas. Rire nerveux, de la part de l’illustratrice, indiscutablement peu habituĂ©e Ă  voire dans ce genre de verres. Presque fascinĂ©e par cette rĂ©action – au fond – trĂšs amusante, ne voulant tout de mĂȘme pas vexer sa conjointe, Ludmila ne laissa paraĂźtre de son amusement qu’un simple sourire, destinĂ©e Ă  sa conjointe, qu’elle ne pouvait s’empĂȘcher de dĂ©vorer des yeux. Fort heureusement, cela pouvait bien passer pour un simple attachement amical, trĂšs complice. Mais rapidement, Ludmila se rendant compte de cela, elle dĂ©tourna bien vite son regard vers cette femme qui venait d’offrir Ă  boire Ă  sa conjointe, celle-lĂ  mĂȘme qui Ă©tait finalement parvenue Ă  prendre son verre et Ă  remercier son rĂ©ellement faire quoi que se soit de plus, Ludmila Ă©couta d’une oreille la prĂ©sentation de cette jeune femme, une partie de son esprit restant bloquĂ© sur l’incontestable bug de Dominura face Ă  ce verre en plastique. Si elle n’avait pas la moindre intention de passer sa soirĂ©e Ă  chercher ce genre de rĂ©actions de la part de sa belle, Ludmila ne pouvait nier que la voir confronter Ă  des circonstances diffĂ©rentes de son habitude Ă©tait plutĂŽt divertissant. ce professeur de SĂ©miologie en vint Ă  avouer rapidement qu’elle avait reconnu Dominura, lui demandant ce qu’elle venait faire ici, Ludmila reporta son entiĂšre attention sur cette femme, haussant lĂ©gĂšrement les sourcils – sans plus un sourire – lorsque cette derniĂšre daigna enfin poser un regard sur elle. Ă  cĂŽtĂ© d’une artiste de renom telle que Dominura, n’était pas vraiment intĂ©ressante, ni digne qu’on lui offre un gobelet de punch, n’est-ce pas ? Cette pensĂ©e – sans rĂ©elle rancƓur – manqua faire Ă  nouveau s’écrouler de rire la jolie blonde. Parvenant Ă  garder relativement un contrĂŽle sur elle-mĂȘme, seul un sourire entre nervositĂ© et amusement retenu vint se dessiner sur ses lĂšvres, tandis qu’elle se prĂ©sentait Ă  son tour, faisant ainsi ouvertement remarquer son manque de prĂ©venance Ă  cette femme, qui jusque lĂ  ne lui avait rien demandĂ© - Ludmila Ivanov, professeur de Psychologie ?Pas regard Ă  Dominura qui – n’aidant guĂšre Ludmila Ă  retenir un Ă©ventuel fou-rire – buvait finalement dans son verre. Voulait-elle que la jeune Russe rĂ©ponde Ă  sa place ? Oh 
 Sans doute Ludmila n’aurait jamais fait une chose pareil, si sa conjointe n’avait pas montrĂ© malgrĂ© elle un tel malaise quand Ă  la adressant un sourire plus calme et plus doux Ă  la jeune femme – et ce mĂȘme si Dominura ne pouvait sans doute mĂȘme pas le remarquer – la jolie blonde se tourna Ă  nouveau vers l’autre femme, gardant un lĂ©ger sourire tout en laissant entendre, le plus simplement du monde - Dominura est avec moi. Rien de de cela ainsi n’était-il pas risquĂ© ?Oui. Et Ludmila, sans doute, l’avait fait une pseudo-relation amicale avec Dominura sera d’autant plus laissait ainsi la possibilitĂ© Ă  sa conjointe de continuer, laissant bien entendre ce qu’elle dĂ©sirait sur leur relation afin de protĂ©ger elle-mĂȘme, et Ă  sa façon, la rĂ©putation qu’elle souhaitait pour l’instant donc que nous nous sommes rencontrĂ©s Ă  lui dis rien ?Laissons-les parler, TrĂ©sor.
 InvitĂ© Empire State of MindInvitĂ© Sujet Re [.] Les fleurs Ă©closent aussi la nuit. <3 [PV Ludmi] /!\ Mar 6 Oct - 2327 La grande femme, les lĂšvres dans son punch, n'assista pas rĂ©ellement Ă  l'Ă©change entre sa nouvelle interlocutrice et son aimĂ©e. Tout de mĂȘme, elle put entendre la prĂ©sentation de Ludmila, trĂšs simple, puis son aveu direct qu'elles Ă©taient est avec cette phrase peut dire bien des choses. Je pourrais ĂȘtre avec toi pour t'accompagner, simplement, ou bien en couple... Magnifique, Ludmila. Les deux sont compris dans ta phrase. Nous ne mentons pas, mettons mĂȘme sur une piste... A elle de deviner ? Ou non ? Comme elle voudra. Je n'ajouterai rien, je ne peux rien ajouter. Rabaissant son verre, retrouvant un sourire plus confiant alors que le professeur de SĂ©miologie repportait son regard sur elle, visiblement interrogative, la trentenaire rĂ©pondit, le gobelet en main, une mine joyeuse et assurĂ©e"Effectivement, nous sommes venues ensemble."Et, rien Ă  rajouter, tu le lis dans mon regard. Je n'ai pas Ă  dire pourquoi je suis lĂ . Je n'ai pas Ă  me justifier d'ĂȘtre en prĂ©sence de Ludmila, professeur de psychologie dans cet Ă©tablissement. Je n'ai pas Ă  me justifier de quoi que ce soit ; Et votre prĂ©sence m'indispose, madame. Je n'aurai sans doutes pas bon plaisir Ă  vous parler ce soir, alors... sauf mon respect, je vous souhaite une bonne soirĂ©e et m'en vais vers d'autres visages, qui n'auront pas eu l'attitude d'oublier ma charmante si ta collĂšgue m'a oubliĂ©e,Celle-ci ne t'as pas fait honneur non que quelqu'un ici sera assez bien disposĂ© pour nous saluer ensemble, et nous proposer Ă  parts Ă©gales, sans mettre en avant votre lien, sans mettre en avant mon statut d'Illustratrice ? Ah, j'en doute ! Mais peut-ĂȘtre bien, qui sait. Je ne dois pas avoir de prĂ©jugĂ©s, ou je m'en condamnerai d'avance ! Gardons nos sourires, petit chat. Nous nous rendrons en d'autre compagnie."Je vous prie de m'excuser, mais je ne souhaite pas ce soir parler de mon travail."Petit flash interieur Cette soirĂ©e est sencĂ©e ĂȘtre conviviale. Sourire amusĂ© et enjouĂ©, clin d'oeil entre malice et hypocrisie, accompagnant quelques mots"Ce soir, ce sont mes vacances !"Puis, accordant un dernier sourire rayonnant au professeur, la grande femme, gobelet Ă  la main, rejoignit Ludmila, plutĂŽt enjouĂ©e, laissant entendre d'une voix lĂ©gĂšre, comme d'une grande complicitĂ©"Et tu n'as toujours pas de Gobelet Ludmila ? Viens, on va bien te trouver quelque chose Ă  boire par lĂ  !"Puis elle entraina sa conjointe sous des traits enjouĂ©s et amicaux, laissant la femme et sa fausse classe derriĂšre, lĂ , seule, son propre verre en plastique Ă  la main, un tantinet prise au dĂ©pourvu, mais tout de mĂȘme intriguĂ©e par cette femme qui Ă©tait passĂ©e en moins de deux secondes Ă  une complicitĂ© mysterieuse, une chĂąleur humaine que l'on ne lui connaissait que peu, et dont elle restait interdite, entre l'Ă©merveillement et le choc ; Dominura Romley venait de l'envoyer adorablement sur les roses, avec un grand sourire et un clin d'oeil. Alors ne la ce temps, ladite Illustratrice avait guidĂ© la belle russe jusqu'au buffet-bar, oĂč rĂ©sidaient quelques jeunes gens, assez bien sur eux, quoique sans doutes sans la mĂȘme richesse des invitĂ©s aux reçeptions des vernissages de la grande femme. A part ce dĂ©tail peu important, ils semblaient chĂąleureux et ouverts, prĂȘts Ă  la conversation mais Ă©galement avides de questions. Ne les connaissant pas le moins du monde, la grande femme se contenta de quelques sourires, quelques bonsoirs et deux-trois coup d'oeil, un petit rire placĂ© sous une remarque jugĂ©e comme presque amusante, et son rayonnement faisait dĂ©jĂ  l'effet de l'explosion de tchenobyl. Oh, elle ne faisait pas pour autant de l'ombre Ă  Ludmila, bien au contraire. Les deux semblaient tellement bien se complĂ©ter qu'un des professeurs, d'histoire d'aprĂšs ce qu'il en avait dit, avait mĂȘme lĂąchĂ©, entre deux gorgĂ©es de punch, quelque chose du genre"Quel bel assortiement vous faites, toutes les deux ! Vraiment, un charmant duo que voilĂ ." ne cessa de sourire pendant un moment, laissant passer son regard sur son aimĂ©e dĂšs qu'elle ne pouvait sans que cela ne soit trop exagĂ©rĂ© ou trop dĂ©bordant d'amour et d'attirance, mais quelque chose d'inhabituel attira bien vite son attention. A la suite d'un joli "Merde !" bien pronomcĂ©, un des vingtenaires du groupe d'Ă  cĂŽtĂ©, un homme qui pourtant aurait pu avoir un minimum de prestance, laissa tomber son toast de saumon bon marchĂ© Ă  d'oeil de la grande femme -nouvel arrĂȘt de reflexion- dont l'esprit ne suivait plus vraiment le cours de la conversation de son propre groupe du moment. Mon dieu...Ne le laisse pas par terre, ramasse-le vite, au lieu de rire Ă  gorge dĂ©ployĂ©e avec tes collĂšgues...OlĂ lĂ ... Nooon... Mais regarde-moi ça c'est infect...Et...Aaaaaaahhhh non mais... Mais... Mais qu'est-ce que tu faiiiiiiiiis ?!Ne le porte pas Ă  ta bouuuuche, le saumon a touchĂ© par teeeeeerre ! Mon dieu... Nooon, nooon !!Ce n'est pas correct, ce n'est pas... Aaaaaaaargh !!"Dominura ?""Ah !!"La grande femme sursauta, en ce retour Ă  son groupe quelque peu surprennant, tant elle fut prise dans ses pensĂ©es, quelque peu choquĂ©e par ce qu'elle venait de voir. En un instant, elle avait perdu son regard Ă©quarquillĂ©, ses lĂšvres entrouvertes et son bug mental, pour en revenir Ă ... A quoi dĂ©jĂ  ? Ouf Rien d'important. L'on l'avait juste ramenĂ© sur terre aprĂšs l'avoir vu s' !Quel monde verres de camping en plastique moulĂ©, du saumon fumĂ© au goĂ»t de parterre, enrobĂ© de rires tonitruants et de rigolades d' Ă  Ludmila, sourire amusĂ©, Dominura s'empĂȘcha de lĂącher un rire, l'Ă©touffant avec grĂące, monde est bien Ă©trange, petit peut-ĂȘtre est-ce moi, qui suis bien loin du rĂ©el ?Et j'en ris,Ris de moi, ris de tout,De la situation,Car c'est ne suis pas Ă  ma place.<3 InvitĂ© Empire State of MindInvitĂ© Sujet Re [.] Les fleurs Ă©closent aussi la nuit. <3 [PV Ludmi] /!\ Mer 7 Oct - 034 Oui, nous sommes venues Dominura n’ajoutait rien ? Tournant son charmant et pĂąle visage vers sa conjointe, lui adressant toujours un lĂ©ger et calme sourire, Ludmila ne pu que remarquer le dĂ©sir de cette derniĂšre Ă  se dĂ©barrasser au plus vite de cette femme qui, au final, ne s’était pas bien montrĂ© plus polie que la prĂ©cĂ©dente. Quoi que, celle-ci avait au moins eut la dĂ©cence de se prĂ©senter Ă  Dominura, ce qui, au fond, Ă©tait le plus important pour Ludmila, qui n’avait aucune envie que sa prĂ©cieuse conjointe ne se sente mise Ă  l’écart. Et elle ? Oh, peu importe. Elle pouvait bien aller chercher elle-mĂȘme un verre de punch, pas vrai ?Dominura enchaina ensuite sur le fait qu’elle ne souhaitait pas parler de son travail lors de cette parvenant pas Ă  la quitter des yeux, sentant mĂȘme ses lĂšvres venir se pincer d’elle-mĂȘme tant elle se mettait inconsciemment en transe face Ă  cette femme qui la fascinait tant, Ludmila manqua Ă  nouveau exploser de rire au sourire trop enjouĂ© et au clin d’Ɠil de sa belle, lorsque cette derniĂšre ajouta que cette soirĂ©e Ă©tait ses vacances. Oh, ces mots n’avaient rien de drĂŽle en eux-mĂȘmes, certes. Mais cette façon qu’elle avait eu de les prononcer Ă©tait tout Ă  fait remarquable. Tu es j’aime Ă©perdument cette folie. <3 Et tu n'as toujours pas de Gobelet Ludmila ? Viens, on va bien te trouver quelque chose Ă  boire par lĂ  ! » !!!Ne pouvant cette fois-ci pas retenir un lĂ©ger rire, lançant un dernier regard Ă  cette femme qui Ă©tait visiblement prise au dĂ©pourvue - abandonnĂ©e par une artiste qu’elle admirait visiblement mais qui ne voulait pas lui parler - Ludmila mordilla lĂ©gĂšrement sa lĂšvre infĂ©rieure, suivant son amante jusqu’au buffet afin de prendre un verre Ă  son tour. Les gobelets ne la choquaient pas, Ă©videmment. Quoi qu’elle n’était pas vraiment non plus habituĂ©e Ă  ce genre de soirĂ©es, notons-le. A l’hĂŽpital, les fĂȘtes Ă©taient bien rares. Et les soirĂ©es qu’elle passait se dĂ©roulaient plutĂŽt dans des bars, remplis de monde, d’alcool et autre ici semblait bien moins la seule prĂ©sence de Dominura suffisait Ă  amuser la belle blonde, Ă  contrer un ennui qui aurait Ă©tĂ© inĂ©vitable en l’absence de l’illustratrice. Finalement, la jeune Russe se servit elle-mĂȘme d’un verre de punch, buvant une gorgĂ©e avant de se mĂȘler Ă  son tour Ă  la foule, Dominura Ă©tant dĂ©jĂ  en conversation avec un invitĂ© prĂšs du buffet. Ne tardant pas Ă  ĂȘtre elle-mĂȘme interrogĂ©e, Ludmila se prĂ©senta, salua plusieurs personnes, retrouva quelques collĂšgues, gardant sourire et bonne humeur, une attention discrĂšte restant toujours attribuĂ© Ă  leur complicitĂ© Ă©tait remarquable, et sans doute adorable, de l’ homme sans doute ne savait pas Ă  quel point il Ă©tait sur la bonne voix en laissant entendre que ces deux femmes formaient un charmant duo. Remarquent-ils, mon Ange, que nous sommes bien plus que de simples amies ?Non. Personne ne remarquait, bien suspecter ces femmes qui semblaient illuminer la piĂšce, de leurs tenues, ou tout simplement de leur prĂ©sence charismatique et naturellement charmante ? En plus d’ĂȘtre incontestablement trĂšs belle N’avaient-elles pas de la conversation ? Oh, oui. Et le petit groupe qui semblait se former autours d’elle semblait fort intĂ©ressĂ© par chacune de ces deux femmes, l’une prenant parfois l’ascendant sur l’autre, lorsqu’il s’agissait de l’attention sourire sourire temps passait, lentement mais surement, intĂ©grant presque malgrĂ© elles Dominura et son ex-assistantes, prisent dans des conversations plus ou moins intĂ©ressantes. BientĂŽt, alors que Ludmila s’adressait Ă  une jeune femme, mariĂ© Ă  un professeur d’histoire de l’art, la jeune femme, tout en jetant un furtif regard Ă  sa conjointe – par hasard – se figea un instant, se retrouvant une seconde interdite face Ă  son interlocutrice, avant de se retourner plus clairement vers Dominura. Dominura, qui, Ă  ce moment mĂȘme, avait les yeux rivĂ©s sur un homme, ramassant un toast par terre et le portant Ă  sa regard et ses lĂšvres entrouvertes traduisaient clairement – pour Ludmila en tout cas – l’horreur qu’elle pouvait avoir Ă  voir quelqu’un faire une chose pareille. Evidemment 
 Ca n’était pas trĂšs hygiĂ©nique. Mais de la Ă  en ĂȘtre arrĂȘtĂ©e de la sorte, complĂštement interloquĂ©e ? Dominura ? »Voyant sa belle sursauter Ă  l’appel de cet homme charmant qui les avait prĂ©cĂ©demment complimentĂ©es, Ludmila dĂ©laissa quelque peu son interlocutrice, ne pouvant cette fois-ci pas s’empĂȘcher de laisser Ă©chapper quelques rires amusĂ©s, toutefois retenus, son regard attentif et presque Ă©mu de tant d’innocence venant caresser le visage de sa conjointe. Innocence ? Sans doute. Ludmila se demandait, au fond, si Dominura se rendait compte que manger un toast tombĂ© Ă  terre n’était pas si incroyable ? AprĂšs tout, ne disait-on pas qu’il ne fallait pas gĂącher la nourriture ? Le sol Ă©tant relativement propre, ce garçon n’avait sans doute pas eu idĂ©e de choquer qui que ce soit, en avalant ce qui l’avait prĂ©cĂ©demment sans doute l’épisode des gobelets n’était pas encore Ludmila riait encore, intĂ©rieurement, des rĂ©actions que pouvait avoir la femme qu’elle aimait face Ă  ces comportements qu’elle n’avait pas l’habitude de lançant un regard complice Ă  sa belle, Ludmila laissa par la suite Ă©chapper un lĂ©ger soupir, finissant rapidement son verre de punch avant de se retourner vers le buffet, prenant au passage le gobelet de Dominura - Tu en veux encore ?LĂ©ger sourire en coin, entre complicitĂ© et la provocation en attendant une rĂ©ponse de sa conjointe, Ludmila ne tarda pas Ă  remplir son propre verre, se servant dans la grande bassine rempli de l’alcool mĂ©langĂ© aux jus de fruits, qui Ă©tait lĂ  en son attention Ă©tant un instant distraite par la musique et les rires venant de la piĂšce ouverte non loin d’elles, la jeune Russe resta un instant en pause, puis se retourna vers Dominura - Tu aimes ... danser ?LĂ©ger haussement de sourcils interrogatif, dĂ©voilant peut-ĂȘtre aussi ses intentions, alors que Ludmila se rendait soudainement compte qu’elle ne pouvait absolument pas rĂ©pondre seule Ă  cette doute parce que chaque soirĂ©e passĂ©e en compagnie de Dominura ne leur en laissait pas le temps ?Peut-ĂȘtre, aussi, parce que danser ensemble leur faisait prendre le risque de ne pas rĂ©sister Ă  l’envie de se toucher ? Evidemment, les slows n’étaient pas recommandĂ©s, pour rester incognitos, n’est-ce pas ? Sauf peut-ĂȘtre si elles donnaient l’air de danser simplement pour s’amuser, comme le font parfois des amies esseulĂ©es ?Dis, tu aimes danser ?Veux-tu 
 danser ?Sourire en toi. <3 InvitĂ© Empire State of MindInvitĂ© Sujet Re [.] Les fleurs Ă©closent aussi la nuit. <3 [PV Ludmi] /!\ Mer 7 Oct - 058 Evidemment, la grande femme ne se formalisa pas des rires entendus du cĂŽtĂ© de Ludmila. Un instant, elle crut qu'il s'agissait lĂ  d'un rire placĂ© dans une conversation. Puis, finalement, elle se rendit compte qu'il Ă©tait pour elle, et s'en empara Ă  son tour, laissant le sien passer par dessus ses lĂšvres maquillĂ©es, tandis qu'elle venait de se rendre compte de l'absence qu'elle avait eu. Regard complice, et, de une, de deux, elles se retrouvĂšrent Ă  nouveau non-loin du buffet, Ă  se resservir de punch, Ludmila demandant Ă  son ex-patronne si elle en voulait, tout en remplissant son propre verre toujours, la grande femme rĂ©pondit, d'un ton enjouĂ©"Oui, merci !" <3Tout en jetant un oeil autour d'elle pendant que son aimĂ©e lui servait sa boisson. Il n'y avait pas Ă  dire, cette ambiance Ă©tait entre connue et inconnue, quelque chose d'assez spĂ©cial pour la grande femme, qui avait l'impression de voir de grands enfants plutĂŽt que des adultes, un peu plus jeunes qu'elle, de son Ăąge, et plus vieux Ă©galement. Tous semblaient assez euphoriques pour s'ĂŽter une vingtaine d'annĂ©es chacun, et, de son cĂŽtĂ©, l'Illustratrice se demanda un instant si elle ne devait pas elle aussi jouer la carte de la chĂąleur, du rire et de la complicitĂ© pour paraitre plus de ce monde-lĂ , pour cette tes de cĂŽtĂ© tes principes ?Cela ne doit pas ĂȘtre si compliquĂ©, son attention sur sa belle, la grande femme prit son verre de punch, puis, sans encore le porter Ă  ses lĂšvres, laissa son sourire s'Ă©largir, alors que ses sourcils se haussaient, Ă  la vision qu'elle avait lĂ  Ludmila semblait se laisser emporter un instant par la musique provenant de la piĂšce d'Ă  cĂŽtĂ©. Oh, oui, il y a du rythme et de l'harmonie Ă  la fois, quelques Ă©clats de voix ou quelques periodes calmes... Mais sais-tu que cela n'est pas non plus mon univers ? Oh, encore moins que celui-ci, Ă  vrai moi, les vieilles musiques et les classiques sont de mises, lorsque je ne garde pas mon Ă©ternel silence. Les instrumentales sont prĂ©fĂ©rĂ©es aux ensembles techniques et aux chansons de paroliers, et ce n'est qu'avec une extrĂȘme raretĂ© que je me laisse emporter par les sons puis. Je ne sais pas danser, tu le sais ?Redoutant, derriĂšre son sourire, le fait que Ludmila Ă©nonce le verbe aussi simple que "danser", la grande femme ne put que se sentir dĂ©faillir un instant en entendant la question de la jolie russe Est-ce qu'elle aimait danser ? Euuuh... Eh bien... Le haussement de sourcils interrogatif, le regard de Ludmila, ne pouvaient que faire fondre la dessinatrice, qui ne pouvait cependant pas cĂ©der Ă  la tentation de se retrouver dans ses bras ! Non, elle n'irait pas danser. De toutes façons, elle n'aimait pas ça. Elle...Non... Pas ce sourire en coin...Pas cette brillance dans tes yeux sombres...Ludmila...Tapotant du bout des ongles sur le bord de son verre, la grande femme, rosissant quelque peu, finit par balbutier, perdant de son assurance lĂ©gendaire devant une demande aussi spĂ©ciale que celle de danser N'importe qui aurait trouvĂ© cela tout Ă  fait normal, mais voyez-vous, Dominura n'Ă©tait absolument pas dans ce genre d'habitudes"J-Je... Non, pas exactement..."Pas "exactement" ? Tu t'embrouilles, Dominura. Ne voulais-tu pas plutĂŽt dire, au fond... comme tu le fais en dĂ©tournant ton regard vers le buffet, y faisant mine d'interĂȘt pour quelques toasts au saumon... "De toutes façons je ne sais pas danser."Et pourtant, au fond... belle voudrais-tu pas lui dire'Entraine-moi ?' ... A quel point sait-elle... Que tu n'irais pas si elle ne t'y entraine pas, mais que tu seras ravie de sa compagnie, une fois qu'elle t'y aura menĂ©e ?Pinçant les lĂšvres, ne pouvant cependant pas baisser l'amusement exaspĂ©rĂ© inscrit dans ses sourcils qui soulignaient Ă  la fois la -non rĂ©elle- peur enfantine de se voir trainĂ©e par son aimĂ©e dans la piĂšce d'Ă  cĂŽtĂ©, la grande femme jeta un oeil en coin Ă  Ludmila, comme pour lui faire comprendre qu'elle vĂ©rifiait si elle n'avait pas, par miracle, abandonnĂ© son idĂ©e... Adorable sais bien qu'elle ne te laissera pas fuir ainsi !Et puis. Que risques-tu, a part ĂȘtre plus proche d'elle ?Seulement de ne pas pouvoir prendre un de ces toutes façons, C'Ă©taient ceux au rien ne ditQu'ils n'Ă©taient pas eux aussiPassĂ©s voir si le sol n'Ă©tait pas plus confortable que les plats InvitĂ© Empire State of MindInvitĂ© Sujet Re [.] Les fleurs Ă©closent aussi la nuit. <3 [PV Ludmi] /!\ Mer 7 Oct - 1153 Sans doute la musique attirait-elle en effet la jeune psychologue. Etait-ce si Ă©vident que cela ? Oh, peut-ĂȘtre n’y aurait-elle pas prĂȘtĂ© tant d’attention, si cette piste de danse ne semblait pas tant l’appeler, lui soufflant officieusement qu’elle Ă©tait lĂ  la seule occasion pour Dominura et elle de se rapprocher quelque peu. Et puis 
 Il Ă©tait bien clair que la jeune Russe adorait danser, y Ă©tant Ă  vrai dire plutĂŽt habituĂ©, depuis dĂ©jĂ  plusieurs annĂ©es. Que faire d’autre, en soirĂ©e ? C’était lĂ  le meilleur moyen de se dĂ©fouler, tout en mettant de cĂŽtĂ© des conversations pouvant ĂȘtre inintĂ©ressantes Ă  ses danser, mon Amour ?PosĂ©e ainsi, cette question ne semblait guĂšre laisser de choix Ă  la belle illustratrice. En effet, si cette derniĂšre rĂ©pondait positivement Tant mieux, mais si elle rĂ©pondait nĂ©gativement ? Alors, Ludmila n’en serait que plus insistante, laissant sa malice l’emporter sur le fait que – peut-ĂȘtre – sa conjointe n’avait pas la moindre envie de danser. Mhm. Non. Ludmila saurait certainement diffĂ©rencier un refus catĂ©gorique d’un simple refus formel, pas vrai ? Sur ce, son regard brillant de malice scrutant la moindre rĂ©action de son amante, un lĂ©ger sourire en coin, semblant prĂȘte Ă  fondre sur la belle française en cas de refus, Ludmila ne pu s’empĂȘcher de laisser son sourire s’élargir, passant ses dents sur sa lĂšvre infĂ©rieure avec une malicieuse provocation, lorsqu’elle remarqua finalement le rosissement des joues de sa conjointe. Serais-tu mal-Ă -l’aise, TrĂ©sor ?LĂ©ger pincement de lĂšvres, tandis que Ludmila laissait naturellement son sourire s’adoucir face aux premiers mots de la belle française. Pas exactement ? Oh. Cela veut-il dire que tu n’aimes pas vraiment cela, ou que tu ne penses simplement pas y arriver ? Adorable Dominura. <3 De toute façon, je ne sais pas danser. »Ne quittant pas une seconde son amante des yeux, ne pouvant pas s’empĂȘcher de la regarder avec amour et attendrissement, alors que cette dĂ©stabilisation flagrante lui semblait purement adorable, Ludmila laissa Ă©chapper un lĂ©ger rire, se rapprochant trĂšs lĂ©gĂšrement de sa belle lorsque cette derniĂšre s’empressa de dĂ©tourner son regard du cĂŽtĂ© du buffet. Ne rĂ©pondant pour l’instant d’aucune maniĂšre aux rĂ©ponses de sa conjointe, ne gardant que ce regard et ces sourires entendus, la jolie blonde continua un instant Ă  observer Dominura, non sans lui cacher tout de mĂȘme qu’elle n’était pas prĂȘte Ă  la laisser fuir. Et ce, d’autant plus parce que l’attitude de la jeune femme lui laissait penser que – malgrĂ© ces quelques paroles – l’illustratrice se laisserait sans doute entraĂźner, si jamais son ex-assistante venait Ă  insister quelque en je te je n’ai pas changĂ© d’ finalement se rompre le silence, un lĂ©ger rire spontanĂ© et amusĂ© s’échappant d’entre ses lĂšvres rouge cerise, la jeune Russe prononça quelques mots, visiblement surexcitĂ©e Ă  l’idĂ©e d’emmener son aimĂ©e sur la piste de danse, loin des lumiĂšres vives et plus proche encore d’un monde oĂč ne rĂ©gnaient apparemment que rires et amusement. La musique Ă©tait plutĂŽt d’actualitĂ©, pas forcĂ©ment bonne, pas forcĂ©ment mauvaise. Tout dĂ©pendait des instants, comme toujours, n’est-ce pas ?Peu importait la Tu sais que tu ne t’en tireras pas comme ça n’est-ce pas ?LĂ©ger rire, tandis que Ludmila haussait lĂ©gĂšrement les sourcils, taquine, portant sensuellement son verre jusqu’à ses lĂšvres, mordillant doucement son bord du bout de ses dents, comme elle aurait bien pu le faire des lĂšvres dĂ©licieuses de sa compagne. Evidemment, personne, hormis Dominura, ne pouvait voir cette petite provocation, avant que la jeune Russe ne penche davantage son verre, buvant d’une traite tout le punch qui s’y bien ! Reposant son gobelet vide sur la table du buffet, Ludmila – toujours prise dans un Ă©lan euphorique – attrapa alors vivement la main libre de son amante, l’attirant sans prĂ©venir en direction de l’arriĂšre-salle d’oĂč provenait la Je peux t’apprendre dans ce cas ! 
 Viens !Serrant quelque peu la main de sa belle, profitant de cette Ă©lan pour entrer en contact avec elle, la jeune Russe conduisit alors Dominura jusqu’à la piste de danse, reprenant par la mĂȘme occasion un verre de punch qui avait Ă©tĂ© prĂ©-rempli, sur une table Ă  l’entrĂ©e de la petite salle. Encore ? petit sais que si cet alcool passe tout aussi bien qu’un simple jus de fruit, il ne faut pas en nĂ©gliger les effets !Evidemment, Ludmila n’y songeait guĂšre, sentant son Ă©lĂ©ment l’emporter quelque peu sur elle, l’euphorie d’avoir en plus Dominura avec elle n’aidant pas. HabituĂ©e Ă  enchaĂźner les verres, la jeune Russe ne pensait pour l’instant pas vraiment aller trop loin, son esprit Ă©tant bien ?Tu sais danser, j’en suis n’as seulement besoin que d’un sens du je sais pertinemment que le tiens est trĂšs chantes juste, bien. <3 InvitĂ© Empire State of MindInvitĂ© Sujet Re [.] Les fleurs Ă©closent aussi la nuit. <3 [PV Ludmi] /!\ Mer 7 Oct - 2008 La grande femme, Ă  partir de cet instant, dĂ©cida de se laisser entrainer par la soirĂ©e, plus qu'elle ne l'avait tout d'abord voulu en arrivant en ces lieux. AprĂšs tout, que risquait-elle Ă  accepter une danse, un verre, un instant, un contact avec sa belle ? Oh, elle n'aimait pas bien boire, mais un peu de punch ne lui ferait pas beaucoup de mal, n'est-ce pas ? Il fallait seulement qu'elle fasse attention, que personne ne la force Ă  boire comme ses Ă©diteurs l'avaient fait, ne tenant pas vraiment Ă  l'alcool, ne l'ayant pas non plus de trĂšs heureux, et, surtout, Bernard n'Ă©tant pas lĂ  pour la sauver en cas de suis bien infidĂšle Ă  notre amitiĂ© Toi, qui t'inquiĂštais tellement pour moi. Je ne t'ai pas tellement rappellĂ©, n'est-ce pas ? Il le faudrait, pourtant. Je le voudrais, evidemment. Mais comment faire ? Je n'y pense pas en temps voulu, ou ne dispose pas des moyens pour le faire quand je le dois...BientĂŽt, bientĂŽt. Tu auras des nouvelles de ta petite protĂ©gĂ©e, et de son attendant, je ne descendrai plus tant de deux ? Cela suffit. Gardons nous pour plus ainsi qu'aprĂšs quelques Ă©changes plus ou moins convaincants, la grande femme cĂ©da aux avances de sa belle, se laissant entrainer Ă  sa suite, tandis que cette derniĂšre attrappait un nouveau gobelet au passage. Oh, tu n'es pas bien raisonnable, petit chat. Et tu le sais, n'est-ce pas ? A moins que je ne te fasse tourner la tĂȘte plus que l'alcool, Ă  t'en faire oublier le degrĂ© dans ton verre ?Soyons donc sages, ou tu finiras par m'attrapper par la taille, et les Ă©mois seront bien autour, comme des rapaces avides de nouveautĂ©s. Les commĂ©rages iraient bon train, quoi que ton alcool puisse servir de fausse justification. Mais non ! Je n'en veux pas. Je ne veux pas que l'on cache cette relation comme un geste passĂ© sous l'alcool ! Et je ne veux pas non plus... Entendre dire que ma compagne est une fille facile, se laissant tomber dans les bras de n'importe qui aprĂšs quelques m'es...Toujours fidĂšle, n'est-ce pas mon amour ?Parfois, j'ai le doute n'a plus de place, ou ne devrait pas en avoir J'ai confiance. Terriblement mon dieu, je t'en prie, rassure-moi d'un mot ou d'un regard ? M'assurer que tu penses Ă  moi... Encore, toujours...MalgrĂ© tout ce monde que tu vois,Ces amis que tu revois ?...Je ne m'en tirerai pas comme cela, oui. Je sais bien que mes excuses n'allaient pas pour le mieux. Alors ? Alors je me laisse entrainer, par ta main, par tes pas, tes mouvements, alors que tu m'apprendra sans doutes. Du rythme ? Je l'entends sans l'entendre, trop occupĂ©e Ă  me soucier des propres battements de coeur, qui bat Ă  prĂ©sent la chamade, ma main encore dans la tienne, avant que tu ne nous lĂąche dans cette ambiance plus sombre mais aussi plus colorĂ©e, un professeur s'Ă©tant donnĂ© la tĂąche de jouer avec les lumiĂšres Ă  ampoules teintĂ©es, avec profitĂ© un instant de notre cela n'Ă©tait rien, n'est-ce pas ?La musique devient entrainante, quelques personnes viennent Ă©galement autour de nous, emportĂ©s par leur propre euphorie, peut-ĂȘtre mĂȘme par l'alcool... Viens, que j'accroche ton verre, que j'accroche ton regard, un sourire en coin sur les lĂšvres, Ă  te regarder dans les yeux en te volant une gorgĂ©e de ton breuvage, quelque peu provocante, mais en accord avec la musique, avant de te rendre ton gobelet...Viens, viens plus proche !VoilĂ  notre unique façon de nous toucher Ă  peu... qu'importe les gens !Cette salle nous permettrait presque toutes les folies,Si l'on en garde une certaine retenue, une bonne rĂ©putation, un bon genre, tout en nous viens !Guide moi, je n'attends plus que ça. Et je m'Ă©gare en un sourire pour toi, Alors que quelqu'un, Ă  ma vision, d'approche de toi par derriĂšre... Laissant au fond de mes yeux une flamme mauvaise, sur le coup,Que tu auras peut-ĂȘtre remarquĂ©eAvant qu'il ne te fasse te retourner Ă  luiTe perdre Ă  moi...Je l'en tuerais. InvitĂ© Empire State of MindInvitĂ© Sujet Re [.] Les fleurs Ă©closent aussi la nuit. <3 [PV Ludmi] /!\ Jeu 8 Oct - 1501 La soirĂ©e avançait peut-ĂȘtre un peu plus rapidement que ce qu'avait pu imaginer Ludmila, cette derniĂšre, accompagnĂ©e de Dominura, ayant tout de mĂȘme rĂ©ussi Ă  s'intĂ©grer quelques instants Ă  un groupe de professeurs, avant de finalement les quitter pour se rendre sur la piste de mais aussi et surtout ravie d'avoir la possibilitĂ© de s'approcher davantage de la femme qu'elle aimait – en secret, vis-Ă -vis des autres invitĂ©s – Ludmila attirait donc Ă  prĂ©sent sa conjointe jusqu'Ă  un endroit plus sombre, mais aussi plus bruyant, la musique et des rires enjouĂ©s ne faisant que rendre l'ambiance d'autan plus 
 Aimes-tu vraiment ce genre d'ambiance ?Il me semble que non, peut-ĂȘtre simplement parce que tu n'y as jamais vraiment Ă©tĂ© confrontĂ© ?Essayons, TrĂ©sor. Et si la musique ne te plait pas, si la danse t'ennuie, nous reculerons.
Pour Ludmila, Bernard et tous leurs autres compatriotes de Londres Ă©taient bien loin. MĂȘme Tyler n'avait que trĂšs peu de nouvelle de la part de la jeune Russe, cette derniĂšre – comme depuis toujours – ne vivant qu'au jour le jour, en oubliant parfois ses au fond, elle savait qu'il serait plus convenable d'envoyer quelques messages Ă  l'ancien Ă©diteur de son aimĂ©e. AprĂšs tout, elle n'avait pu la rejoindre si rapidement que grĂące Ă  son aide, son incroyable talent Ă  dĂ©nicher des logements Ă  la fois confortables et Ă  un prix raisonnable. Seule, Ludmila aurait sans doute mis bien plus de temps. Et qui sait 
 N'aurait-elle pas finis par craquer, retrouvant ses vieilles habitudes pour se soulager d'une frustration impatiente ?Je te suis quand ?Toujours, je l' je ne dĂ©sir que ma jeunesse et cette immaturitĂ© que je cache peuvent me pousser Ă  faire des que je regretterais, que, peut-ĂȘtre, tu ne me pardonnerais pensons pas, mon ne suis qu'Ă  toi. Et si ces gens me regardent, me dĂ©sirent 
 Je ne le leur rend pas. Seule mon attitude leur laisse croire, parfois. Mais au fond, je sais, ils savent, qu'ils n'auront rien. Je suis tienne et le resterai. Que l'on me brise si j'Ă©choue. Je ne veux pas te blesser, jamais. Et si cela est dĂ©jĂ  arrivĂ©, j'ose espĂ©rer que cela n'arrivera 
 Gobelet ?Ludmila buvait beaucoup, trois verres, et ce dernier, bientĂŽt, ce retrouva entre les doigts de la sublime en coin, regard entendu, qui ne purent que faire fondre Ă  nouveau la jeune psychologue, cette derniĂšre pinçant et mordillant trĂšs lĂ©gĂšrement ses lĂšvres sur le coup, brĂ»lant d'envie de se jeter sur sa belle et de l'embrasser, lĂ , devant tous ces gens qui ne remarquaient rien Ă  leur me provoques l'euphorie, l'alcool aidant, me laissera en effet te prendre par la taille,Rapprocher ton corps du miens,Et t'embrasser avec <3Frissons, Ă  ses pensĂ©s, alors que Dominura rendait son verre Ă  une Ludmila presque aveuglĂ©e par sa compagne, la dĂ©vorant des yeux tout en en oubliant la musique entrainante qui pourtant appelait Ă  la danse. Musique entrainante, ou pas. Car bientĂŽt, le rythme se fit plus calme, le DJ dĂ©cidant sans doute de passer quelques slows, un petit moment, avant de reprendre de la vitesse par la la musique lente. Lente, mais toujours assez forte, faisant s'emmĂȘler les bribes de conversations, ne plus entendre clairement ce qu'il se disait dans la son verre presque aussi vite qu'elle l'avait commencĂ©, Ludmila ne tarda pas Ă  le reposer sur la petite table, se redressant par la suite, son regard caressant amoureusement le visage de sa belle. Pourrions-nous seulement danser dans les bras l'une de l'autre, sans attiser une certaine curiositĂ© ?Je ne sais 
 Que regardes-tu ainsi, de cet air mauvais ?Fronçant lĂ©gĂšrement les sourcils d'une incomprĂ©hension lĂ©gĂšre mais soudaine, Ludmila se dĂ©tourna alors un instant de son amante, laissant son buste seulement tourner afin de regarder derriĂšre presque pas le temps de reconnaĂźtre ce nouvel interlocuteur qui s'approchait d'elle, la jeune femme fĂ»t alors prise de surprise, ce dernier l'attrapant d'une main par la taille, l'autre venant trouver sa main et la faire se soulever, les mettant ainsi en une position apte Ă  la danse. Quelque peu troublĂ© par cet Ă©lan soudain, tentant tout de mĂȘme de repousser – en vain – ce jeune homme, Ludmila ne pu que laisser ce dernier lui faire entendre quelques mots, avant de se pencher lĂ©gĂšrement sur le cĂŽtĂ©, lançant un sourire charmeur et entendu Ă  la belle française, qui se trouvait toujours juste derriĂšre la jeune Russe - Bonsoir, polie, insupportablement trop sĂ»r de concentrant Ă  prĂ©sent sur Ludmila, il lui laissa alors entendre – tout comme Ă  Dominura, qui Ă©tait bien assez proche pour cela – un lĂ©ger sourire en coin se dessinant sur ses lĂšvres, un air entendu dĂ©voilant un probable souvenir en commun entre son interlocutrice et lui-mĂȘme - Tu me dois une danse, Ludmila. <3Un lĂšvres s'entrouvrant lĂ©gĂšrement alors qu'elle ne pouvait se retourner vers son amante, dĂ©jĂ  entrainĂ© par ce charmant jeune homme, archĂ©type d'un sĂ©ducteur – blond aux yeux bleus – la jeune Russe finit toutefois par laisser Ă©chapper un lĂ©ger rire nerveux, ne se dĂ©battant tout de mĂȘme plus pour autant, laissant Ă  ses mots la possibilitĂ© Ă  ce garçon de comprendre qu'elle n'avait pas la moindre envie de passer cette soirĂ©e en sa compagnie - Je ne me souviens pas t'avoir promis quoi que ce en es tu ne vaux rien. Oh, sans doute parles-tu de ces verres que tu as pu m'offrir, sans que je ne t'offre rien par la suite, ce soir oĂč tu as rĂ©ussi Ă  me convaincre de sortir boire un verre avec toi, en toute amicalitĂ© » ? Idiot. Si tu crois que je ne n'avais pas devinĂ© que ces boissons gĂ©nĂ©reusement offertes n'Ă©taient pas si gĂ©nĂ©reuses, au fond, tu te trompes je ne te dois rien,Ne l'avais-tu pas dis toi-mĂȘme ?- Sortons, ce soir. Je t' Ă©chapper un nouveau rire Ă  la fois nerveux et amusĂ© par tant de prĂ©tention, Ludmila enchaina, sentant la main de ce jeune homme descendre doucement mais surement sur sa hanche, puis glissant vers l'arriĂšre, Non. Pour rien au ?Mhm. Peut-ĂȘtre un de rĂ©action du jeune homme, qui retenait fermement Ludmila, cette derniĂšre sachant pertinemment qu'elle aurait Ă  se dĂ©battre si elle tentait quoi que ce soit pour se dĂ©tacher de cet homme. Or, il Ă©tait absolument hors de question d'attirer ainsi l'attention sur elle, prĂ©fĂ©rant sans doute attendre la fin de cette chanson pour pouvoir ensuite enfin retrouver son amante, qu'elle pouvait voir parfois, entre deux pas, sans vraiment pouvoir lui transmettre un quelconque t'en fais plus toi. <3 InvitĂ© Empire State of MindInvitĂ© Sujet Re [.] Les fleurs Ă©closent aussi la nuit. <3 [PV Ludmi] /!\ Sam 10 Oct - 1902 Mmmmmhhh la provocation n'Ă©tait-elle pas une arme Ă  double tranchant, dans ce genre de conditions ? Oh, certainement que si, et Dominura ne l'ignorait pas, malgrĂ© le degrĂ© d'alcool qu'elle commençait Ă  avoir dans le sang et ressentir en ses sens un tantinet troublĂ©s. Elle n'avait pas beaucoup bu, mais se sentait dĂ©jĂ  un peu vague, entrainĂ©e par ses envies et ses positions... EntrainĂ©e par Ludmila, entrainĂ©e par ses dĂ©sirs... Comme celui de la prendre contre elle, de rapprocher leurs corps, de lui voler un fougeux ou langoureux baiser il faut se tenir, n'est-ce pas, belle française ?Se tenir, et continuer ainsi, seulement, Ă  suivre le rythme en regardant ses la regarder... Pour le ensuite ?Cela resterait Ă  voir, selon l'ambiance, l' que les deux jeunes femmes demeuraient face Ă  face, un jeune homme fit son apparition, dans le dos de la charmante blonde. Un coup d'oeil de Dominura, et cette derniĂšre devina qu'il n'Ă©tait pas lĂ  pour rien. Un dragueur, ou simple boulet ? Sans doutes les deux, et dĂ©jĂ  le monstre faisait rage en elle, alors que son regard mauvais tardait Ă  quitter le soit-disant beau visage du sinistre inconnu. Hop, de un, de deux, et Ludmila Ă©tait retournĂ©e, dos Ă  sa conjointe, qui, une fois de plus, n'eut qu'Ă  se prendre ce 180° en pleine figure pour se retrouver potiche, lĂ , au milieu de ce couple qui venait de se former tout contre elle et son soit-tu, toi, l'imbu de ta personne !Maudis soit-tu, d'avoir volĂ© ma conjointe !Et que cela dure pour toi, que tu ne te retrouves pas sous mes mains ! Car alors je te corrigerai, je te bafferai de le regarder avec tant d'envie, de l'avoir prit d'une main la main, de l'autre la hanche, lĂ , juste devant mes yeux. Ah ! DegoĂ»tant animal, bĂȘte de cirque. Bonsoir, Madame ? Oh, je n'en ai que faire, de tes sales politesses d'enfant bien Ă©levĂ© servant Ă  ce sourire immonde. Mais je te souris quand mĂȘme, mais j'incline la tĂȘte avec distinction et te rĂ©ponds simplement, d'une courtoisie sans Ă©gale"Bonsoir Ă  vous, monsieur."... me le me le bien, Ludmila, petit chat, mon amour. N'aurais-tu pas des choses Ă  redonner Ă  cet inconnu dont je ne doutes pas que la soit disant beautĂ© te tape dans l'oeil ? Ah, ah ! Petite cachotiĂšre, ou plutĂŽt, petite garce. Moi qui ai tant confiance, ne pourrais-je pas avoir une soirĂ©e tranquille avec toi ?! Ah, ah ! Peut-ĂȘtre serait-ce trop demander que de ne pas vouloir entendre de tels sous entendus. Une danse ?! Et puis quoi, encore. Et moi qui te croyais vouloir me faire danser ! VoilĂ  que cet horrible et inssuportable collĂšgue te fais des sourires en coin. Des petits regards. Alors que je reste lĂ , figĂ©e, un instant, inutile comme impossible, sur cette piste de danse qui ne me plait mĂȘme pas, et que j'ai rejoint uniquement pour te faire plaisir et passer un moment en ta ne te dĂ©bats pas, ne daignes mĂȘme pas le repousser par la parole,Et de ris ?!Rierais-tu de moi ?Ou bien de lui ?Je ne sais plus. Je n'arrives mĂȘme pas Ă  entendre ta vraie, ou fausse, nervositĂ© dans ce rire. L'alcool ne m'aide pas, et voilĂ  que ma rage passe dans mes joues, ne rosissant pas pour autant. Et voilĂ  qu'il t'invite. Pourquoi suis-je en train de rester lĂ  ? Peut-ĂȘtre, au fond de moi, me surprends-je Ă  espĂ©rer que tu le repousses ouvertement ? Mais Ludmila semblait Ă  prĂ©sent plus amusĂ©e qu'autre chose, alors que la main de l'homme descendait plus bas que convenable, sur sa te toi, ta provocation va en son sens ! Tu ne le repousses pas mais le force Ă  n'en puis plus !Et ne peux rien faire. Je suis lĂ  comme un poteau, incapable de dire quoi que ce soit. De toutes façons, amuse t'en si tu le veux !J'ignore si je ne regretterai pas de t'avoir suivie jusqu'Ă  cette piste. Je n'aurai pas dansĂ©. Et je n'aurai assistĂ© qu'Ă  cela. Quel bon programme ! OĂč sont donc ces bons moments dont je m'Ă©tais promis la lumiĂšre en venant ce soir ?Partons, Avant d'avoir plus mal encore,Et que tu finis ta danse, avec vois, entre deux pas, tes yeux, ton au troisiĂšme que tu me lança, j'avais dĂ©jĂ  tournĂ© les talons, et disparu dans la Bernard ira au diable ce soir, et paix Ă  son Ăąme ainsi que ses gobelet de plus ira dans ma gorge,Et son contenu me brĂ»lera les qu'importe !Peut-ĂȘtre ce soir me retrouverais-je Ă  t'accompagner, toi,De par derriĂšre les murs,M'Ă©loignant un instant d'euxEt pouvoir te savoirRien qu'Ă  moi.<3MonPetit chat, tendre fleur,Si rayonnante ce soir,La plus belle parmis toutes. InvitĂ© Empire State of MindInvitĂ© Sujet Re [.] Les fleurs Ă©closent aussi la nuit. <3 [PV Ludmi] /!\ Sam 10 Oct - 1958 Ne pas rĂ©agir – ou au contraire – aux insinuations de ce charmant jeune homme, faisait-il de Ludmila une mauvaise partenaire Ă  l’égard de Dominura ? Sans doute, en effet. N’aurait-elle pas simplement pu le repousser, lui faisant gentiment comprendre qu’il n’aurait rien d’elle ? Cela aurait certes Ă©tĂ© bien plus correct que de laisser sa conjointe ainsi, seule, laissant sous ces yeux ce spectacle qu’elle ne voulait sans doute pas si peu la femme si peu innocente qu’elle Ă©tait ne manquait pas de faire durer ce petit jeu entre ce jeune homme et elle, le laissant espĂ©rer, prendre un peu, avant de finalement s’en retourner Ă  celle qu’elle aimait rĂ©ellement. Et si Ludmila Ă©tait consciente d’ĂȘtre tout Ă  fait mauvaise Ă  l’égard de l’homme, elle ne se rendait nĂ©anmoins pas rĂ©ellement compte du mal qu’elle pouvait ainsi causer Ă  sa belle. Non, elle ne jouait pas volontairement avec les nerfs de Dominura. Seulement 
 Une danse, Ă©tait-ce si grave ?La musique Ă©tait calme, temps semblait s’écouler en une extrĂȘme lenteur, alors que Ludmila se laissait entraĂźner par cet assez bon danseur, sans pour autant le laisser aller bien plus loin que cela. TrĂšs vite, alors que son regard continuait inlassablement Ă  chercher celui de son aimĂ©e, la jeune Russe remarqua l’absence de cette derniĂšre, qui s’était sans doute bien vite Ă©loignĂ©, tandis qu’elle avait le dos tournĂ©, du fait des tournoiements qui s’emparaient d’ es-tu ?Instant de se montra tout Ă  coup quelque peu rĂ©sistante, son regard cherchant sa belle avec plus d’ avait sans doute fini par se lasser de cette scĂšne, qui – aux yeux de la belle blonde – n’était pas spĂ©cialement douloureuse, mais possiblement pĂ©nible, du fait que la charmante française se retrouvait ainsi seule. Evidemment, Ludmila n’avait pas eu l’intention de tenir jusqu’à la fin de cette musique, espĂ©rant sans doute que son aimĂ©e vienne interrompre ce stupide manĂšge. Mais peut-ĂȘtre, inconsciemment, se rendait-elle compte du fait que si elle-mĂȘme avait Ă©tĂ© dans le cas de Dominura, sans doute aurait-elle fait une scĂšne, ouvertement, rageuse de cette possessivitĂ© brĂ»lante qui l’aurait suis Ă  es 
 Ă  Elle ?Alors pourquoi cette main est-elle si basse dans ton dos ?Pourquoi descend-elle encore, un peu plus, dĂ©passant cette limite que tu t’étais naturellement fixĂ©e ?Pourquoi, lĂ , sans que tu ne t’en rendes rĂ©ellement compte, cet homme rapproche doucement son visage du tiens ?Brusque retour Ă  la un sursaut non nĂ©gligeable, Ludmila lĂącha la main de son cavalier, reculant vivement, par la mĂȘme occasion. Puis, lui lançant un regard noir mais restant correcte – ce dernier Ă©tant tout de mĂȘme l’un de ses collĂšgues – la jeune Russe laissa entendre, visiblement trĂšs sĂ©rieuse, cette fois-ci - Je 
 Euh 
 Non ! Je ne vous permets pas !Regard quelque peu surpris du jeune homme, qui ne s’était donc pas attendu Ă  finalement, ce dernier n’insista pas, levant quelque peu les mains en guise d’excuses, faisant mine d’innocence. Bien. !Ludmila se retourna Ă  nouveau vivement, regardant partout autours d’elle, alors qu’elle sentait son cƓur s’emballer quelque peu. L’alcool commençait sans doute Ă  la troubler quelque peu, lui montant dĂ©jĂ  aux joues, qu’elle avait Ă  prĂ©sent de rosĂ©es. Adorable. Mais son regard se perdant dans la foule, ses talons claquant le sol de la piste, la jolie blonde sembla un instant perplexe, rĂ©alisant peu Ă  peu cette sorte d’abandon involontaire mais inacceptable de sa quatriĂšme verre fut attrapĂ© au passage, bu rapidement – mais avec classe – puis montait, mais Ludmila n’y pensait pas, quelque peu inconsciente – dĂ©cidemment – des consĂ©quences que cela pourrait avoir par la suite. Loin du luxe des soirĂ©es oĂč Dominura l’avait invitĂ©, loin des prĂ©jugĂ©s et de cette obligation qu’elle avait eu Ă  se tenir convenablement pour ne pas salir la rĂ©putation de sa patronne, Ludmila pensait sans doute ĂȘtre Ă  l’abris, profitant sans prĂ©voir, Ă©goĂŻste, mais non moins amoureuse et angoissĂ©e par l’absence de la belle et et stupide ?Tu ne devrais pas tant penses Ă  elle. Tu ne veux qu’ pourquoi ne lui montres-tu pas comme il se doit, plutĂŽt que de laisser tes furtives caprices la faire s’éloigner ?- Domi 
Le bout de ses doigts passant sur le bras de son aimĂ©e, Ă  la limite de la manche de sa robe, Ludmila finit donc par retrouver cette derniĂšre, la musique suivante faisant Ă  peine son apparition, suivant celle qui avait provoquĂ©e la sĂ©paration de ces deux si belles peu hĂ©sitante, sans doute un peu nerveuse quand Ă  la rĂ©action de sa conjointe vis-Ă -vis de son absence, la jeune Russe se rapprocha un peu plus encore de son amante, tournant malicieusement face Ă  elle tout en laissant ses doigts glisser sur sa peau nue, par la mĂȘme occasion. Sourire en coin. Malice consciencieusement placĂ©e dans un regard brillant d’une certaine crainte de se voir rejetĂ©e - Danse avec moi. <3Prends-moi par la mes bras passeront autours de ton juste un peu,Et mon souffle viendra te murmurer quelques mots Ă  l’ InvitĂ© Empire State of MindInvitĂ© Sujet Re [.] Les fleurs Ă©closent aussi la nuit. <3 [PV Ludmi] /!\ Dim 11 Oct - 1347 Actions correctes ou incorrectes, Ludmila ne semblait s'en rendre compte qu'Ă  moitiĂ©, en rĂ©alitĂ©, alors que Dominura avait dĂ©jĂ  tournĂ© les talons. Cette derniĂšre, a prĂ©sent plutĂŽt en colĂšre qu'attristĂ©e, la peine ayant plutĂŽt laissĂ© place Ă  une certaine rancoeur plutĂŽt justifiĂ©e, s'Ă©tait donc bien pressĂ©e de rejoindre le cĂŽtĂ© du bar qui resservait un peu de punch dans les gobelets restants. En ni une ni deux, la belle française attrappa son verre et but d'une traite son contenu, se fichant Ă  prĂ©sent pas mal du fait de pouvoir se retrouver un moment incapable de rester chez elle. Oh, elle n'irait certainement pas Ă  se saouler jusqu'Ă  en vomir ou bien ne plus savoir ce qu'elle faisait, evidemment ! La grande femme avait bien trop de principes pour cela. Mais si un verre de plus pouvait l'aider Ă  perdre sa colĂšre froide qui lui tiraillait le coeur et le sang en cet instant mĂȘme...Alors pourquoi un autre ?Soyons folles, de toutes façons la soirĂ©e ne promet pas d'ĂȘtre plus interessante que ce qu'elle venait de voir sur la piste de danse, Ă  l'instant mĂȘme. Tsss. Encore un peu et elle serait repartie chez elle, payant un taxi le prix qu'il fallait pour ĂŽter de sa vue tous ces visages goguenards, trop enjouĂ©s ou bien trop charmeurs. Pourquoi avait-elle donc acceptĂ© de venir ici ? N'aurait-elle pas mieux fait de rester Ă  son atelier, Ă  travailler, regarder les aiguilles qui tournent en pensant Ă  Ludmila plutĂŽt que de la voir provoquer un jeune homme immonde devant ses yeux ?Grognement me le paieras, un jour, que l'on ne drague pas aussi ouvertement les jeunes femmes en couple ?Ah, ah !Tout le monde ignore que tu es en couple, petit tant mieux pour toi ? Tu peux t'amuser autant que tu le veux, ainsi. T'amuser Ă  tenter, t'amuser Ă  aguicher. Je voudrais voir Ă  nouveau ton regard sur moi. Sentir tes pensĂ©es vers moi, tes attentions, tes envies. Mais as-tu seulement encore envie ?Le retour Ă  la rĂ©alitĂ© de Ludmila Ă©chappa bien evidemment Ă  la charmante française, dĂ©jĂ  bien plus loin, mais point passĂ©e Ă  autre chose. Oh, simplement, elle restait lĂ  avec son Ă©nniĂšme gobelet, se redressant et retrouvant petit Ă  petit un semblant de bonne humeur, qu'elle tentait d'afficher, au fond de ses yeux et de son sourire presqu'Ă©teint. Il fallait rayonner. Rayonner, et ne faire que cela. De quoi aurait-elle l'air, si elle restait lĂ , plantĂ©e comme la potiche qu'elle Ă©tait depuis le dĂ©but de la soirĂ©e, l'air sombre et la mine complĂštement abbatue ? Non. Pour ceux qui la reconnaitraient, et pour son honneur personnel, elle devait se tenir. Ainsi bien haute perchĂ©e sur ses talons, bien mise en valeur sans sa robe verte qui accrochait bien des regards, la grande femme descendit, un faux sourire aux lĂšvres -qui marchait cependant trĂšs bien sur les gens alentours, persuadĂ©s qu'elle s'amusait parmis eux- la moitiĂ© d'un nouveau verre. Et s'il lui semblait que l'alcool passait dans son sang, irriguait son cerveau, elle ne s'en formalisa pas, ne faisant mĂȘme pas attention Ă  ce que ses joues puissent en rosir que tu t'amuses, pas l'essentiel ?AprĂšs tout, ce n'est pas ma soirĂ©e, n'est-ce pas ?Je ne suis qu'une invitĂ©e, une simple invitĂ©e,Je ne connais personne et n'ai pas tant envie de les connaitres... Alors si tu t' tant mieux, n'est-ce pas ? Tant que tu t' tu veux passer un moment,Je serai lĂ . C'est pour cela que tu m'as ammenĂ©e, n'est-ce pas ? Pour pouvoir m'avoir sous la main au cas oĂč tu n'en aies plus rien Ă  faire des autres. Mais bon, si tu t' t' l' tu sais que je serais dans un coin de la piĂšce, quelque tiens,Te peu perdue dans ses pensĂ©es floues, le regard quelque peu vague alors que son faux sourire restait accrochĂ© Ă  ses lĂšvres pour simplement Ă©viter que celles-ci ne tombent en une moue dĂ©pressive, la grande femme se retourna vers sa belle lorsque celle-ci finit par la rejoindre, peut-ĂȘtre lassĂ©e de l'homme avec qui elle avait dansĂ©, ou quelque chose d'autre, peu c'est !Dominura ne fit pas plus attention aux doigts de Ludmila passant contre sa peau qu'Ă  son hĂ©sitation Ă  reprendre la parole devant elle. Seuls ses yeux, fixant toujours la magnifique blonde, semblaient dire, dans un Ă©tat interieur de lassitude totale, presqu'effrayante Qu'est-ce que tu veux ? Puis, aprĂšs un petit jeu qui ne sembla guĂšre exciter la grande femme, actuellement persuadĂ©e que Ludmila aurait pu en faire de mĂȘme avec n'importe qui dans cette salle sans ce soucier qu'il s'agisse de son aimĂ©e ou non, la jeune russe demanda, pleine de malice, peut-ĂȘtre d'envie Danse avec sais que je ne sais pas danser, petit puis. N'y a t-il pas tant d'autres personnes ici prĂ©sentes qui tueraient pour Ă©changer quelques pas avec toi ?Le gobelet Ă  la main, ses yeux vert foncĂ©s rivĂ©s sur sa belle, la grande femme garda un instant le silence, ayant tout de mĂȘme perdu son sourire d'affiche depuis quelques instants devrais-je rĂ©pondre ? GĂącher cette opportunitĂ© en gardant toutes les pensĂ©es qui m'ont affligĂ©es depuis un bout de temps, ou bien faire semblant de ne pas en avoir Ă©tĂ© spĂ©cialement blessĂ©e, et accepter ton offre, en gardant l'espoir que tu aies plaisir Ă  ĂȘtre avec moi ? Je n'ai pas envie de plus me dĂ©chirer. Et de toutes façons, tu ne remarqueras rien, n'est-ce pas ? Rien de mes pensĂ©es ou de mes craintes, tu as bu trop d'alcool. Serais-tu seulement capable d'analyser tes propres gestes, et les miens, qui m'ont forcĂ©e Ă  partir ?...Viens par tout se passa bien vite. Dominura finit son gobelet d'une traite, et le posa -un peu plus violemment que prĂ©vu, il fallait l'avouer- sur la table-buffet non loin de lĂ . Un instant, et elle Ă©tait retournĂ©e vers son amour. Un autre, et sa main lui avait attrappĂ©e la taille, la tirant vers elle, alors que, de quelques pas, elle rejoignait plutĂŽt la piste de danse, s'Ă©loignant des personnes statiques demeurant proches des boissons et petits toasts. Un Ă©change de regards, profond et intense,Une main sur la taille et l'autre frĂŽlant le bras, D'une force qui voulait sans doutes direLudmilaSois Ă  moi ;Rien qu'Ă  t'ai sous mes mainsSous l'emprise de cette danse,Que tu ne dois qu'Ă  te qu'Ă  moi.<3DerniĂšre Ă©dition par Dominura Romley le Dim 11 Oct - 2327, Ă©ditĂ© 1 fois InvitĂ© Empire State of MindInvitĂ© Sujet Re [.] Les fleurs Ă©closent aussi la nuit. <3 [PV Ludmi] /!\ Dim 11 Oct - 1553 Reconnaissant bien le sourire de façade de sa conjointe – et de ce fait quelque peu mal Ă  l’aise, par sa propre faute Ă©videmment – Ludmilla tenta tout de mĂȘme de garder un comportement relativement naturel, ne souhaitant pas rĂ©ellement aborder le sujet de cette danse qu’elle avait finalement acceptĂ©e en ne repoussant pas ce jeune homme. Avait-elle vraiment voulu refuser ? Qui sait. Ce qu’il y avait de sĂ»r Ă©tait que la jolie Russe n’avait pas eu plus envie de danser avec lui qu’avec qui que ce soit d’autre dans cette salle, hormis me regarde pas comme je sais, c’est ma peux-tu tout de mĂȘme m’excuser cette absence, certes dĂ©placĂ©e ?Je ne voulais pas gĂącher ta soirĂ©e. Notre n’est pas trop tard, n’est-ce pas ?Tu n’as qu’à accepter, me faire confiance, sais que je ne suis qu’à sais que je n’ai envie que d’ĂȘtre avec toi, Ă  regard restant entre malice et hĂ©sitation – due Ă  une certaine culpabilitĂ© inconsciente – la jeune Russe ne cessait d’observer sa conjointe, craignant sans doute qu’elle ne lui refuse cette demande. Si c’était le cas, bien sĂ»r, cela voudrait dire que la belle française lui en voulait, n’est-ce pas ? Oh, cela pouvait tout aussi bien ĂȘtre le cas en cas d’acceptation. Mais au moins Ludmilla pourrait – peut-ĂȘtre – lui prouver qu’elle ne souhaitait ĂȘtre qu’en sa compagnie ? Je te veux. sourire de Dominura s’effaçant, Ludmilla senti son ventre se nouer quelque peu, son regard passant alors furtivement sur le verre que son ancienne patronne avait en main. Avait-elle bu d’autres verres, elle aussi ? Pourtant, il semblait Ă  la belle blonde que son amante ne tenait guĂšre l’alcool. Et elle ? Un peu plus. Mais Ă  combien de verres Ă©tait-elle, dĂ©jĂ  ? Ces derniers avaient fait qu’il lui Ă©tait Ă  prĂ©sent impossible de rĂ©pondre Ă  cette pourtant si simple question. Sa tĂȘte semblait flotter, la chaleur lui montant aux joues et faisant s’éveiller tous ses sens, tout en rendant ses mouvements plus flous, mais aussi dangereusement plus Dominura termina rapidement son verre, le buvant d’une traite avant de le poser quelque peu violemment sur la table. Geste qui ne manqua Ă©videmment pas d’angoisser quelque peu la belle Russe, cette derniĂšre pinçant furtivement ses lĂšvres entre elles, la laissant perplexe une en colĂšre ?En une seconde, la jeune psychologue fĂ»t attirĂ©e sur la piste de danse Ă  nouveau, la main de Dominura venant cette fois-ci la prendre Ă  la taille et les rapprocher toutes deux en un Ă©lan possessif qui ne lui Ă©chappa quand sembla un instant couper le souffle Ă  Ludmilla, dont le ventre avait reçu comme un courrant douloureux de honte en songeant Ă  la peine qu’elle avait pu faire Ă  son aimĂ©e en ne se dĂ©battant pas tout Ă  l’ de ne souriait plus, son sĂ©rieux prenant le dessus sur la malice, un instant, alors qu’elle se sentait tout Ă  coup gĂȘnĂ©e par la situation. GĂȘnĂ©, mais non moins amoureuse et parfaitement sĂ»re de l’amour mĂȘme de son amante. Assez rapidement – quoi qu’aprĂšs un petit temps d’absence de la part de la jolie blonde – cette derniĂšre laissa ses bras passer doucement autours du cou de sa conjointe, prenant une position dĂ©jĂ  bien plus proche que celle qu’elle avait pu tenir avec son prĂ©cĂ©dent cavalier, volontairement. N’osant pour l’instant pas passer ses mains sur la nuque de son aimĂ©e - sentant nĂ©anmoins quelques-uns de ses cheveux venir les frĂŽler – Ludmilla les croisa simplement entre elles, ses bras restant relativement tendus pour l’ me rapprocher de toi. Un peu plus. Mais le puis-je seulement ?Je ne voudrai pas te mettre un peu plus encore en colĂšre, mon si quelqu’un remarquait ces rapprochements ? Et si tu n’en voulais simplement pas ?
Son regard se dĂ©tournant une seconde, passant furtivement sur le cĂŽtĂ© – au hasard, par fuite – Ludmilla finit tout de mĂȘme par reposer son attention sur sa conjointe, laissant ses yeux sombres venir caresser son visage, tandis qu’elle la guidait sur quelques pas d’une musique plutĂŽt lente, ne faisant que rendre l’ambiance quelque peu plus gĂȘnante encore pour la belle guider ?Ou non, car finalement, Dominura savait peut-ĂȘtre mieux danser qu’elle le plus qu’elles ne faisaient lĂ  rien de bien de 
 BouffĂ©e de chaleur ?Sans s’y attendre, Ludmilla sentie ses joues rosir davantage, prise d’une pulsion terrible Son corps avait frĂ©mit, transmettant sans doute ce frisson Ă  sa belle, prit d’un Ă©lan de dĂ©sir presque sauvage, qu’elle ne pu nĂ©anmoins que contenir, laissant simplement ses lĂšvres s’entrouvrir quelque peu, son regard venant suivre celles de son aimĂ©e avec terrible, physique, mais aussi nourrit par une fascination psychique de Ludmilla pour la belle française. Attirance qui n’était certainement pas diminuĂ© par l’alcool, qui laissait Ă  prĂ©sent la jolie blonde quelque peu plus fragile face Ă  ce genres de veuxTe serrer dans mes brasT’embrasserMe frotter contre <3
Mais n’osait pas plus faire tout cela que de simplement laisser leurs corps se rapprocher ne serait-ce qu’un peu plus. Ou voulait-elle simplement laisser le choix Ă  Dominura ? Cette derniĂšre devait bien le sentir Ludmilla brĂ»lait d’un dĂ©sir fĂ©roce Ă  son Ă©gard, et pourtant, restait quelque peu distante, soucieuse de ne pas blesser davantage celle qu’elle aimait en la mettant dans une situation dĂ©licate vis-Ă -vis de ceux qui pouvaient Ă©ventuellement la reconnaĂźtre et contacter la t’avoir ne te laisserai te le ne veux que toi, ne suis bienQu’avec toi.<3 InvitĂ© Empire State of MindInvitĂ© Sujet Re [.] Les fleurs Ă©closent aussi la nuit. <3 [PV Ludmi] /!\ Dim 11 Oct - 1633 La colĂšre ne serait plus raisonnable. Le sais-tu, petit chat ? La blessure est passĂ©e derriĂšre les verres et surtout derriĂšre mon sourire et mes pensĂ©es. La colĂšre en a finalement fait de mĂȘme, alors que j'aborde Ă  prĂ©sent un Ă©lan de lassitude au fond des yeux. Lassitude d'avoir dĂ» faire face Ă  cela, agrĂ©mentĂ© de quelques regrets, peut-ĂȘtre, Ă  ĂȘtre venue, a avoir fait tous ces la grande femme, quoi que nous en disions, n'avait plus ces sentiments mauvais dans les yeux ou dans le coeur, alors qu'elle avait prit Ludmila par la taille et entrainĂ© cette derniĂšre sur la piste, un peu plus loin du buffet et des regards des personnes statiques. Au contraire, elle tentait bien de laisser voir, derriĂšre le voile et le flou, tout son amour et son attention pour la charmante russe, qui, finalement, s'Ă©tait laissĂ©e entrainer dans ses bras, sous ses mains, sous ses doigts. Oh, Ludmila. Sais-tu que si je ne peux prĂ©sentement pas sourire, je n'en suis pas moins heureuse d'ĂȘtre revenue en ta compagnie ?Certes, mon cerveau, tout comme mon corps, a bien encore du mal Ă  tout synchroniser, comme si je restais encore Ă  t'en vouloir. Mais je ressens bien ces Ă©lans nouveaux, soudains, qui te reprennent en ton ensemble, lĂ , passant en moi, m'offrant Ă  la vue et aux sensations... Tes envies, tes dĂ©sirs... Envie de moi ?Frissons, qui passent en mon corps, suite au bien vu, oui, ce dĂ©tournement de regard, un instant. Serais-tu gĂȘnĂ©e ? Une fraction de secondes, j'ai cru que tu cherchais cet homme du regard, comme tu m'as cherchĂ©e, vaguement, lorsque tu Ă©tais dans ses bras, ne m'offrant qu'un regard pour quelques pas. Mais, non. Te mettrais-je mal Ă  l'aise, petite fleur ? Epanouissons-nous, le veux-tu ? Il me faut ce temps. Ce temps avec encore quelques te plait...Et laisse-toi je ne sais pas je ne sais pas danser. Alors... Qu'est-ce qui guide mes pas, si ce n'est pas toi ? Peut-ĂȘtre mes sentiments, mes Ă©lans et Ă©motions, comme un dĂ©sir fourbe et enfoui de te faire voir... Que je ne vaut pas moins que celui qui a pu te prendre sous ses doigts, il n'y a pas tant de temps. La jeune femme qu'Ă©tait Ludmila venait de passer ses bras autour du cou de son ainĂ©e, qui, un instant, laissa ses lĂšvres s'entrouvrir, sous le mouvement qu'avait engagĂ© sa conjointe, et qui, au fond, ne manqua pas de lui rĂ©chauffer le coeur. Petit chat, petit chat. RĂ©ponds-tu ainsi Ă  mon appel ? Oh, laisse-toi partir. Ne me regardes pas ainsi !Echanges de regard profond, intense, brillant, fait part de Dominura alors qu'elle pinçait ses lĂšvres, juste une te veux, frissons se sont rĂ©partis en ma personne - Et comment rĂ©sister ?Comme une envie soudaine de me rapprocher... Encore. Puis un peu t'embrasser, devant tout ce monde, leur montrer que nous sommes ensemble, leur prouver mon amour pour toi, hurler ma possĂ©ssivitĂ©, et profiter, encore et encore, de ces instants, avec toi. Pour toi. Pour nous ! Viens, viens, encore un peu plus proche ! Ah, que j'aimerais ne pas avoir Ă  me cacher d'eux. Et l'alcool ne nous aiderait-il pas Ă  nous afficher ? Mon dieu... Nous ne devons pas...Ludmila...Je t'en supplie. Joue ton jeu. Repousse !Impossible. Cela Ă©tait impossible, n'est-ce pas ? Heureusement, autour d'elle, des collĂšgues, d'une relation amicale, dansaient, elles aussi, ensemble. Mais cela Ă©tait-ce suffisant pour prĂ©server Dominura et sa conjointe ? Peut-ĂȘtre, peut-ĂȘtre pas. En tous cas, elles ne semblaient pas forcĂ©ment attirer l'attention. Tant pis, tant mieux ? Tant mieux. Au joues rosissent, les miennes les suivent, alors qu'un frĂ©missement passe dans les bras qui conduisent mes mains Ă  tes hanches. Et les miennes les suivent, alors que mes lĂšvres tremblent un instant, avant de se refermer, fourbes d'envie. Et les miennes les suivent, alors qu'une bouffĂ©e de chĂąleur me prends Ă  mon tour, comme communicant avec celle qui a fait rage dans ton coeur et dans ta choix sont faits,Je ne veux que toi, tu le sais, n'est-ce pas ?Ne nous laisse pas nous sĂ©parer une fois de plusRapprochons nous,D'un pas,Puis deux...Mais leur danse fut interrompue par le soit disant charmant jeune homme, qui arriva, une fois de plus, par derriĂšre. Cette fois-ci prennant moins de pincettes, il posa la main sur l'Ă©paule de Ludmila, et, en un geste puissant mais gracieux, l'entraina Ă  se retourner, cette derniĂšre ne pouvant que perdre, une fois de plus, tout contact avec une Dominura retournĂ©e sur terre et Ă  sa temps, puis deux, et l'homme n'eut que le temps se coller, de tout son corps, contre la charmante russe, avant que Dominura ne se rue vers lui. Un instant, elle les sĂ©para d'un coup de main. Un autre, et la claque partit, retentissant dans la salle heureusement couverte de la musique. L'homme tituba, frappĂ© d'une vive Ă©nergie par la belle française, qui avait hurlĂ©, au mĂȘme moment"MAIS POUR QUI VOUS PRENNEZ VOUS ?!"Finalement, rapportant sa main Ă  elle, elle trembla un instant, ses yeux sombres fixant le jeune homme, pleins de rage, puis elle tourna les talons et quitta la piĂšce, afin d"Ă©viter de faire monter le scandale, alors que ses nerfs ne tenaient plus en place, terriblement boulversĂ©s par les Ă©vĂšnements, la portant Ă  criser sur la mauvaise Ă©ducation de cet homme, ainsi que l'horreur de le voir ainsi ressurgir pour lui voler sa belle ainsi que ses instantsClac ClacClacClacEt la grande femme se rua vers les vestiaires, s'enfermant Ă  l'interieur, simplement de par la porte, celle-ci ne disposant pas de quoi !Rageux cette fois, Ludmila, petit n'Ă©tait pas de ta tu sais bien que cet acte n'Ă©tait pas contre toi ; vois, ma colĂšre !Et ma haine de l'avoir vu te dĂ©tacher de moi pour se coller contre ta peau, ton corps, tout entier !Je n'ai pu me petit chat... fois de plusN'ais-je pas tout gĂąchĂ© ?Alors que Je ne voulaisQu'une simple moins... Une ?Contrairement Ă  ce que je t'avais fait entendre...Je ne sais pas Ă©dition par Dominura Romley le Dim 11 Oct - 2327, Ă©ditĂ© 1 fois InvitĂ© Empire State of MindInvitĂ© Sujet Re [.] Les fleurs Ă©closent aussi la nuit. <3 [PV Ludmi] /!\ Dim 11 Oct - 1956 Sans doute la lassitude de Dominura vis-Ă -vis de cet Ă©vĂšnement Ă©tait-elle tout autant perçue par Ludmilla que sa prĂ©cĂ©dente colĂšre. Etait-ce une intuition ou une simple suite logique, bien connue de cette jeune et talentueuse psychologue ? AprĂšs tout, il Ă©tait Ă©vident que la belle française se sente quelque peu blasĂ©e, aprĂšs un tel abandon – quoi que non volontaire – de sa conjointe, Ă  une fĂȘte oĂč elle-mĂȘme l’avait pu m’ pu t’empĂȘcher de ressentir j’ai choisi de laisser mon orgueil l’emporter, m’amusant d’une attirance Ă  sens unique avec cet homme qui, au fond, m’indiffĂšre. Peut-ĂȘtre Ludmilla cherchait-elle, inconsciemment, Ă  provoquer la jalousie de son amante ? N’est-ce pas, aprĂšs tout, une nouvelle preuve de son amour ? Une maniĂšre quelque peu dĂ©placĂ©e de se faire dĂ©sirer davantage ?Qui sait. Ludmilla n’était pas toujours des plus tendres, au fond. Son instinct, fuyant toute attache, finissait toujours pas ressurgir, bien que ses sentiments envers Dominura Ă©taient tout Ă  fait sincĂšres et les secondes qui suivirent ne tardĂšrent pas Ă  rassurer Ludmilla Bien que les sourires se faisaient absents, la façon dont se regardaient ces deux femmes prouvaient bien un rĂ©el attachement, une attirance, un dĂ©sir – frĂ©missements – prĂȘt Ă  exploser. N’était-ce d’ailleurs pas flagrant, vu de l’extĂ©rieur ? Peut-ĂȘtre, si quelqu’un prenait soin de les regarder avec un peu plus d’attention qu’en un simple et furtif regard. Or, et heureusement pour elles, ça n’était pas le ne nous regardent ?Oh non, ça n’était pas bien raisonnable. Pas plus que lorsque la belle illustratrice laissa doucement glisser ses mains sur les hanches de son amante, n’est-ce pas ? LĂ©ger pincement de lĂšvres, Ă  nouveau, de la part de la jeune Russe, qui quand Ă  elle ne changeait pas de position, sentant toutefois son corps rĂ©agir Ă  cette descente des mains de l’artiste. Ne laisses donc pas tes lĂšvres s’entrouvrirent ainsi, appelant les brĂ»le, meurs, de ne pas pouvoir t’approcher davantage. Oh, je le pourrai !Mais serait-ce seulement prudent ? Mon corps, plus proche du toi, et dont l’alcool commence Ă  engourdir les membres, les songes, ne me laissera pas rester raisonnable. Puis tu m’en voudras, de te pousser Ă  prendre un risque non nĂ©gligeable pour ta carriĂšre. La mienne ? Elle ne risque rien Personne ne me jugera, si ce n’est quelques jaloux, quelques homophobes, hĂ©las encore existants Ă  notre quelle importance ? Je me fiche de leur je suis fiĂšre d’ĂȘtre lĂ , avec suis tellement fiĂšre,De toi. <3
Instants magiques, malgrĂ© la le dĂ©sir Ă©tait palpable, presque visible, dans les yeux de l’une comme de l’ d’ĂȘtre plus pour Ludmilla, de montrer Ă  tous ceux qui regardaient Dominura avec envie, qu’elle n’était qu’à dĂ©finitivement, Ă  bien vite, quelque chose vint faire disparaĂźtre cette magie, subitement, faisant se retourner Ludmilla sans qu’elle ne s’y attende, laissant un cri de surprise s’échapper d’entre ses jolies lĂšvres 
 Quoi ?!En moins de temps qu’il n’en faut pour le dire, la charmante Russe se retrouva Ă  nouveau dans les bras de celui qu’elle avait pourtant quittĂ© de maniĂšre claire – d’aprĂšs elle. DĂ©tachĂ©e ainsi de Dominura, Ludmilla tenta en vain de se retourner vers elle, mais fĂ»t – au lieu de ça – plus proche encore de l’homme, les corps venant Ă  se percuter plutĂŽt brusquement, faisant froncer les sourcils de la jeune femme avec mais ça va pas ?!Mais une fois de plus, Dominura fĂ»t plus rapide qu’elle En moins de deux secondes, la belle française sĂ©para le nouveau couple formĂ©, puis gifla l’intrus, tout en lui criant dessus. Reculant d’un pas, quelque peu choquĂ©e par cette scĂšne Ă  la fois rapide et semblant pourtant voir dĂ©filĂ© au ralenti, Ludmilla laissa son regard suivre sa conjointe, ses lĂšvres s’entrouvrant quelque peu face Ă  cette rĂ©action, qui pourtant ne l’étonnait pas tant, venant de sa part. RĂ©action impulsive, exagĂ©rĂ©e ? Oh non, sans doute pas. Ce jeune homme l’avait bien mĂ©ritĂ©, au fond. De quel droit se permettait-il de sĂ©parer ainsi deux personnes dansant ensemble ? Peut-ĂȘtre pensait-il qu’une danse entre femmes n’était lĂ  que pour combler une absence de cavalier masculin ? Idiot. Il n’avait pas le droit de faire de pareilles choses. D’autant plus aprĂšs que Ludmilla l’ai elle-mĂȘme clairement rejetĂ©, n’est-ce pas ?Froncement de sourcils, regard noir Ă  l’égard de ce professeur impoli, lorsque Dominura tourna les talons et disparu du champ de vision de sa conjointe - Ne nous approchez froid et sans plus une once de malice fois-ci, Ludmilla ne voulait plus jouer Cet homme venait de blesser une fois de plus celle qu’elle aimait, ainsi qu’elle-mĂȘme, sans doute, Ă  la traiter ainsi, comme si son corps lui ne t’appartiens Ă  son tour, la jeune Russe tourna les talons, passant pas le buffet pour prendre un NiĂšme verre de punch, dĂ©jĂ  rempli, sur l’une des tables. Celui-ci aussi, fut bu d’une traite, comme la plupart des Ludmilla savait que cela n’était pas raisonnable. Mais il lui semblait – sur le moment – que l’alcool l’aiderait Ă  rĂ©tablir les choses, lui faire oublier un instant qu’elles avaient – Dominura et elle – Ă  se cacher du regard et du jugement des autres. L’alcool, pour oublier. L’alcool, pour faire semblant, ou prendre plus de risques encore ?Risquer de ne plus tenir debout. Risquer de passer pour une ivrogne face Ă  ses collĂšgues ? Non. Ludmilla savait se tenir, et connaissait ses limites, malgrĂ© tout. Et si elle pouvait atteindre un niveau d’euphorie presque absurde pour toute personne sobre, elle gardait tout de mĂȘme un minimum de classe, ayant le rĂ©flexe de s’isoler au cas oĂč ses limites Ă©taient attention, petit chat !Dominura est lĂ , ce soir. Tu ne pourras pas te cacher d’ elle verra dans quel Ă©tat tu peux ĂȘtre, pitoyable, si jamais tu dĂ©passes cette fameuse non, ce ne sera pas le cas 
N’est-ce pas ?
ClacClacClacSes talons claquaient Ă  son tour, alors que la jeune Russe sortait de la piste de danse, suivit des regards curieux qui avaient pu assister Ă  la scĂšne. Une fois dans la grande salle, la scrutant avec attention, Ludmilla remarqua bien vite l’absence de son amour, dĂ©duisant donc qu’elle avait dĂ» soit se rendre aux vestiaires, soit sortir complĂštement. Elle vĂ©rifierait donc les vestiaires, en premier Dominura ?La porte des vestiaire, auparavant fermĂ©e, s’ouvrit donc sur la jeune psychologue, toujours quelque peu troublĂ©e et colĂ©rique aprĂšs cette intrusion insupportable dans son regard se posant immĂ©diatement sur sa conjointe, ne pouvant que se rendre compte de sa colĂšre, de sa haine, Ludmilla laissa Ă©chapper un lĂ©ger soupir, refermant la porte derriĂšre elle, puis s’approchant doucement de son un sais, je suis qu’il soit de ne pas avoir Ă©tĂ© assez claire avec de te faire subir l’attirance que j’inspire aux te dĂ©goĂ»tent, n’est-ce pas ?Je ne voulais pas en arriver ma tĂȘte ma dĂ©marche se fait plus tremble, un joues rosies ne le sont que davantage, Ă  prĂ©sent que je me rapproche de toi. EncoreUn peuPlus.<3Quelques pas, et Ludmilla força Dominura Ă  reculer quelque peu, la faisant s’adosser au mur, tandis que son corps venait rencontrer le sien, ses mains se posant avec infini douceur sur ses trĂšs sĂ©rieuse, malgrĂ© un Ă©tat se dĂ©gradant petit Ă  petit, la jeune Russe laissa alors son regard accrocher celui de la jeune illustratrice, Il ne reviendra ne reviendra qu’il ne reviendra pas, aprĂšs la violente gifle qu’il venait de recevoir !A cette pensĂ©e, et aprĂšs quelques secondes de sĂ©rieux, contre toute attente 
 Ludmilla sentie une vague d’euphorie la submerger, ne pouvant retenir tout d’abord un sourire amusĂ©, qui dĂ©riva bien vite en un rire cristallin tout Ă  fait adorable, rire, spontanĂ©e, tandis que Ludmila se rendait soudainement compte de son bonheur, de l’aspect tout de mĂȘme comique de cette situation qui, d’un certain point de vue, ne l’était pourtant – continuant Ă  rire ainsi, ses yeux brillant d’une malice nouvelle Ă  l’égard de son aimĂ©e – Ludmilla rapprocha son visage sur sien, dĂ©posant quelques baisers sur ses lĂšvres, tendres et sentis, mais sans jouer d’autre chose que de ses les mains de Ludmilla glissaient des joues de la belle brune Ă  son cou, avant qu’elle ne se recule quelque peu, adressant un large sourire Ă  sa conjointe - Je t’aime tellement 
 ! extĂ©riorisĂ©e avec l’aide de l’alcool, Ludmilla rayonnait, Ă  nouveau. Sa colĂšre semblait avoir Ă©tĂ© balayĂ©, faisant retomber la lourde ambiance de ces derniers instants. Je ris ?Je que je suis avec personne ne pourra nous ne suis qu’à tu es tellementMienne.<3 InvitĂ© Empire State of MindInvitĂ© Sujet Re [.] Les fleurs Ă©closent aussi la nuit. <3 [PV Ludmi] /!\ Dim 11 Oct - 2324 Clac, clac, clac, clac. Je reconnais ces pas, ces bruits de talons. Je reconnais cette arrivĂ©e, sans dĂ©tours, cette dĂ©marche, que j'aime tant. Est-ce bien toi, Ludmila, qui arrive, prĂȘte Ă  me retrouver, alors que, peut-ĂȘtre, t'ais-je fait subir quelque honte, au loin sur la piste de danse ? Oh oui, viens. Je t'en prie, viens Ă  moi. Et que l'on se retrouve, le temps d'un instant, et que tu me dises, que tu ne m'en veux pas, et que tu me fasses comprendre, qu'au fond, tu dĂ©sirais ĂȘtre avec dans l'attente de quelque chose ?C'est mal. Oui, c'est mal. Mal, car je risque la blessure. Mal, car je risque subir une certaine déçeption. Une tristesse ? De ne pas pouvoir te toucher, lĂ , te parler, tendrement ou plus amoureusement, d'une violence poussĂ©e par le chat, oh, petit encore une fois glisser mes doigts contre ta peau, mes yeux dans les tiens, nos attentions mĂȘlĂ©es les unes aux autres... T'ais-je manquĂ©e, un instant ? MĂȘme si tu Ă©tais d'une certainement bonne compagnie ? T'ais-je manquĂ©e, un moment ? Alors que j'Ă©tais absente, physiquement... Etais-je toujours lĂ , au fond de tes pensĂ©es, prĂȘte Ă  prendre le dessus sur le reste ?Toi, tu m'as manquĂ©e. Toi, que je dĂ©sire voir plus que tout en cet instant. Je ne veux pas plus d'excuses que de repproches. Je sais qu'il n'en est de rien ta faute. N'aurais-je pas pu prendre tout cela autrement ? Non, j'en suis navrĂ©e. Alors... Ne dis part peut-ĂȘtreQue tu m'aimes ; que tu ne veux pas me perdre ?Que tu m' la porte s'ouvrit. Effectivement, derriĂšre cette derniĂšre, il s'agissait bel et bien de la charmante Ludmila, lĂ , toute en beautĂ© quoique troublĂ©e par les Ă©vĂšnements tout autant que ses propres sentiments. Cette vision, Ă©trangement, ne manqua pas de dĂ©crocher un lĂ©ger sourire Ă  la grande femme, qui sentait son coeur l'emporter sur la raison, prise d'une bouffĂ©e de chĂąleur oh, Ludmila...Dieu merci, tu es lĂ  ! Et tu oses encore pronomcer mon nom sans haine ni rage !Alors je me calme, alors je suis Ă  toi, encore une moi ! Je ne sais plus que penser. Et sans doutes n'est-ce pas l'alcool qui parcours mon sang qui me permettrait de mieux apprĂ©hender ce qui se passe autour de moi. N'ais-je pas Ă©tĂ© violente ? Il l'a bien mĂ©ritĂ©. Mais mes sentiments ne se sont-ils pas dĂ©cuplĂ©s ? J'ai bien peur de ne pas avoir pu cacher ce que je ressentais, prise dans le feu de l'action, abandonnĂ©e de mes principes m'interdisant de me laisser plus mal ?Tu m'as belle enfant, je sais que tu es dĂ©solĂ©e. Je te regarde, de mes yeux sombres mais brillant d'amour, d'attente ? Approche-toi, encore un peu plus. <3Et nos joues rougissent, tandis que mon regard ne capte pas tes tremblements, trop occupĂ© Ă  te dĂ©vorer, toute / Un peu / donc ! Je n'ai jamais attendu que pas, et Dominura se retrouva adossĂ©e contre le mur, quelque peu entrainĂ©e par Ludmila qui s'Ă©tait alors rapprochĂ©e. Les corps se rencontrĂšrent bientĂŽt, lĂ , dans une euphorie de contact. L'Illustratrice frissonna, alors qu'elle empĂȘchait tant bien que mal ses mains de rejoindre la peau de Ludmila, dans l'instant. Vite, vite ! Ne me fais attendre de rien. Oh, je m'Ă©gare ! Nous ne sommes pas ici pour prendre notre temps. Mais... Que fais-tu donc, petite fleur ? Ce n'est pas yeux vrillant un instant vers ceux de sa belle, la grande femme ne tarda pas Ă  y trouver un point d'accroche, alors que Ludmila semblait soucieuse, ce qui, Ă©trangement, rassura la trentenaire dont le regard n'exprimait plus qu'amour et ne reviendra il ne reviendra pas...La grande femme ne put qu'ĂȘtre surprise du soudain rire, franc et profond, de Ludmila, quoique cristallin. Pourquoi ris-tu donc ? A quoi viens-tu de penser, petit chat ? Oh ! Et que ne puis-je me laisser entrainer par ton euphorie ! VoilĂ  que je souris Ă©galement, mon regard se faisant plus doux encore, plus attentif, alors que mes lĂšvres daignent enfin parcourir mon visage plus ? Je lis tes yeux pleins de malice. L'alcool te fais perdre la tĂȘte ! A moins qu'il n'en soit de mĂȘme pour l'Amour ?Ah, ah !Mon dieu, je m'Ă©gare !Quelle ne fut pas la surprise pour Dominura que de sentir les adorables baisers de sa belle sur la surface de ses lĂšvres maquillĂ©es, encore, et encore, sous ce rire spontanĂ©, charmant. Baisers complices et amoureux, c'en Ă©tait certain. Cela ne manqua pas de finir de rĂ©chauffer le coeur de la grande femme, balayer tous ses doutes Non, tu ne les prĂ©fĂšres pas Ă  moi. Oui, tu me gardes de ton temps, de ton tu es heureuse... Lorsque tu me tu es heureuse... De nos instants passĂ©s dieu, voilĂ  que je te souris de plus belle, Emue et troublĂ©e de ces aveux si sincĂšres, me prennant au coeur, une fois de si je ne ris pas,Mon euphorie est tout de mĂȘme prĂ©sente,Alors que je ne pleure pas mon bonheur mais le ressens du plus que l'Ă©lan, la grande femme passa ses mains sur les joues de sa belle, l'attirant Ă  elle, encore plus, laissant entendre dans un souffle passionnĂ©, amoureux, mais aussi euphorique, "Et moi d'autant plus, Ludmila."L'entrainant Ă  elle, Ă  quelques centimĂštres, elle ajouta"Je t'aiiime... !"Dominura happa alors les lĂšvres de son aimĂ©e, laissant glisser les siennes par-dessus, lui offrant un fougueux puis langoureux je t' seul Pourrait te dire entraine-moi encore ! Tu me dois une danse,Chaton.<3 InvitĂ© Empire State of MindInvitĂ© Sujet Re [.] Les fleurs Ă©closent aussi la nuit. <3 [PV Ludmi] /!\ Dim 11 Oct - 2327 Euphorie, euphorie. <3Ludmila semblait avoir dĂ©jĂ  oubliĂ© ce jeune homme qui l’avait si brusquement arrachĂ© Ă  son amour, laissant son rire s’échapper comme sans doute elle ne l’avait jamais fait. Rire libĂ©rateur, au fond. Car si la jolie blonde cachait bien souvent ses peines, elle pouvait tout aussi bien cacher ses joies. N’aurait-elle pas ris de cette maniĂšre, le jour oĂč Dominura l’avait embrassĂ© pour la premiĂšre fois, faisant d’elle une femme – certes effrayĂ©e – mais aussi et surtout trĂšs heureuse ? Bien sĂ»r que si, si l’alcool l’y avait aidĂ©. L’alcool faisait se dĂ©cupler ses Ă©motions ? Non. Il leur permettait seulement de sortir, Ludmila s’extĂ©riorisant enfin aux yeux de sa suis Ă  je t’ je me fiche de ces voudrai simplement rester avec toi,T’embrasse, Te toucher,Danser.<3Et boire encore, pour que cela dur toujours ?Ca n’est pas la meilleure façon de penser, petit sais que si l’alcool peut aider Ă  passer une bonne soirĂ©e, Il peut tout aussi bien la dĂ©truire, sans pour l’instant, et malgrĂ© quelques dĂ©sagrĂ©ments extĂ©rieurs, ne pouvait-on pas dire que la soirĂ©e se dĂ©roulait merveilleusement bien entre ces deux femmes ? Elles ne pouvaient certes pas afficher ouvertement leur amour, mais puisque celui-ci Ă©tait bel et bien prĂ©sent, sincĂšre et profond, Ă©tait-ce si important ? D’autant plus qu’elles Ă©taient pour l’instant seules, dans ce vestiaire oĂč personne n’avait de vĂ©ritable raison de pĂ©nĂ©trer Ă  cette heure dĂ©jĂ  tardive de la soirĂ©e, mais pas assez pour dĂ©jĂ  en prendre congĂ©. Quelqu’un qui aurait besoin d’un quelconque objet, dans son sac ? Cela Ă©tait possible, mais Ludmila n’y songeait pas, tandis que ses lĂšvres happais amoureusement celles de son mains de l’artiste venant rejoindre ses joues, ne pouvant que garder un large et lumineux sourire face Ă  celui de sa conjointe, Ludmila sentait des sortes de vagues de chaleur s’emparer d’elle, l’emportant davantage dans une sorte d’excitation enfantine qui la laissait presque sautiller sur place. Et moi d’autant plus, Ludmila. »Oh, oui, je sais Ă  quel point tu m’ le sais, tant tu as dĂ©jĂ  tant rĂ©sistĂ© Ă  ce caractĂšre Ă©trange qui peut-ĂȘtre le miens, provoquant tes sentiments, provoquant ta douleur. Comme si chaque nouvelle Ă©preuve Ă©tait un test, pourtant non prĂ©mĂ©ditĂ©, je t’assure. Mais j’aime Ă  savoir que tu m’aimes ainsi, craignant, au fond, que mon amour n’en vienne Ă  surpasser le tiens, me faisant souffrir davantage. Un dĂ©sĂ©quilibre me semblerait dramatique, tant nous avons Ă©tĂ© jusqu’ici si fusionnelles. J’aime cet accord, dĂ©licieux. J’aime lorsque tu me regardes ainsi. J’aime, aussi, lorsque la chaleur de nos corps se mĂȘlent, et nos esprits se lient, en un seul regard. Tu es Ă  suis Ă  pensons plus aux Evidemment, cela Ă©tait tout Ă  fait impossible, quoi que Ludmila aurait volontiers acceptĂ© de ne voir que son aimĂ©e, indĂ©pendante de qui que ce soit d’autre, tant professionnellement que sentimentalement. Mais aprĂšs tout, n’étaient-elles pas d’autant plus fortes, Ă  ĂȘtre ainsi liĂ©es, tandis que des milliers de gens les envieraient, d’ĂȘtre avec l’une, comme avec l’autre ? t’aimeTellement.<3
Finalement, Dominura attira un peu plus encore son ex-assistante, lui offrant cette fois-ci un peu langoureux baiser, que la jeune Russe ne manqua pas de lui rendre, amoureusement, ses mains descendant sensuellement contre le corps de sa conjointe, Ă  plat. L’une d’elle Ă©tait finalement venue se poser sur la hanche de l’illustratrice, partant vers l’arriĂšre puis descendant doucement, tandis que l’autre avait tout simplement glissĂ© de son cou pour se rapprocher du dĂ©colletĂ© de la belle brune, contre sa poitrine, laissant le bout de ses doigts caresser la limite de son soutien-gorge, par-dessous cette robe qu’elle avait quelque peu <3Sentant son corps s’emporter davantage, mais gardant tout de mĂȘme un brin de raison, Ludmila dĂ©cida tout de mĂȘme – mais avec peine – de se reculer quelque peu, offrant un dernier baiser Ă  sa belle avant de se dĂ©tacher complĂštement d’elle, ne prenant que sa main dans la sienne afin de ne pas briser complĂštement ce lien si plaisant. Ca n’est pas pourrai te dĂ©shabiller dans ces quelqu’un pourrait !
 n’est-ce pas d’autant plus excitant ? Non. Non. Non. .Ne pas toucher. XEn effet, Ludmila devait prendre sur elle, vraiment, pour ne pas se jeter davantage sur son aimĂ©e, craignant tout autant de la blesser en agissant ainsi que de se faire surprendre par l’un de ses collĂšgues. Oh, ça n’était pas si grave, pour elle. Mais Dominura ne devait pas salir sa rĂ©putation. Et si quelqu’un la voyait ainsi, et allait tout rĂ©pĂ©ter ? Les mĂ©dias finiraient par le savoir, et sa vie – celle de Ludmila par la mĂȘme occasion ? – pouvait devenir un viens, retournons danser, avant que je ne contrĂŽle plus mon son aimĂ©e jusqu’à la sortie, Ludmila s’arrĂȘta nĂ©anmoins net devant la porte, attirant vivement Dominura Ă  elle en la prenant par les hanches, laissant leurs corps se cogner doucement tandis que son dos restait contre la porte. Rapprochant une derniĂšre fois son visage du sien, la jolie blonde dĂ©vora Ă  nouveau les lĂšvres de la belle française, surexcitĂ©e, avant de dĂ©river malicieusement sur sa joue, puis dans son cou, avec un certain empressement. Je te de Mhmm. <3Laissant Ă©chapper un lĂ©ger gĂ©missement sensuel et volontaire, passant dĂ©licieusement sa langue proche du lobe de l’oreille de son amante, Ludmila ajouta par la suite, non sans se montrer tout aussi aguicheuse, malicieuse - Retournons-y, avant que je ne te dĂ©vore dans ce se retourna, et ouvrit la porte, attirant Ă  nouveau Dominura jusqu’à la salle plein de monde, puis vers la piste de danse, lui tenant fermement la main, sans s’inquiĂ©ter de ce que pourrait en penser les autres toutes deux se retrouvĂšrent donc Ă  nouveau proches du buffet, Ludmila ne manquant pas de prendre un verre au passage, en proposant un Ă  sa conjointe par la mĂȘme occasion. Le sixiĂšme, n’est-ce pas ?Oh, et sans doute le dernier. Un de plus serait vraiment dĂ©raisonnable, Ă  Ludmila ne tarda pas Ă  se laisser quelque peu emporter par la musique, attirant son amante plus au centre et prenant ses mains pour la faire danser avec elle, la dĂ©vorant des yeux par la mĂȘme occasion.â™Ș Take On Me â™ȘPrends-moi ? de regards, entendus et quelque peu provocant de la part de Ludmila, qui jouait de son corps autours et parfois contre sa belle, attirant sans doute bien des regards, mais ne se prĂ©occupant que de celui de que j’ que je tĂȘte tourne et il me semble que mon corps s’agite tout pas un comportement dangereux pour notre petit secret ?Oh, je ne peux m’en tourner contre moi,Et prends-moi.<3 InvitĂ© Empire State of MindInvitĂ© Sujet Re [.] Les fleurs Ă©closent aussi la nuit. <3 [PV Ludmi] /!\ Lun 12 Oct - 022 Dis, petit chat. Crois-tu que des gens rentreront dans ce vestiaire ? Crois-tu que l'on nous surprendra, ainsi dans les bras l'une de l'autre, mes mains sur tes hanches, tes lĂšvres contre les miennes, alors que je ne cesserai mes baisers pour rien au monde, jusqu'Ă  ce que j'y sois forcĂ©e ou rĂ©solue ? Ah, ah ! Que personne ne vienne, ou j'en ragerais de tant d'injustice. Pourquoi n'aurais-je pas droit Ă  mon moment seule avec toi, me laisser aller Ă  ma vie, mes envies ? Ton sourire m' la mĂȘme chose, de mon cotĂ© ?Je l'espere grandement, alors que mon amour surpasse les messages que mon regard te lance. Oh, dieu ! Que ne puis-je me jetter sur toi, en l'instant, Ă  t'arracher quelques baisers, quelques envies, assouvrissant quelques mauvais ou bons dĂ©sirs ! Hmmh ! Tu es tellement attirante, jolie fleur. Et ce n'est pas le rose de tes joues qui me demandera de m'Ă©loigner, n'est-ce pas ? Pas plus que le contact de nos corps, mes frĂ©missements comme les tiens qui me parcourent de part en part...Ah ! Je m'Ă©gare. Tu es Ă  moi,Je suis Ă  si, pour toi, il y a les autres,Oublies-les un instant ! Et pense Ă  nouveau Ă  sous les regards et les caresses que je te porte, moi-mĂȘme entrainĂ©e par mon amour et cette passion fantastique que j'ai pour toi. Mais la passion n'est-elle pas nĂ©gative ? T'aimer Ă  en souffrir... Oh. Peut-ĂȘtre bien, quelquefois. Mais encore ? J'en suis d'autant plus heureuse que notre amour soit si fort. Heureuse. Contente. N'est-ce pas merveilleux. Fusionnelles ? Un Ă©lan fantastique, un couple-balance, survivant aux repproches, se construisant pour aller de l'avant, encore et toujours, profitant des beaux instants, jouant de l'Ăąme pour paraitre encore. Mais viens, viens donc ! Sois plus proche, encore. Plus proche de moi, plus proche de nous. Et si l'alcool ne m'Ă©gare pas tant, il me fait m'emporter quelque peu sur des sentiments qui ressortent plus que je ne le voudrais Je voudrais te serrer contre moi, fort, vivement,Que tu saches !Oui, que tu si... Tu ne savais pas tout cet que si ?!Oh, mon dieu, je ne sais plus !Qu'est-ce donc que cette attirance mĂȘlĂ©e de cette tantĂŽt douce, tantĂŽt violente affection que je te porte ?! Je m'en grande femme frĂ©mit une fois de plus lorsqu'elle sentit les doigts de son aimĂ©e passer proche de son dĂ©coletĂ©, jusqu'Ă  frĂŽler, en venir Ă  dĂ©caler sa robe, s'Ă©garer vers son soutient-gorge, charmant et tentant. Fourbe qu'elle Ă©tait ! Mais l'Illustratrice ne devait pas s'en laisser entrainer, sans doutes, ou elles risqueraient bien des choses, si jamais quelqu'un en venait Ă  passer par lĂ . Heureusement, la jeune russe se dĂ©cala finalement de son aimĂ©e, portĂ©e par sa raison, gardant tout de mĂȘme un brin de contact, lui tenant toujours la main. Un moment, Dominura se sentit presque dĂ©faillir de dĂ©sir, alors que ses yeux demeuraient rivĂ©s sur la belle blonde, ses lĂšvres s'entrouvrant sous l'intense concentration, l'abominable attirance qu'elle avait pour elle. Dieu merci, Ludmila dĂ©cida de dynamiser leurs contacts, l'entrainant avec elle vers la porte Allaient-elles danser ?Oh, oui, une petit danse !A cette idĂ©e, Dominura lĂącha, Ă  sa propre surprise, un lĂ©ger rire bien, belle française ? Que t'arrives-t-il ? Te laisserais-tu entrainer par ton euphorie et ton bonheur d'avoir Ă©tĂ© ainsi rejointe par ton amour ?Mais l'idĂ©e ne fut pas poussĂ©e jusqu'au bout pour le moment, l'ex-assistante poussant son ainĂ©e contre la porte, au lieu de la !!Mais... Que fais-tu ?Leurs corps s'entrechoquĂšrent doucement, mais avec une certaine violence d'envie, Ludmila passant alors ses lĂšvres contre celles de son ex-patronne, les dĂ©vorant avec fougue et hargne passionnelle. Hop, hop, et ses baisers, sa langue, dĂ©rivĂšrent vers la peau de la grande femme, qui ne put s'empĂȘcher de rejeter lĂ©gĂšrement la tĂȘte vers l'arriĂšre, contre la porte, fermant les yeux et lĂąchant un"MmmhHh..." <3Relativement sensuel... Donc inĂ©vitablement excitant, pour tout non, elles ne devaient pas aller plus loin ! Elles ne le devaient pas ou regretteraient-elles peut-ĂȘtre d'ĂȘtre rentrĂ©es dans ces vestiaires, Ă  la possible vue de n'importe qui ! Mon dieu... Mon dieu. Vite, partons d'ici, avant que je ne perde contrĂŽle !Et... Noooonn... Ne gĂ©mis pas de la sorte... Ne viens pas... Si proche... !Rougissant encore plus, la grande femme ne put rĂ©primer un intense frisson aux paroles de sa belle, ne pouvant cependant pas y rĂ©pondre, gardant les lĂšvres entrouvertes, rouvrant les paupiĂšres. Mais a peine eut-elle le temps de reprendre sa respiration, Dominura fut entrainĂ©e au dehors, puis sur la piste de danse, ne comprennant qu'Ă  moitiĂ© ce qu'il se passait, refusant par principe le verre que Ludmila lui proposait J'ai bu, pendant que tu dansais, petit chat. Je ne... puis me permettre plus. Et puis. Je tiens moins bien Ă  l'alcool que toi, non ?Take on me ♫Je m'Ă©gare encoreEt mon regard croise le sourires reviennentMais sont bien plus sincĂšresJe suis totalement dans notre monde,Notre monde Ă  nous...Un lĂ©ger rire te le prouve, dĂ©licatement sincĂšre, alors que j'ose danser,Danser avec toi,T'offrir cet instant, Et je t'aguiche aussi,A l'ombre des regards alentours,Laisse-moi me tourner encore vers toi, laisse-moi rapprocher mon corps du tien, laisse-moi ĂȘtre dĂ©raisonnableEt ce regard qui t'accrocheEt cette brillance au fond de mes yeuxEt cette caresse, que je te fais du bout des doigts contre le poignet, puis parfois un peu plus hautViens,Viens Ă  moi,Offre-moi cette danse,Et abandonne-toi Ă  moi,EncoreUne fois Laissons le rythme nous surprendre. <3 InvitĂ© Empire State of MindInvitĂ© Sujet Re [.] Les fleurs Ă©closent aussi la nuit. <3 [PV Ludmi] /!\ Lun 12 Oct - 1833 Bien que Dominura et elle soient entourĂ©es de dizaines de personnes, toute quelque peu serrĂ©es sur cette piste de danse bien peu large, il semblait Ă  prĂ©sent Ă  Ludmila que seule sa conjointe Ă©tait prĂ©sente, ses yeux ne voyant qu’elle, ses oreilles n’entendant que la musique qui les musique semble loin, mais Ă  la fois si bruits sourds me font tourner la tĂȘte. Ou plutĂŽt es-ce l’alcool ?Tu es belle. Attirante. Terriblement Ă  danser, gracieuse et pour l’instant relativement correct par rapport Ă  sa relation avec la charmante française aux yeux des autres, Ludmila sentait nĂ©anmoins son corps commencer Ă  sombrer doucement dans une euphorie plus inconsciente, ne ressentant pas une once de fatigue, oubliant absolument tout. Tout, sauf bien Ă©videmment la femme qu’elle aimait, et qui attirait donc toute son te corps se peu ?FrĂ©missant une fois de plus, sans vraiment que cela soit provoquĂ© par quoi que ce soit de plus que la simple vue de la belle brune, Ludmila sentie peu Ă  peu son sourire disparaĂźtre, ne laissant plus sur son visage qu’une malice Ă©vidente et provocatrice, un regard brĂ»lant de dĂ©sir, dont l’effet ne pouvait qu’ĂȘtre amplifiĂ© par les lĂšvres rouges restant trĂšs lĂ©gĂšrement entrouverte de la jolie lente, malgrĂ© le rythme effrĂ©nĂ© qu’avait finit par adopter son cƓur, entrainĂ© par la danse et l’euphorie, le bonheur de se trouver ici, uniquement pour ne plus songer qu’à Dominura, leur relation, oubliant tous ces petits tracas quotidiens qui parasitaient souvent leurs entrevus. Et puis, il fallait aussi dire que la jeune Russe aimait ce genre d’ambiance. Etait-ce le cas de son amante ? Oh 
 En tout cas, elle semblait s’amuser, aguichant Ludmila tout autant qu’elle le faisait avec elle, usant de regards et de rapprochements furtifs mais te frĂŽle, corps se rapproche du tiens, dangereux,Puis recule quelque peu, tandis que je mordille mes lĂšvres d’envie, espĂ©rant, au fond, que tu craques la premiĂšre et m’embrasse ici-mĂȘme, devant quelques regards qui passeraient au hasard, mais s’arrĂȘteraient sans si grave ? DĂ©jĂ  trĂšs peu raisonnable en temps normal, Ludmila ne l’était pas plus ce soir, bien au contraire. Ses envies prenaient le dessus, quoi que sa raison puisse ressurgir parfois, au moment mĂȘme oĂč la jeune femme s’apprĂȘtait Ă  faire quelque chose qu’elle pourrait peut-ĂȘtre regretter par la suite. AprĂšs tout, contrairement aux soirĂ©es qu’elle passait sans Dominura, Ludmila avait bel et bien un risque de tout perdre, si jamais son attitude blessait Ă  nouveau son aimĂ©e. Mais serait-ce seulement possible ? Que Dominura soit en colĂšre parce que sa conjointe avait acceptĂ© officieusement une danse avec un autre Ă©tait comprĂ©hensible. Mais Pourrait-elle lui reprocher de l’avoir regardĂ© sans relĂąche, totalement fascinĂ©e et douloureusement dĂ©sireuse de voir leurs corps se rejoindre enfin ? Ludmila ne voyait qu’elle. Et si l’alcool qu’elle avait pu boire la rendait quelque peu trop flagrante, trop agitĂ©e, Dominura ne pourrait nĂ©anmoins plus douter du fait qu’elle Ă©tait belle et bien la seule femme dans la cƓur et l’esprit de son musique, le monde, l’ est secondaire. Et je me rapproche, ne me rendant pas forcĂ©ment compte, jusqu’à trĂ©bucher quelque peu sur mes talons, me rattrapant Ă  toi avec dĂ©licatesse et classe. Mes talons sont sans doute trop hauts pour ce genre de danse, n’est-ce pas ? Peu importe, me voilĂ  dans tes bras. <3Oh oui. Bien vite, et sans l’avoir pour autant prĂ©mĂ©ditĂ©, Ludmila avait les bras posĂ©s sur les Ă©paules de son amante, n’ayant pas le reflexe de les retirer aprĂšs s’ĂȘtre excusĂ© briĂšvement pour cette petite perte de contrĂŽle de son corps. La jeune Russe s’excusa, certes, mais ne pu toutefois s’empĂȘcher d’en rire, repartant dans une sorte d’euphorie dĂ©licieuse et adorable, son corps, son cƓur, ses joues chauffant davantage sur le franc, alors que Ludmila tardait encore Ă  se dĂ©faire de sa belle, chaque seconde ne faisant que rendre plus difficile une future sĂ©paration. Finalement, inconsciente qu’elle Ă©tait, et aprĂšs s’ĂȘtre quelque peu calmĂ©, Ludmila laissa ses mains glisser sur les Ă©paules de son amour, puis rapprocha son visage de son cou, ses lĂšvres venant lui souffler quelques sensuelles paroles Ă  l’oreille, cette fois-ci clairement provocante, prenant cette voix terriblement sensuelle et brĂ»lante d’un dĂ©sir suppliant - Mhmmmh 
 Embrasse-moi 
 HhhH. <3 Laissant ses lĂšvres entrouvertes, ces derniĂšres vinrent alors frĂŽler l’oreille, puis la joue de la belle illustratrice, lorsque Ludmila dĂ©tourna doucement son visage dans l’intention de le reculer. Haussant lĂ©gĂšrement les sourcils avec malice lorsque son regard vint se poser Ă  nouveau dans celui de Dominura, la jeune Russe laissa ses mains glisser doucement le long des bras de cette derniĂšre, y exerçant une trĂšs lĂ©gĂšre pression tout en venant consciemment frĂŽler sa poitrine par la mĂȘme trop loin ?Oh 
 Personne n’avait remarquĂ© tout, les autres invitĂ©s Ă©taient tout autant pris dans leurs danses ou conversations sourdes qu’elle, et ne faisait pas plus attention au jeune couple qu’à qui que ce soit d’autre n’étant pas dans leur cercle. Tant mieux ? Je ne sais pas. J’aimerai qu’ils sachent, au fond. Mais oserais-tu ?Je te laisse ce mes principes ont disparus, je ne perds nĂ©anmoins pas le respect que j’ai pour toi. Je ne veux pas te prendre au dĂ©pourvu. Mais n’est-ce pas ce que j’ai dĂ©jĂ  commencĂ© Ă  faire ?Peut-ĂȘtre puisque tu n’affiches pour l’instant aucune contrariĂ©tĂ©, je ne peux m’empĂȘcher de te tenter davantage, testant peut-ĂȘtre tes limites, les miennes ? Comme ce voyage en France Ă©tait beau, mon Ange. J’y songe, en me remĂ©morant tes mots Nous n’avons aucunes limites ».En avons-nous, ce soir ?Je ne sais tellementEnvie de toi.<3 InvitĂ© Empire State of MindInvitĂ© Sujet Re [.] Les fleurs Ă©closent aussi la nuit. <3 [PV Ludmi] /!\ Lun 12 Oct - 2031 Et nos corps se frĂŽlent,Et nos mains se touchent,Et nos chairs s'embrasent, Et nos regards se dĂ©chainent d'attirances et de tentations !Mais je ne puis tant t'approcher que je le voudrais. Cela serait mal, n'est-ce pas ? De me permettre d'ĂȘtre si proche que je pourrais t'en embrasser les lĂšvres, les frĂŽler encore, les dĂ©vorer ensuite, tandis que mon euphorie me fait croire que je n'en ai pas eu assez, dans les vestiaires, alors qu'il en Ă©tait dĂ©jĂ  bien trop Nous n'Ă©tions pas mĂȘme sencĂ©es pouvoir nous laisser ainsi aller, ce soir. N'avons-nous pas dĂ©jĂ  beaucoup fait ?Oh, nous ne sommes pas raisonnables,Et en voulons que tu es, fourbe que je suis, derriĂšre nos yeux pĂ©tillants de malice, brĂ»lants d'envie, sous ces regards tentants et sous-entendus... Sois Ă  moi, encore un peu, encore plus ! Ahah, je me perds Ă  la dĂ©raison, et les ampleurs des dĂ©gats de l'alcool troque mon habituel serieux contre une couche de rire franc et cristallin, alors que notre emportement n'est rien, lĂ , dans cette foule tout aussi Ă©bĂ©tĂ©e par l'ambiance que nous pouvons l' ne nous jugera. Pas pour le moment, du moins. Mais tenons-nous donc ! Il ne faudrait pas sombrer Ă  nos envies et faire quelque chose que nous pourrions regretter, n'est-ce pas ? ... Je ne regretterai jamais ce genre de choses, avec toi, Ludmila. Au contraire, je me rĂ©jouirais d'en avoir eu ce plaisir, et au diable les alentours ! S'ils ne peuvent reconnaitre mon talent de par leurs frustrations ou leurs rejet de la diffĂ©rence, alors j'en crĂšverais sous les ponts, mais ne m'en blesserai pas ! Je n'ai pas Ă  ĂȘtre reconnue par des gens incapables de se rĂ©jouir du bonheur et de la stabilitĂ© des autres, prĂ©fĂ©rant se voiler la face Ă  Ă©sperer n'importe quoi !Je m' m'emporte certainement...Je ne veux pas avoir Ă  regretter mes gestes et ne veux pas non plus avoir Ă  me ne veux pas me retrouver loin de tu sois dĂ©truiteEt que j'aie Ă  en souffrir plus que de ma propre accordons nous cette danse, mais Ă©vitons de se laisser tenter devant toutes les personnes ici prĂ©sentes, d'accord ? Je ne veux pas que nous gĂąchions nos vies pour un moment emportĂ© par l'alcool, qui ne demeurera peut-ĂȘtre pas comme positif dans ton esprit lorsque tu pourras avoir des doutes quant Ă  notre ne veux que ne veux pas d' je t'en prie, entraine-moi plus loin, que je succombe, que je tremble sous tes doigts !Mais ne me laisse pas ici, alors que nous nous tournons autour tels deux fauves, prĂȘtes Ă  se sauter dessus. Qui donc cĂšdera la premiĂšre ? Je sens mes joues s'emporter de rougeur, ne portant pourtant pas atteinte Ă  ma stature et mon Ă©quilibre, ma classe, que je tente, Ă  raison, de conserver. Les frissons font en moi l'effet des courants electriques, les frĂ©missements passant dans mes bras menaçent de faire partir mon coeur Ă  la chamade, tandis que j'essaye, tout de mĂȘme, de me contrĂŽler. Mais nos rapprochements ne sont pas vraiment d'aide Ă  notre sagesse que nous nous devons d'avoir, n'est-il pas ?Je m'Ă©gare, Tu t'Ă©gare, ! Je te vois trĂ©bucher. Semi-consciente, je te rattrappe, d'un sourire passionnĂ©, d'une attention sans Ă©gale, emportĂ©e par la musique et notre charmante entrevue artistique. Que le rythme nous emporte, tu te laisse aller Ă  mes bras. Dieu ! Que tu me tentes, une fois de effet, Ludmila, se perdant Ă  la dangerositĂ© de danser sur ses talons bien hauts, ne tarda pas Ă  devoir, trĂšs gracieuse, se rattrapper sur les Ă©paules de son aimĂ©e, engageant quelques rires, d'elle-mĂȘme et de cette derniĂšre, inĂ©vitablement, sous l'effet de l'alcool notamment, provocant cette audacieuse euphorie. Dominura ne se formalisa pas, un peu Ă  cĂŽtĂ© de la plaque et profitant bien du contact avec son amour, du fait que la belle russe reste autant de temps rapprochĂ©e, lĂ , se tenant Ă  ses Ă©paules, tardant Ă  se dĂ©faire d' l'option ne se posa plus tellement, Ludmila arrivant bientĂŽt plus proche encore, passant ses lĂšvres vers l'oreille de sa conjointe, y susurrant quelques mots diaboliques, sensuels et terriblement <3Mon dieu, Euh... Non ! Ne pas rĂ©agir ainsi. Gniiih... Non ! Ahha... Ahhhhah !Evidemment, Ă  cex termes, l'euphorie, la tentation, le dĂ©sir, les frĂ©missements se firent plus aigus encore, l'euphorie de Dominura ne l'arrĂȘtant en rien. Ne frĂŽles donc pas ainsi ma joue ! Ne laisses pas tes lĂšvres entrouvertes comme les miennes !Oh, mon dieu... J'en perds la raison !SorciĂšre !La grande femme, sous le rythme de la musique, ne put alors resister, la suite de ses gobelets d'alcool lui passant dans le sang, se mĂ©lant Ă  ses sentiments et ne l'aidant pas Ă  contenir ses principes et son Ă©ternelle sagesse. Alors, comme si personne ne pourrait jamais la reconnaitre, elle laissa calmement ses mains remonter le corps de son aimĂ©e, la charmante Ludmila, et, camouflĂ©e entre tous les danseurs, les laissa passer contre ses regard brillant,PĂ©tillant, Les lĂšvres entrouvertes,Elle voulut un instant la repousser, s'en cela ne se fit pas,Et, suivant ou contre toute attente, DĂ©vorant Ludmila du regard, Elle finit Ă©galement par lui dĂ©vorer les lĂšvres,En un fougueux mais passionnĂ© baiser,Collant son corps contre elleEt se dĂ©lectantDe ce dĂ©licieux parfum CeriseQu'elle aimait tantPeut-ĂȘtre trop, ce soir-lĂ .<3 Contenu sponsorisĂ© Empire State of Mind Sujet Re [.] Les fleurs Ă©closent aussi la nuit. <3 [PV Ludmi] /!\ [.] Les fleurs Ă©closent aussi la nuit. <3 [PV Ludmi] /!\ Page 1 sur 2Aller Ă  la page 1, 2 Permission de ce forumVous ne pouvez pas rĂ©pondre aux sujets dans ce forumNEW YORK CITY LIFE Archives Corbeille LaVie. La vie Ce n’est pas tout noir tout gris C’est aussi bleu vermillon La vie C’est du vent et de la pluie Qui abreuve les sillons La vie C’est des orages, des oranges Des anges et des nuages Du soleil, du partage La vie C’est l’ami, c’est le maudit C’est de la comprĂ©hension La vie C’est la chair qui a frĂ©mi Pour de vrai
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Parolesde C'est Beau La Vie 1. Le vent dans tes cheveux blonds Le soleil à l'horizon Quelques mots d'une chanson Que c'est beau, c'est beau la vie {Refrain:} Tout ce qui tremble et palpite Tout ce qui lutte et se bat Tout ce que j'ai cru trop vite A jamais perdu pour moi 2. Un oiseau qui fait la roue Sur un arbre déjà roux
alpha P artiste Patrick Juvet titre C'est beau la vie Les paroles de la chanson C'est beau la vie »Patrick Juvet C’est beau la vieSe bronzer, regarder le videC’est beau la vieN’écouter que de la musiqueViens, dansons tous ensemble au soleilC’est beau la vieC’est rouler Ă  trois cents Ă  l’heureC’est beau la vieC’est rĂȘver de voir le bonheurViens, dansons tous ensemble au soleilEt puis un jour on s’aperçoitQu’on avait dĂ» se tromperLa vie n’est pas belle tous les joursJe ne veux pas y penser. Français Paroles de chanson Jean Ferrat: C'est Beau La Vie. Accueil NouveautĂ© Top 100 Artistes. Paroles de la chanson C'est Beau La Vie par Fabien Cahen C'est un ange tombĂ© du ciel C'est un jour bĂ©ni des Dieux Mon amour, mon Ă©tincelle Juste un jour pour ĂȘtre heureux C'est un long chemin de terre Un parcours sinueux C'est une nouvelle bouffĂ©e d'air Juste un jour pour ĂȘtre heureux C'est beau la vie C'est beau la vie Prenons le temps Juste un instant Pour ĂȘtre heureux Tout simplement C'est beau la vie C'est beau la vie C'est beau la vie C'est le temps qu'il fait dehors C'est le temps qui tue un peu Un amour qui nous dĂ©vore Qui fait de nous ce qu'il veut C'est des larmes qui reviennent Qui me sortent par les yeux C'est Paris qui nous entraĂźne Et tant pis si je t'en veux C'est beau la vie C'est beau la vie Prenons le temps Juste un instant Pour ĂȘtre heureux Tout simplement C'est beau la vie C'est beau la vie C'est beau la vie C'est un long chemin de terre Un parcours sinueux C'est une nouvelle bouffĂ©e d'air Juste un jour pour ĂȘtre heureux RwS2Gq.
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