Lefilm se situe en novembre 1920. La PremiĂšre Guerre Mondiale est achevĂ©e depuis deux ans. La France panse ses plaies et se remet au travail.Le conflit s’est interrompu, mais les plaies profondes qu’il avait ouvertes ont demeurĂ©, bĂ©antes, dans les pĂ©rils d’une terre ravagĂ©e, dans les meurtrissures d’une chair mutilĂ©e, ou dans
Vous trouverez dans la fiche pĂ©dagogique du mois, les ressources nĂ©cessaires pour animer quatre ou cinq sĂ©ances de travail en classe. PubliĂ© le 16 octobre 2011 Ă  1630 Cet article a plus d'1 an ! ModifiĂ© le 27 septembre 2021 Ă  1629 À propos de la fiche pĂ©dagogique sur la PremiĂšre guerre mondiale Cette fiche est issue du cĂ©dĂ©rom Ă©ducatif Mobiclic. Ce cĂ©dĂ©rom propose sous une forme ludique des activitĂ©s variĂ©es ainsi que des documentaires interactifs complets et rigoureux abordant les grands thĂšmes du programme de l’école et du dĂ©but du collĂšge. Cette fiche veut rĂ©pondre au double enjeu d’une utilisation informatique multimĂ©dia raisonnĂ©e mettant en Ɠuvre le B2i au service d’apprentissages ciblĂ©s sur les contenus des programmes de l’Éducation la fiche pĂ©dagogique sur la PremiĂšre guerre mondiale ActusCours et matiĂšres scolairesÉcoleHistoirePremiĂšre guerre mondialePrimaireProgramme cycle 3 Tes 10 derniĂšres actus
AprĂšsnous le dĂ©luge. (1933) de Howard Hawks et Richard Rosson. Film d'action, Drame | 1h30. 57% 6 micro-critiques | Sa note : ianov. “ Aujourd'hui vivre, qu'importe aprĂšs nous, dans la tourmente et les Ă©lans du coeur. MĂ©lo des airs et de la mer, vertige de l’amour en guerre. ” — ianov 25 octobre 2019.
Ils continuent de dĂ©frayer la chronique, et pourtant les grandes nations s'Ă©taient engagĂ©es Ă  s'en passer avant mĂȘme que n'Ă©clate la guerre de 1914-1918, dont nous fĂȘtons le 100e anniversaire de l'armistice ce dimanche 11 novembre 2018. Dans l'univers apocalyptique des tranchĂ©es, alors que le conflit est enlisĂ©, les gaz de combat deviennent l'une des hantises de toute une gĂ©nĂ©ration de soldats. La guerre chimique est nĂ©e, mais elle ne permettra pas de sortir de la guerre de positions. Quand la Grande Guerre Ă©clate, la convergence entre la chimie et l'industrie a dĂ©jĂ  conduit, depuis longtemps, bon nombre d'esprits Ă  s'interroger sur le fait que trĂšs vite, l'on risquait de voir apparaĂźtre un recours massif aux gaz de combat dans des conflits armĂ©s. Autrement dit, voir des protagonistes tenter d'empoisonner leurs ennemis pour les blesser ou les tuer, procĂ©dĂ© vieux comme le monde, mais avec dĂ©sormais un champ des possibles dĂ©cuplĂ© par la le procĂ©dĂ© d'empoisonnement, Ă  lui seul, indigne certaines Ăąmes Ă  un point tel que dĂšs 1675, un premier accord bilatĂ©ral a Ă©tĂ© signĂ© Ă  Strasbourg par l’Allemagne et la France pour interdire l’utilisation de balles empoisonnĂ©es dans les combats. Aussi, Ă  l'Ăšre industrielle, les lois et coutumes de la guerre » se penchent tour Ă  tour sur le sujet. Insidieux, frappant sans assez de distinction, menaçant les civils et les animaux, le gaz suscite l' Convention de Bruxelles tente d'interdire, en 1874, l'emploi de poison ou d'armes empoisonnĂ©es et l'emploi d'armes, de projectiles ou de matĂ©riel causant des souffrances inutiles. Accord non ratifiĂ©, mais complĂ©tĂ© en 1899 Ă  La Haye, lors d'une confĂ©rence internationale de la paix - impulsĂ©e par le tsar en relation avec le pape - par une interdiction frappant l'emploi de projectiles chargĂ©s explicitement de gaz toxique les balles explosives y passent aussi.Ces discussions se dĂ©roulent 15 ans avant le dĂ©clenchement de la PremiĂšre Guerre mondiale. Les 36 signataires semblent d'accord sur l'idĂ©e de s’interdire l’utilisation de projectiles dont le seul objectif est de diffuser des gaz asphyxiants ou dĂ©lĂ©tĂšres ». Seuls la Grande-Bretagne et les Etats-Unis refusent, parmi les grandes puissances, mais en 1914, toutes les parties prenantes au conflit naissant ont cette fois ratifiĂ© un nouveau texte du mĂȘme une seconde confĂ©rence Ă  La Haye, en 1907, l’emploi de poison ou des armes empoisonnĂ©es » est en effet banni par tous, comme le fait d’employer des armes, des projectiles ou des matiĂšres propres Ă  causer des maux superflus ». Sauf que le poison a d'ores et dĂ©jĂ  agi, car l'idĂ©e a germĂ©. Elle a drainĂ© avec elle la psychose, et le fatalisme de voir tĂŽt ou tard l'adversaire y venir. Donc, la tentation de prendre les devants, Ă  tout le moins pour pouvoir faut dire qu'Ă  l'aune de ce conflit portĂ© par les intĂ©rĂȘts industriels, la chimie allemande impressionne. Les Français ne se privent donc pas de mener leurs propres recherches bien des annĂ©es avant 1914. Ils utiliseront d'ailleurs des gaz lacrymogĂšnes dĂšs le dĂ©but de la guerre. Des grenades chargĂ©es de bromacĂ©tate d'Ă©thyle. Puis viendra la substance chloracĂ©tone. Entre temps, les Allemands s'y sont mis. Le but, utiliser ces gaz pour faire fuir l' avril 1915, ce jour est considĂ©rĂ© comme le tournant. Le Daily Mirror qualifiera de diaboliques » les agissements de l'Allemagne sur le front des environs d'Ypres, ville belge de la province de Flandre occidentale. Bill Siebert, fils d'un membre du bataillon de gazage allemand, confiera des annĂ©es plus tard Mon pĂšre n'en parlait pas volontiers. Il m'a juste dit qu'ils Ă©taient prĂȘts depuis un bon moment. Depuis plusieurs semaines. Mais la mĂ©tĂ©o Ă©tait mauvaise. »â–ș Regarder un extrait du film Apocalypse la PremiĂšre Guerre mondiale ƒil pour Ɠil, dent pour dent, la maxime europĂ©ennePour superviser lui-mĂȘme l'opĂ©ration, Fritz Haber, juif allemand qui recevra le prix Nobel de chimie en 1918, avant d'ĂȘtre contraint Ă  l'exil en 1933 et de mourir sur le chemin de la Suisse, a quittĂ© le laboratoire qu'il affectionne d'ordinaire. Il est le tout premier scientifique, probablement au monde, Ă  avoir endossĂ© l'uniforme militaire pour mener une guerre au gaz ou Ă  l'arme chimique contre un ennemi », confiera sa fille Eva Lewis Ă  la tĂ©lĂ©vision par la gĂ©nĂ©ral Erich Georg Anton von Falkenhayn, qui est, aprĂšs une carriĂšre d'officier d'Ă©tat-major faite de voyages en Chine, ministre de la Guerre de Prusse depuis 1913 et chef de l'Ă©tat-major gĂ©nĂ©ral depuis 1914, a lui-mĂȘme suivi les recherches et assistĂ© Ă  des essais. En ce mois d'avril, alors que le conflit est enlisĂ©, les Allemands lancent la premiĂšre opĂ©ration chimique offensive d'envergure, pour percer jusqu'Ă  la Manche et couper les Anglais de leurs grandes quantitĂ©s de toxiques, des tonnes et des tonnes de chlore, sont ainsi lĂąchĂ©es depuis des cylindres d’acier et portĂ©es par le vent vers les tranchĂ©es adverses. Mon pĂšre disait il faut un vent ni trop fort, ni trop faible. S'il est trop fort, il disperse trop vite le gaz. S'il est trop faible, le gaz ne bouge pas. Il disait que l'idĂ©al, c'Ă©tait un vent de 15-25km/h », relatera le fils Siebert. Les Allemands espĂšrent que le dispositif permettra de rĂ©activer la guerre de positions. Fritz Haber croyait qu'en temps de paix, la science appartenait au monde entier, mais qu'en temps de guerre, elle devait servir pour son pays, sa patrie », selon sa fille Eva. Si les Allemands commençaient les premiers, cela leur donnerait un avantage qui pourrait Ă©courter la guerre. Il Ă©tait vraiment persuadĂ© que cela Ă©courterait la guerre », dĂ©crypte Mme Lewis, ajoutant que son pĂšre espĂšre que l'ennemi fuira au prix de quelques vies tĂ©moignage de Joyce M. Kennedy, fils d'un de ces soldats canadiens dont Ypres aura servi de baptĂȘme de l'enfer, semble accrĂ©diter que de prime abord, le plan a fonctionnĂ© Ils n'y ont d'abord pas vraiment prĂȘtĂ© attention. Il y avait alors plus d'Ă©tonnement que de peur. Mais lorsqu'ils ont vu les AlgĂ©riens et les Français fuir, chanceler, tomber puis vomir la bave aux lĂšvres, et manquer d'air, ils ont pensĂ© c'est autre chose. LĂ , ils ont pris peur et ils ont pris la fuite. »Le front cĂšde. Mais la percĂ©e sera un Ă©chec. Ypres n'est pas prise, la progression vers la mer Ă©choue, les avancĂ©es territoriales sont minimes. Les gĂ©nĂ©raux prussiens ne profitent pas de la situation et les adversaires se rĂ©installent. En revanche, les pertes humaines par milliers convainquent Guillaume II de la rĂ©ussite de l'opĂ©ration. Haber progressera vite dans la hiĂ©rarchie militaire. Les Anglais, outrĂ©s, se rĂ©signeront Ă  se lancer dans la guerre pour Ɠil, dent pour dent, les EuropĂ©ens se lancent dans une course effrĂ©nĂ©e aux gaz, aux tests sur animaux, aux masques plus ou moins rudimentaires, d'abord trempĂ©s dans l'urine. Les Ă©coliers s'habituent aux alertes, ils s'Ă©quipent aussi. L'industrie chimique, qui dispose de matiĂšres qui, en temps de paix, sont utilisĂ©es pour la peinture, la teinture et autres produits courants, collabore, ce qui laissera une trace indĂ©lĂ©bile jusqu'Ă  nos jours sur certains grands course concerne la partie anglaise, française, allemande. AprĂšs avoir Ă©tĂ© cueillis Ă  blanc dans ce cocktail chimique de plus en plus systĂ©matique, alors que l'obus est devenu le procĂ©dĂ© privilĂ©giĂ© pour charrier des substances toujours plus diverses et variĂ©es, les gaz moutarde et autres, les AmĂ©ricains s'y mettent aussi aprĂšs leur arrivĂ©e. Dans cette guerre des nationalismes, la course Ă  l'innovation chimique revĂȘt une forme de supĂ©rioritĂ© nationale.â–ș Notre webdoc Grande Guerre les batailles oubliĂ©es de l'Afrique » La guerre chimique reste d'actualitĂ© dans le monde actuelLes gaz traumatisent des soldats dĂ©jĂ  rĂ©duits au statut de chair Ă  canon dans ce conflit de l'Ăšre industrielle. Ceux qui en subissent les effets, au niveau des yeux, sur leur peau, dans les viscĂšres ; mais les autres aussi. Bon nombre diront d'ailleurs en avoir inhalĂ©s sans vĂ©ritablement le savoir, rendant difficiles les dĂ©comptes. Des soldats succombent plus tard, notamment de la grippe espagnole contractĂ©e au contact des malades. Voire aprĂšs le reprĂ©sente une part faible des victimes du conflit, les mots employĂ©s dans les tĂ©moignages Ă  l'Ă©gard du gaz de combat sont du registre de l'effroi. Cette arme est horrible, disent-ils. Un mĂ©decin-major Ă©crit Les hommes deviennent violets, ils demandent de l'air, se plaignent de brĂ»lures dans la poitrine et dans l'estomac. Nous avions tout vu, les blessures les plus affreuses et les avalanches de fer les plus meurtriĂšres, mais tout cela n'est rien Ă  cĂŽtĂ© de ce brouillard qui, pendant des heures longues comme les siĂšcles, a voilĂ© Ă  nos yeux l'Ă©clat du soleil. »Face Ă  l'usage systĂ©matique de gaz sur les fronts de la Grande Guerre, le ComitĂ© international de la Croix-Rouge proteste, rappelant l'interdit. En vain. VĂ©ritable faillite morale, civilisationnelle, la PremiĂšre Guerre mondiale s'impose comme le premier conflit chimique, et l'exemple mĂȘme de ce que l'on avait tentĂ© d'Ă©viter. Les partisans d'une interdiction redoublent d'efforts pour parvenir Ă  une prohibition des gaz asphyxiants, toxiques ou similaires et des moyens sera actĂ© en 1925 Ă  l’occasion du Protocole de GenĂšve. S'ensuivra un long chemin jusqu'Ă  l'annĂ©e 1993 et la Convention sur l'interdiction des armes chimiques CIAC, un traitĂ© international de dĂ©sarmement qui interdit la mise au point, la fabrication, le stockage et l'usage des armes chimiques. Ces rĂšgles, considĂ©rĂ©es comme une grande rĂ©ussite en matiĂšre de dĂ©sarmement, entrent en vigueur le 29 avril 1997 aprĂšs 20 ans de fois, les rĂšgles incluent l'interdiction complĂšte des armes chimiques, la destruction des arsenaux existants et surtout un rĂ©gime de vĂ©rification des engagements pris. Ce rĂ©gime est placĂ© sous l'Ă©gide d'une institution indĂ©pendante basĂ©e Ă  La Haye, l'Organisation pour l'interdiction des armes chimiques OIAC, qui existe encore de nos jours, rassemble plus de 190 Etats membres et s'est vue dĂ©cerner en 2013 le prix Nobel de la que le mal, insidieux, demeure. La guerre du Rif, les combats anglais contre les bolchĂ©viques, le choc de la Seconde Guerre mondiale et de la solution finale, les tests de gaz sarin par les Français en AlgĂ©rie, l'usage de gaz contre des civils Ă  Halabja en Irak, puis au Japon dans un attentat au sarin dans le mĂ©tro de Tokyo en 1995, dĂ©montreront que ces armes au statut particulier continuent de sĂ©vir. Jusqu'Ă  la guerre en Syrie, toujours en ĂȘtre sĂ»r qu'un Etat qui dispose de tous les Ă©lĂ©ments pour fabriquer ou stocker des armes chimiques, n'en a plus ? Question poignante, mĂȘme en France. Mais Ă©galement en Russie, pays accusĂ© rĂ©cemment par Londres d'avoir utilisĂ© des armes chimiques sur le sol britannique. Ou en Syrie, oĂč alors que le rĂ©gime de Damas a laissĂ© les Ă©quipes de l'OIAC et de l'ONU s'occuper de ses stocks dĂ©clarĂ©s, la BBC a recensĂ© 106 attaques probables entre 2014 et 2018.â–ș Lire aussi A Paris, un Forum sur la paix Ă  la rescousse du multilatĂ©ralisme
Unfilm sur l'humain dans la guerre et la résistance. Un film qui interroge notre mémoire. Voir la bande-annonce . Autres tags : TchétchÚnie / tchéchÚnes. 6. A
Il en a extrait 90 minutes pour son documentaire They Shall Not Grow Old. Pour son nouveau film, They Shall Not Grow Old, un documentaire sur la PremiĂšre Guerre mondiale, Peter Jackson a restaurĂ© et colorisĂ© 100 heures d’archives datant de 1914-1918, rapporte le site IndieWire. Le rĂ©alisateur nĂ©o-zĂ©landais a puisĂ© dans la collection du MusĂ©e britannique ImpĂ©rial de la Guerre pour rĂ©aliser son documentaire. Le film a Ă©galement recours aux tĂ©moignages oraux de vĂ©tĂ©rans du conflit, enregistrĂ©s en 1964. Peter Jackson, qui s’est confiĂ© sur le projet lors d’une interview Ă  ITV News, trouve "affreuses" les images que l’on voit dans la plupart des documentaires. Le travail de restauration n’a pas Ă©tĂ© Ă©vident, le temps ayant abĂźmĂ© les images d’époque, d’une qualitĂ© dĂ©jĂ  souvent mĂ©diocre. "Je pense que c’est le mieux que je puise faire pour l’instant", a dĂ©clarĂ© le rĂ©alisateur, visiblement satisfait de son travail. Steven Spielberg “Peter Jackson va bientĂŽt travailler sur la suite des Aventures de Tintin” Le rĂ©sultat est plus que rĂ©ussi, comme le prouve une vidĂ©o de la BBC. Le grain Ă©pais a disparu au profit d’une image ultra nette, et les soldats ont retrouvĂ© leurs couleurs d’origine - ou presque. Peter Jackson a mĂȘme fait des recherches sur les uniformes de l’époque pour recrĂ©er de la maniĂšre la plus juste possible les couleurs d’époque. MalgrĂ© cet impressionnant travail, la colorisation des images d’archives ne fait pas l’unanimitĂ©, notamment parmi les historiens. Le recours Ă  cette technique dans le documentaire, comme dans le documentaire tĂ©lĂ© Apocalypse, soulĂšve de vifs dĂ©bats. Peter Jackson affirme pour sa part avoir voulu "faire entrer ces hommes dans le monde moderne, pour qu’ils retrouvent leur humanitĂ©, plutĂŽt que d’ĂȘtre vus comme des figures chaplinesques dans des vieux films d’archives".
Lafilmographie sur la premiÚre guerre mondiale se concentre encore sur quelques batailles, souvent en France, mais a le mérite d'éclairer certains aspects non européens, notamment aux Moyen-Orient et autour du rÎle de la Turquie. Ainsi la bataille des Dardanelles, ou la bataille de Gallipoli concentre-t-elle l'attention de cinéastes, le
RĂ©ponse apportĂ©e le 09/05/2013 par PARIS Bpi – ActualitĂ©, Art moderne, Art contemporain, Presse Bonjour, AprĂšs consultation du catalogue de la Bpi Ă  l’adresse Histoire contemporaine > 1Ăšre guerre mondiale » Ces films sont accessibles gratuitement depuis tous nos postes multimĂ©dias. 1/ Titre 14-18, des hommes dans la tourmente ; Le Sang des autres ; Combattants de la paix Ed. Montparnasse 2005 Auteurs Goethals, Pascal ; Vouters, Bruno DVD vidĂ©o 1h 56 min RĂ©sumĂ© Ce n’est pas un rĂ©cit chronologique de la Grande Guerre mais plutĂŽt une rĂ©flexion sur sa mĂ©moire. Le film montre les grands cimetiĂšres militaires, les mĂ©moriaux, Craonne et le Chemin des Dames. Dans Combattants de la paix », une classe de collĂ©giens visitent Craonne. Des interviews d’historiens abordent diffĂ©rents aspects de cette guerre. Des images d’archives, des textes de poilus, des chansons les accompagnent. L’Histoire devient expĂ©rience et le prĂ©sent rejoint le passĂ©. 2/ Titre FusillĂ©s pour l’exemple Program 33/ France 3/ France 5 2003 Auteurs Cabouat, Patrick ; Moreau, Alain VidĂ©o numĂ©risĂ©e 52 min RĂ©sumĂ© Entre septembre 1914 et juin 1918, 2 500 soldats français ont Ă©tĂ© condamnĂ©s Ă  mort 550 ont Ă©tĂ© exĂ©cutĂ©s. On doit ces chiffres au gĂ©nĂ©ral AndrĂ© Bach, chef du service historique de l’armĂ©e de terre. Il a Ă©tĂ© le premier Ă  conduire une Ă©tude exhaustive sur le sujet, poussĂ© par la volontĂ© d’éclaircir une rĂ©alitĂ© alors fortement polĂ©mique suite Ă  l’hommage rendu par Lionel Jospin aux fusillĂ©s pour l’exemple, Ă  Craonne en novembre 1998 et parce que lui-mĂȘme avait Ă©tĂ© rĂ©voltĂ© dans sa jeunesse par la dĂ©couverte de ces Ă©pisodes. Il Ă©claire la chronologie et le contexte des faits, relayĂ© par Nicolas Offenstadt, historien lui aussi, auteur des FusillĂ©s de la Grande Guerre et la MĂ©moire collective. 3/ Titre Les Moissons de fer Ed. Montparnasse 2003 Auteurs Rougeron, GĂ©rard ; Lubtchansky, Jean-Claude DVD vidĂ©o 2h 40 min RĂ©sumĂ© Chronique au quotidien de la guerre de 1914-1918 dans la rĂ©gion de la Somme occupĂ©e par les troupes allemandes Ă  travers les souvenirs d’enfants d’alors, le tĂ©moignage de l’écrivain allemand Ludwig Harig, la correspondance Ă©changĂ©e entre Georges Duhamel, chirurgien sur le front et futur Ă©crivain avec sa femme et le poĂšte Charles Vildrac. Cette Ă©vocation de la Grande Guerre est illustrĂ©e par de nombreuses archives filmĂ©es françaises, allemandes et britanniques. 4/ Titre Premier NoĂ«l dans les tranchĂ©es Ed. Montparnasse 2005 Auteurs Gaumnitz, MichaĂ«l ; Duhamel-MĂŒller, Marie-Pierre DVD vidĂ©o 52 min RĂ©sumĂ© Une chronique de la Grande Guerre, depuis aoĂ»t 1914 jusqu’à janvier 1915, faite d’aprĂšs les lettres Ă©crites par les soldats allemands et français Ă  leur famille. Des images d’archives et des reconstitutions de combats viennent la complĂ©ter. Ainsi, le film retrace-t-il les dĂ©buts de la guerre jusqu’à NoĂ«l 1914 il souligne la nouveautĂ© » de cette guerre de position et d’attente, dĂ©crit l’horreur du quotidien vĂ©cue par les poilus dans les tranchĂ©es. Le jour de NoĂ«l, certains soldats vont fraterniser avec l’ennemi pour cĂ©lĂ©brer cette fĂȘte mais aussi parce qu’ils ont pris conscience de l’absurditĂ© d’une telle guerre. 5/ Titre Dans les tranchĂ©es, l’Afrique l’aventure ambiguĂ« France 3 Lorraine Champagne Ardennes 2003 Auteur Sadki, Florida VidĂ©o numĂ©risĂ©e 52 min RĂ©sumĂ© Pendant la PremiĂšre Guerre mondiale, l’armĂ©e française manquant de soldats, enrĂŽla 134 000 Africains dans ses rangs. Le film retrace les principales opĂ©rations militaires françaises, sur le front occidental, en soulignant cet aspect parfois mĂ©connu. Pendant la bataille de Verdun, de nombreux tirailleurs sĂ©nĂ©galais pĂ©rirent. Il Ă©voque le courage de ces soldats, le mode de recrutement en Afrique, l’ambiguĂŻtĂ© du discours colonial rĂ©publicain oscillant du paternalisme au goĂ»t de l’exotisme. Ainsi la rĂ©publique utilise-t-elle l’image du bon Noir » pour l’opposer Ă  la barbarie » ennemie. Il montre aussi la rĂ©action raciste des Allemands et des AlliĂ©s critiquant une France dĂ©fendue par des NĂšgres », s’interroge sur les relations qui existaient entre les Noirs et les poilus » au front, sur les tensions entre la population et les Africains quand, Ă  l’Armistice, la RhĂ©nanie fut occupĂ©e. A l’issue de la guerre, peu d’entre eux ont obtenu de vĂ©ritables promotions militaires. Bien que Blaise Diagne, premier dĂ©putĂ© noir Ă  l’AssemblĂ©e nationale, rĂ©ussit Ă  faire voter une loi confĂ©rant la citoyennetĂ© française aux SĂ©nĂ©galais incorporĂ©s dans l’armĂ©e, peu y accĂ©deront. Déçus par les promesses non tenues, certains Africains vont alors se tourner vers des mouvements indĂ©pendantistes dans leur pays. 6/ Titre Trotsky Association audiovisuelle armĂ©nienne 2008 Auteurs KĂ©badian, Jacques ; Patrice ChĂ©reau ; Marcel MarĂ©chal ; Marcel Bozonnet ; Guy Hocquenghem ; Joani Hocquenghem DVD vidĂ©o 53min RĂ©sumĂ© Ce film rĂ©alisĂ© en 1967 par Jacques Kebadian Ă©voque le parcours brillant et tumultueux de LĂ©on Trotsky, intellectuel juif russe fondateur de l’ ArmĂ©e rouge connu pour ses positions internationalistes, depuis la rĂ©volution russe de 1917 jusqu’à son assassinat en 1940 au Mexique. Le rĂ©alisateur mĂȘle Ă  dessein et dans un esprit ludique les nombreuses images d’archives, les scĂšnes fictionnĂ©es minimalistes et les extraits de films soviĂ©tiques cĂ©lĂšbres tels que Octobre » ou Ivan le Terrible » de Serguei Eisenstein. Ainsi voit-on le vrai » Trotsky haranguer les foules en russe, allemand ou français. Puis des jeunes acteurs-orateurs Patrice ChĂ©reau, Marcel MarĂ©chal
 dĂ©clament avec emphase les discours de Trotsky, jouent les rĂ©volutionnaires sous des drapeaux rouges, vĂȘtus de blousons de cuir ce sont les contestataires » de 1967-68 chacun endosse le manteau, en l’occurrence la veste de cuir, du rĂ©volutionnaire ». Leur vision de Trotsky comme leurs combats idĂ©ologiques et leur théùtralitĂ© sont ceux d’une Ă©poque, d’une gĂ©nĂ©ration, celle de mai 1968. Ainsi KĂ©badian at-il rĂ©alisĂ© un double film portant Ă  la fois sur Trotsky et sur l’esprit soixante-huitard. 7/ Titre Verdun, visions d’histoire Carlotta Films/ La CinĂ©mathĂšque de Toulouse 2006 Auteur Poirier, LĂ©on DVD vidĂ©o 2 h 31 min RĂ©sumĂ© En 1928, dix ans aprĂšs la PremiĂšre Guerre mondiale, LĂ©on Poirier fait une reconstitution cinĂ©matographique de la bataille de Verdun. Son film, muet, avec des intertitres et un accompagnement de piano, dĂ©roule une trame fictionnelle Ă  laquelle se juxtaposent de nombreux documents d’archives sĂ©quences d’actualitĂ©s cinĂ©matographiques, documents de l’ECPAD tels que notes manuscrites, cartes d’Etat-major, affiches. Des survivants de Verdun, anciens combattants ou civils, participent Ă  la rĂ©alisation du film. LĂ©on Poirier utilise leurs rĂ©cits, leurs lettres.. Contient aussi trois documentaires Restaurer Verdun » 13 min de Gilles Corre. Visions de Verdun » 18 min. La Revanche des Français devant Verdun, octobre-dĂ©cembre 1916 » 29 min rĂ©alisĂ©s par le Service cinĂ©matographique des ArmĂ©es. ******************************************************************* La BibliothĂšque nationale de France BnF propose plus de deux cents notices sur ce sujet. Suivez ce lien pour connaĂźtre une meilleure utilisation du catalogue de la BnF Sur le catalogue, la recherche se fait Ă  partir de mots clĂ©s guerre 14-18, premiĂšre guerre mondiale, la grande guerre
 SĂ©lectionner sur le catalogue les types de documents suivants images animĂ©s et /ou documents Ă©lectroniques, Ă  l’adresse suivante La consultation de films est possible Ă  la BnF mais il existe une restriction d’accĂšs pour les films qui sont uniquement consultables au rez-de-jardin. Consultez le lien suivant ******************************************************************* Vous ne pouvez manquer de consulter ce site, incontournable l’Institut National de l’Audiovisuel Ina est une entreprise publique culturelle de l’audiovisuel chargĂ©e de la sauvegarde, de la valorisation et de la transmission de notre patrimoine audiovisuel. On obtient les rĂ©sultats suivants 112 titres pour guerre 14-18 » ce sont surtout des reportages et des Ă©missions qui traitent de cette pĂ©riode, moins des films documentaires. Pour les films documentaires, nous avons seulement 7 titres. Il suffit de saisir documentaire guerre 14-18 ». Ce sont des extraits. Si vous souhaiter les voir intĂ©gralement, l’Ina les commercialise sous forme de DVD. ******************************************************************* Si vous habitez Paris, adressez-vous au service de prĂȘt des bibliothĂšques de la ville de Paris, auxquelles vous pouvez emprunter des Dvd. Je vous invite Ă  consulter le Portail des bibliothĂšques de prĂȘt, pour la recherche de vidĂ©os Il existe des vidĂ©os sur ce sujet penser Ă  sĂ©lectionner le type de document souhaitĂ©, en utilisant la recherche avancĂ©e. En complĂ©ment, je vous mets le lien du site de la mĂ©diathĂšque du ministĂšre de la dĂ©fense l’ECPAD Établissement de communication et de production audiovisuelle de la dĂ©fense ainsi qu’une sĂ©lection de documents, dont des vidĂ©os, pour la pĂ©riode qui vous intĂ©resse Cordialement, EurĂȘkoi – Bpi BibliothĂšque publique d’information Commentla PremiĂšre Guerre mondiale bouleverse-t-elle les sociĂ©tĂ©s europĂ©ennes ? En aoĂ»t 1914, les grandes puissances europĂ©ennes entrent en guerre. États et populations sont entraĂźnĂ©s dans une guerre mondiale d’un type nouveau. Hollywood est passĂ© maĂźtre dans le genre de revenir sur des batailles historiques, des conflits armĂ©s et de les transcrire en fiction. Certaines sont adaptĂ©s trĂšs librement pour faire place au combat et Ă  la violence. Tandis que d’autres essaie de rester beaucoup plus proches de la vĂ©ritĂ© historique. 300GloryAmerican SniperSand CastleMosulLa liste de SchindlerLa chute du faucon noirFuryTriple FrontiĂšreWorld Invasion Battle Los Angeles 300 300, c’est l’histoire de soldats de Sparte et le film qui a rĂ©vĂ©lĂ© Gerard Butler au grand public. MenĂ© par Leonidas, roi de Sparte, la troupe remonte vers le Nord. L’objectif est de couper la route Ă  l’armĂ©e de XerxĂšs. Le lieu choisi sont les Thermopyles, un passage Ă©troit, mais obligatoire pour dĂ©boucher dans les plaines grecques. AbandonnĂ©s par les autres citĂ©s, Sparte tiendra jusqu’au dernier homme face Ă  l’ennemi. Glory Le film se dĂ©roule durant la guerre de SĂ©cession, celui qui a vu le Nord et le Sud des Etats-Unis se dĂ©chirer autour de la question de l’esclavagisme. Durant cette guerre, le premier rĂ©giment afro-amĂ©ricain prend position en hauteur pour combattre les confĂ©dĂ©rĂ©s. Ces derniers prĂŽnent l’usage de l’esclavagisme dans leur modĂšle Ă©conomique. Ce sera un bain de sang. Le film est inspirĂ© de faits rĂ©els, avec Matthew Broderick, Denzel Washington et Morgan Freeman. American Sniper Le film retrace la vie d’un soldat amĂ©ricain dans le conflit irakien des annĂ©es 2000. Pas n’importe quel soldat, un tireur d’élite. Celui-ci est interprĂ©tĂ© par Bradley Cooper. Tout du long du film, il se rappelle par flashbacks de ses missions sur le sol, des combats et des pertes humaines. Les scĂšnes sont trĂšs dures et trĂšs rĂ©alistes. Mais au-delĂ  des simples images, le rĂ©alisateur Clint Eastwood lance le personnage dans une introspection et une critique de la guerre. Sand Castle En 2003, les Etats-Unis envahissent l’Irak Ă  la recherche d’armes de destruction massive. Comme pour de trĂšs nombreuses unitĂ©s, une section est dĂ©ployĂ©e sur le sol avec une mission. Une mission anodine puisqu’il s’agit de rĂ©parer un systĂšme de distribution d’eau dans un village. Mais celui-ci est hostile Ă  leur prĂ©sence, malgrĂ© les bonnes intentions. Le film jette un regard crĂ» sur la perspective du libĂ©rateur et de l’occupant. Mosul Avec ce film, on reste dans la mĂȘme rĂ©gion du globe. Mais ici, le film n’est pas amĂ©ricain et se penche sur un conflit plus rĂ©cent celui de l’état islamique. Le califat s’est imposĂ© par les armes dans une partie de l’Irak. C’est lĂ  qu’on retrouve un groupe de combattants irakiens qui lutte contre l’état islamique. Au passage, ils essaient de sauver des vies, mais l’accueil n’est pas toujours facile. Et leur mission n’est pas souvent reconnue et apprĂ©ciĂ©e
 La liste de Schindler Dans ce chef d’Ɠuvre du cinĂ©ma rĂ©alisĂ© par Steven Spielberg, le spectateur suit le dilemme posĂ© Ă  Oskar Schindler. C’est un industriel allemand. Il est mis Ă  contribution pour l’effort de guerre nazi. Mais s’il rĂ©ussit professionnellement, il n’est pas en phase avec la politique d’extermination. Sous prĂ©texte d’utiliser une main d’Ɠuvre bon marchĂ©, il parviendra Ă  sauver juifs du camp d’Auschwitz. Une histoire basĂ©e sur des faits rĂ©els. Le film date de 1993, mais n’a pas pris une ride avec des acteurs comme Ben Kingsley, Ralph Fiennes et Liam Neeson. La chute du faucon noir Qui n’a jamais entendu parler de ce film. Netflix nous offre la chance de revoir ce film ou de le dĂ©couvrir tout simplement. C’est l’histoire de soldats amĂ©ricains en mission. L’opĂ©ration tourne court quand leur hĂ©lico s’écrase en pleine zone de guerre. Il leur faut alors trouver un moyen de s’échapper et de rejoindre leur base, sans renforts. Fury Le film envoie Brad Pitt au front. On vit les derniĂšres heures de la DeuxiĂšme Guerre mondiale. Les Russes sont aux portes de Berlin et les alliĂ©s progressent Ă  l’Ouest. Dans ce contexte les hommes du sergent Wardaddy se lance dans une mission risquĂ©e, prendre une ville avec leur char. Si Brad Pitt est en tĂȘte d’affiche, le reste de l’équipe fait Ă©galement rĂȘver
 Shia Labeouf, Michael Pena et Jon Bernthal se partagent l’espace confinĂ© du char. Triple FrontiĂšre Netflix aussi s’est essayĂ© au film de guerre. Pour l’occasion, la plateforme de SVOD a fait appel Ă  Ben Affleck pour tirer le film. Il incarne un ancien soldat. Un jour, il se voit offrir la possibilitĂ© de faire main basse sur la fortune d’un baron de la drogue. Il va alors recruter une Ă©quipe pour faire le boulot, attirĂ© par l’argent facile. Mais quand ils arrivent sur place, ils se rendent compte qu’ils se trouvent dans une situation pour laquelle ils n’avaient pas signĂ© au dĂ©part
 World Invasion Battle Los Angeles Les guerres ne se dĂ©roulent pas uniquement dans les conflits ayant existĂ©. On peut Ă©galement les fantasmer contre des ennemis venus de l’espace. C’est le cas pour ce film. Des extra-terrestres technologiquement plus avancĂ©s dĂ©barquent sur Terre pour s’accaparer les ressources. Les humains ne sont que des fourmis qu’il convient d’écraser. Au milieu de tout cela, un peloton de Marines dĂ©cide de rĂ©sister pour protĂ©ger l’humanitĂ©. Cependant le Stahlhelm de l'Ă©poque de la PremiĂšre Guerre mondiale a une jupe plus accentuĂ©e, couvrant davantage le cou que le Stahlhelm de la Seconde Guerre mondiale. La visiĂšre du M1916 est Ă©galement plus longue que celle des casques de la Seconde Guerre mondiale. La diffĂ©rence rĂ©side Ă©galement dans la fonctionnalitĂ©. Les Stahlhelm
\n \nfilm sur la premiĂšre guerre mondiale
Listede films sur la PremiĂšre Guerre mondiale 0–9 3. November 1918 1914, fleurs meurtries 1917 (film) A À l'Ouest, rien de nouveau (film, 1930) À l'Ouest, rien de nouveau (tĂ©lĂ©film) A Man from Wyoming Adama (film, 2015) L'Adieu aux armes (film, 1932) L'Adieu aux armes (film, 1957) Adieu jeunesse Agent X 27 Ah Dieu ! que la
Filmssur la PremiÚre Guerre mondiale, 1914-1918. Ce fonds est composé de films montés et de rushes. Ces documents ont tous été tournés, montés, conçus et diffusés sous le contrÎle étroit des autorités militaires, dÚs la source : la Section Cinématographique des Armées (SCA), créée en 1915.

SpĂ©cialistede la collection française, il contribue Ă  la programmation de films sur le site ONF.ca. Il y publie rĂ©guliĂšrement des textes sur l’histoire de l’institution, ses films et ses artisans et propose des sĂ©lections de films aux internautes. Paris 1919. Paul Cowan. 2009 | 1 h 34 min Au lendemain de la PremiĂšre Guerre mondiale, qui a fait quelque 37 millions

Une ouverture sur un réel bien souvent falsifié comme le fut la premiÚre guerre visitée par le cinéma, le conflit américano-espagnol en 1898. Les conflits qui suivirent cette guerre furent tous filmés. Tout au moins les marges des conflits puisqu'il n'était pas possible d'intervenir directement sur les champs de bataille. Reconstitutions et images réelles
Lesclasses de 3e2 et de 3e7 ont achevĂ© cette semaine leur projet “La PremiĂšre Guerre mondiale en mots et en images”. Depuis le mois de septembre, les Ă©lĂšves de 3e2 et de 3e7 travaillent en parallĂšle de leurs cours de Français, d’Histoire et d’Anglais sur une sĂ©lection de romans de littĂ©rature jeunesse, de films et de bandes dessinĂ©es sur le thĂšme de la
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