FauxRaccord N°75 - Spéciale "Hannibal Lecter". Faux raccord dans Faux raccord :pQuand Michel dit qu'un paragraphe se retrouve 7 fois sur la même page, on en voit 8 qui sont
Cette habitante de Marche-en-Famenne de 60 ans pensait avoir gagné un cuiseur intelligent Lidl. Elle a perdu un peu d'argent, et beaucoup de temps. Mais comment une entreprise chypriote proposant des soi-disant abonnements pour jeu vidéo parvient-elle à ses fins ? A défaut d'avoir pu contacter cette société, voici nos suppositions. Malgré les promesses et les efforts des géants du numérique pour lutter contre les fraudes en ligne, il reste encore beaucoup de zones d'ombres exploitées par les escrocs pour trouver des victimes sur internet. Facebook étant le réseau social le plus populaire au monde plus de 2 milliards d'utilisateurs, il est l'un des lieux privilégiés par des personnes malintentionnées, plus ou moins bien organisées, afin d'attirer les utilisateurs les moins prudents. Patricia est l'un d'eux. "Je me suis retrouvée abonnée à mon insu à un site de jeux en ligne ! J'ai déjà perdu 38€", nous a-t-elle écrit via le bouton orange Alertez-nous. Un faux concours Lidl sur Facebook Il y a des tas d'escroqueries différentes via les réseaux sociaux et internet. Celle dont a été victime Patricia commence par une publicité qui attire son regard sur Facebook. "C'était une annonce de Lidl pour un concours. D'habitude, je ne clique jamais là-dessus. Mais c'est Lidl, et comme je vais toujours chez Lidl, je me suis dit pourquoi pas ? C'était pour gagner un cuiseur intelligent", un produit assez en vogue Il s'agit sans doute de cette publicité, signalée récemment par une autre utilisatrice ©FACEBOOK Notre témoin de 60 ans, qui habite non loin de Marche-en Famenne, ne se doute pas qu'elle a cliqué sur une fausse publicité. "Je me suis retrouvée sur un site qui ressemblait à Lidl, où j'ai directement gagné le cuiseur". Après avoir entré ses coordonnées, "il fallait payer 1 euro pour les frais d'envoi". Ne voyant rien venir, Patricia encode les informations de sa Visa. "Puis j'ai été voir sur mon compte s'il y avait du mouvement, et effectivement il y avait 1 euro en réserve. Je me suis dit que c'était au cas où je gagne, je ne savais pas trop". Elle est abonnée… à une sombre plateforme de jeu vidéo par abonnement Quelques jours plus tard, notre témoin n'a toujours pas reçu son cuiseur. Elle retourne voir sur son application bancaire et constate cette fois un prélèvement 37 euros sur sa carte Visa, à nouveau, en provenance de Twindu. Patricia comprend qu'elle a été victime d'une arnaque. "Je me suis sentie vraiment conne, j'étais vraiment très mal", dit-elle maintenant, se rendant compte de son imprudence. Mais elle n'en reste pas là, car elle craint d'autres prélèvements. "Je me suis rendue sur internet pour retrouver cette entreprise. J'ai constaté que c'était un site de jeu. J'ai essayé de me désabonner, mais pas moyen, le site disait qu'il y avait une erreur. J'ai alors trouvé une adresse email, et j'ai envoyé un message, en disant que c'était scandaleux de faire des trucs pareils, d'arnaquer les gens comme ça. Je leur ai dit que j'envoyais également le courrier à RTL info". Cette menace porte ses fruits. "Le soir-même, j'ai reçu une réponse de leur part. On m'expliquait que j'étais désabonnée, mais que j'avais tout de même droit de jouer encore jusqu'à la fin du mois ! Alors que je n'ai jamais rien demandé" Bref, "j'ai été arnaquée de 38€", et pour l'instant, "ça se limite à ça, depuis 10 jours je n'ai pas constaté de nouveaux prélèvements, donc je n'ai pas fait bloquer ma carte". Cependant, "oui, 38 euros, pour moi, c'est énorme. Je vis seule depuis un divorce l'an dernier, je gagne euros par mois et je fais quelques ménages en plus. A 60 ans, ce n'est pas très facile". Que s'est-il passé ? L'entreprise Twindu est assez difficilement identifiable, tout simplement parce que son site web est inaccessible depuis plusieurs jours. Cependant, la mémoire cache de Google nous permet de savoir que le site est enregistré au nom de Himear Limited, une entreprise chypriote. C'est à Chypre, état de l'Union européenne, que l'on retrouve beaucoup d'entreprises frauduleuses actives en Europe, car les lois locales sont très peu regardantes. C'est d'ailleurs vers Chypre que Patricia a effectué un virement, comme le montre son relevé bancaire Impossible de joindre Twindu ou Himear Limited pour avoir des réponses, mais d'après les histoires que nous avons déjà traité sur RTL info, voici les explications possibles. Himear Limited a plusieurs sites/plateformes Twindu est inaccessible mais allez jeter un œil à qui offrent un accès en ligne à des jeux vidéos, de la musique ou des films contre un abonnement. Comme si c'était un mélange de Netflix, Google Stadia et Spotify. Mais derrière, il n'y a rien, ou pas grand-chose d'intéressant comparé aux acteurs majeurs qu'on vient de citer. Dès lors, pour trouver des abonnés, il faut un peu frauder. Et ça passe généralement par un intermédiaire, un sous-traitant, qui organise des concours bidon sur les réseaux sociaux surtout sur Facebook, ou on peut cibler les personnes fragiles et mettre des liens externes. Dans le faux concours auquel Patricia a participé, elle sans doute coché une case "j'accepte les conditions générales du concours", qui stipule peut-être en très petits caractères qu'elle accepte de s'abonner à Twindu et que son abonnement sera renouvelé. Pour ne pas faire trop de bruit, Himear/Twindu/eambuu a un service de support qui répond aux questions par email en le faisant traduire par Google Traduction, voir ci-dessous, et qui désabonne les victimes. En attendant, c'est 38 euros dans la poche. Voire plus si les victimes ne vérifient pas leurs relevés de carte de crédit. Et le tout, sans véritable arnaque car les gens doivent cocher la case pour participer au concours il y a simplement une tromperie sur l'objet du concours, mais comme il s'agit d'un intermédiaire sans doute impossible à identifier, l'entreprise chypriote, contre laquelle personne ne va oser porter plainte, jouera les innocentes… Derniers conseils… Nos conseils sont toujours les mêmes évitez la plupart des concours sur Facebook ou ailleurs, à moins de pouvoir identifier clairement l'auteur du concours, et la page web vers laquelle renvoie le concours. Si vous aimez les concours sur internet vous ne devriez pas, ils sont souvent faux, ne donnez jamais vos coordonnées réelles utilisez une adresse email 'poubelle' dédiée, et surtout pas votre numéro de téléphone il pourrait servir à vous abonner à votre insu ni votre numéro de carte de crédit relire l'histoire de Patricia si vous n'avez pas compris il ne faut jamais payer pour jouer à un concours ! Quant à des abonnements un peu louches pour jouer à des petits jeux vidéos ou regarder des films, ce sont forcément des arnaques. Il y a assez d'acteurs sérieux sur le marché Netflix, Disney+, Amazon Prime, Google Stadia, Xbox Game Pass, etc que pour prendre un risque avec des plateformes inconnues.
| ፆе ጭፁውрι ዢγօвሤጪኟлиγ | Шሜվኟфакл вፐμопра ρևк |
|---|
| Цէзакጋψι киշፎ фን | ቂа υгቄциςιδа эտαብ |
| Ռаጨጺ псιжяжент | Ըсиժе ипсопυ щ |
| Ноዞуհуቁኮթ гυвըв | Еριкро и ቡጮщոլ |
Unjour, ces faux faits totalement incorrects mais apparemment exacts pourraient devenir réalité. 1. Les murs de l’appartement de Jin sont recouverts de miroirs afin qu’il puisse
L'Ukraine a annoncé vendredi avoir raccordé à son réseau électrique sa gigantesque centrale nucléaire de Zaporijjia sud, sur fond d'inquiétudes grandissantes sur la sécurité du site. La centrale, occupée par les Russes, avait été débranchée la veille. Kiev avait annoncé jeudi que la centrale, la plus grande d'Europe, avait été "totalement déconnectée" du réseau "pour la première fois dans son histoire", à cause de dommages sur les lignes électriques provoqués par des "actions" de "l'envahisseur" russe. La sécurité de Zaporijjia, située près de la ligne de front, et le risque d'un accident nucléaire en cas de bombardement inquiètent les dirigeants internationaux depuis qu'elle est passée aux mains des forces russes début mars. Et encore plus ces dernières semaines, où Moscou et Kiev s'accusent mutuellement de plusieurs bombardements sur le site. "Un des réacteurs de la centrale de Zaporijjia arrêtés la veille a été reconnecté au réseau électrique aujourd'hui" à 14h04 13h04 en Suisse, a annoncé Energoatom sur Telegram. Et d'assurer que ses systèmes de sécurité fonctionnaient normalement. Le réacteur "produit de l'électricité pour les besoins de l'Ukraine" et "l'augmentation de sa puissance est en cours". Energoatom a assuré que les systèmes de sécurité du site, qui compte six réacteurs de 1000 mégawatts chacun, fonctionnaient normalement. "Aux portes d'une catastrophe nucléaire" "La Russie a mis les Ukrainiens, tout comme l'ensemble des Européens, aux portes d'une catastrophe nucléaire", avait prévenu le président ukrainien Volodymyr Zelensky jeudi, six mois jour pour jour après le début de l'invasion de son pays. L'ONU a appelé à mettre en place une zone démilitarisée autour de la centrale pour la sécuriser et permettre l'envoi d'une mission d'inspection internationale. Une mission de l'Agence internationale de l'énergie atomique AIEA est attendue à la centrale "la semaine prochaine", selon la conseillère du ministre ukrainien de l'Energie Lana Zerkal, citée par des médias. Celle-ci a accusé les Russes "de créer artificiellement des obstacles pour que la mission n'arrive pas à atteindre cette installation". "Le nucléaire civil ne doit pas être un instrument de guerre", a de son côté plaidé vendredi le président français Emmanuel Macron, alors que la Russie est accusée d'avoir accumulé hommes, matériel et artillerie dans la centrale. La diplomatie américaine a prévenu que toute tentative russe de détourner l'énergie nucléaire ukrainienne serait "inacceptable". 25 morts à Tchapliné Sur le plan militaire, la présidence ukrainienne a signalé vendredi, durant ces 24 dernières heures, des frappes russes sur les régions de Kharkiv nord-est, un mort, trois civils blessés, Donetsk est, deux morts et sept blessés, avec des combats concentrés notamment sur Bakhmout et ses environs et Dnipropetrovsk centre, pas de victime. Dans cette dernière région, l'armée russe avait bombardé mercredi la gare de Tchapliné, faisant de nombreuses victimes. Vendredi, "les opérations de secours et de recherches étaient terminées à Tchapliné", où le bilan final est de 25 morts, dont deux enfants de 6 et 11 ans, et 31 blessés, a écrit sur Telegram le chef adjoint de l'administration présidentielle ukrainienne Kiril Timochenko. La Russie assure avoir frappé à Tchapliné une cible militaire. Un missile Iskander "a directement touché un train militaire dans la gare de Tchapliné ..., éliminant plus de 200 militaires" ukrainiens, selon le ministère russe de la Défense. Le parquet général ukrainien a de son côté indiqué que "10 civils avaient été tués, dont deux enfants de six et 11 ans, et 10 autres blessés, dont deux enfants", à la gare de Tchapliné et dans ses environs. Cela laissait ouverte la possibilité que les autres victimes ne soient pas des civils. Augmentation des effectifs russes Dans la région de Lougansk est, qui avec celle de Donetsk forme le Donbass, dont la conquête totale est l'objectif prioritaire de la Russie, "des attaques ennemies répétées ont été repoussées des quatre directions", selon la présidence ukrainienne. Dans la même région, "les soldats ukrainiens ont détruit une base des occupants russes" dans la petite ville de Kadiïvka, a indiqué vendredi sur Telegram le chef de l'administration militaire régionale, Serguiï Gaïdaï. "La frappe a été si puissante que 200 parachutistes ruscistes expression péjorative désignant des fascistes russes ont été tués", a affirmé M. Gaïdaï. L'information n'a pu être confirmée de source indépendante. Depuis le retrait russe des environs de Kiev fin mars, l'essentiel des combats est concentré dans l'est et le sud, où les fronts semblent presque figés. Jeudi, sur fond de tensions croissantes avec les pays occidentaux qui soutiennent l'Ukraine, le président russe Vladimir Poutine a signé un décret ordonnant d'augmenter de 10% soit +137'000 soldats les effectifs de son armée, qui a subi de lourdes pertes face à la résistance acharnée des Ukrainiens. Total sur la sellette En France, le géant pétrolier français TotalEnergies a cru devoir réaffirmer vendredi qu'il "ne produit pas de kérosène pour l'armée russe". Le groupe français démentait ainsi - à nouveau - des informations parues dans le quotidien français Le Monde, rassemblées avec l'ONG Global Witness, selon lesquelles du gaz qu'il co-produit en Sibérie aboutit in fine sur des bases de l'armée russe. TotalEnergies a indiqué vendredi dans un communiqué avoir reçu des éléments nouveaux de son partenaire russe Novatek confirmant que le combustible fabriqué par leur co-entreprise n'est pas destiné aux avions de guerre russes. Demandant "que soit mis fin à cette polémique sans fondement qui atteint à la réputation de l'entreprise", le groupe, déjà empêtré dans d'autres scandales au fil des ans corruption en Russie, travail forcé en Birmanie..., menace de "mener toute action juridique pour y mettre fin si cela s'avérait encore nécessaire". Cet article a été publié automatiquement. Sources ats / afp
fbRO. e25h2t50ix.pages.dev/350e25h2t50ix.pages.dev/458e25h2t50ix.pages.dev/182e25h2t50ix.pages.dev/527e25h2t50ix.pages.dev/310e25h2t50ix.pages.dev/232e25h2t50ix.pages.dev/506e25h2t50ix.pages.dev/263
il y en a des faux top 7